« Récit du périple d'un Français à travers le Tibet »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Nouvel Obs, Carlo Blanco (pseudonyme), 13 décembre 2008. Selon les témoignages anonymes de Lhassa rapportés dans le récit de cet auteur sous pseudonyme : « il y en a eu au moins deux cents à Lhassa », « Le spectacle terrifiant de gens tirés à bout portant et mourant en pleine rue a pris fin, mais ceux qui ont vu ces drames m’en parlent, secoués de sanglots », les citations de ce récit ne sont pas corroborées par les enquêtes et observations des journalistes Georg Blume et James Miles, et il n'y a par contre aucun témoignage décrivant les Chinois han et huis tués par les émeutiers tibétains, ni un mot sur les magasins incendiés.
Certains spécialistes estiment cependant que l’armée est intervenue, en se basant sur les matériels employés : Tibet, the 'great game' and the CIA, Richard M. Bennett, Asia Times , 25 mars 2008
(en) China says Tibet video is 'a lie', BBC NEWS, 2009/03/25 : « But a Chinese government official said many of the images and voices in the video had been pieced together from different sources. [...] In its first response to the video's release, an unnamed government official from China's Tibetan Autonomous Region said it was a lie. [...] "Technology experts found that video and audio was edited to piece together different places, times and people," Xinhua said, quoting the official. China also rejected the claims about Tendar. "Tendar died from a disease at home awaiting court trial," the official said, adding that he had used a knife to "slash" a policeman. The official added that the injured person in the video was not Tendar and the wounds were fake. »
(en) Dalai-backed violence scars Lhasa (Xinhua), sur le site chinadaily.com, 2008-03-15 : « Witnesses said the unrest started around 1:10 pm on Friday, several people clashed with and stoned the local police around the Ramogia Monastery in downtown Lhasa. Rioters began gathering around 2 pm around the Ramogia Monastery ».
(en) « Transcript: James Miles interview on Tibet », sur cnn.com, (consulté le ) : « Journalists who have made their own way there, unofficially, both before this unrest and during it have been caught or ... and expelled. ».
(en) (http://english.cri.cn/2946/2008/03/22/53@336823.htm. Tourists Speak of Shock and Fear at Tibet Riots], site CRIENGLISH.com, 22 mars 2008 ; citation : « He said that he saw at least five Chinese people being attacked by the crowd, including a motorcyclist in his 20s who he thought was beaten to death. « They got him in the head with a large piece of sidewalk », he said. « He was down on the ground and he was not moving. » ».
« Récit du périple d'un Français à travers le Tibet »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Nouvel Obs, Carlo Blanco (pseudonyme), 13 décembre 2008. Selon les témoignages anonymes de Lhassa rapportés dans le récit de cet auteur sous pseudonyme : « il y en a eu au moins deux cents à Lhassa », « Le spectacle terrifiant de gens tirés à bout portant et mourant en pleine rue a pris fin, mais ceux qui ont vu ces drames m’en parlent, secoués de sanglots », les citations de ce récit ne sont pas corroborées par les enquêtes et observations des journalistes Georg Blume et James Miles, et il n'y a par contre aucun témoignage décrivant les Chinois han et huis tués par les émeutiers tibétains, ni un mot sur les magasins incendiés.
Sharon Weill, De Gaza à Madrid, l’assassinat ciblé de Salah Shehadeh, Le Monde diplomatique, septembre 2009 : « Par ailleurs, les pressions exercées par les gouvernements israélien, chinois et américain incitèrent le Sénat espagnol à limiter, le 19 mai 2009, la loi sur la compétence universelle à des cas impliquant des Espagnols ou des suspects présents sur le sol espagnol. »
« Récit du périple d'un Français à travers le Tibet »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Nouvel Obs, Carlo Blanco (pseudonyme), 13 décembre 2008. Selon les témoignages anonymes de Lhassa rapportés dans le récit de cet auteur sous pseudonyme : « il y en a eu au moins deux cents à Lhassa », « Le spectacle terrifiant de gens tirés à bout portant et mourant en pleine rue a pris fin, mais ceux qui ont vu ces drames m’en parlent, secoués de sanglots », les citations de ce récit ne sont pas corroborées par les enquêtes et observations des journalistes Georg Blume et James Miles, et il n'y a par contre aucun témoignage décrivant les Chinois han et huis tués par les émeutiers tibétains, ni un mot sur les magasins incendiés.
À propos des émeutiers qui ont fait 19 morts, Ursula Gauthier parle de l'« audace des grappes de jeunes » qui « incendiaient les commerces chinois et molestaient leurs boutiquiers »Le Tibet sous la botte, dans ce même article elle parle de l'assassinat du fils d'un haut cadre du parti à coup de bottes par des militaires devant une foule immense, sans préciser ni le lieu, ni la date, ni le nom de la victime, ni la source de cette information. Dans un autre article, Ursula Gauthier cite le témoignage d'un jeune Tibétain : le 14 mars il « entend d'effrayantes rafales de mitraillette » (en contradiction avec tous les témoignages fiables), il décrit aussi « Leur résistance a duré plusieurs jours, et il y a eu plusieurs centaines de morts. Les cadavres sont restés sur place un jour ou deux, puis ils ont été ramassés par des camions de l'armée et ont disparu », cet unique témoignage particulièrement accusateur n'a pas fait l'objet de recoupement auprès des centaines de familles endeuillées. L'armée a fait disparaître les cadavres « Il y a eu plusieurs centaines de morts... ». Un troisième article fait état de moines qui ont été tués « pour leurs liens avec les incidents de mars », incidents qui ont fait 19 morts, Où sont les moines ?.
(en) Phurbu Thinley, China selectively invites second batch of reporters to Lhasa after Tibet unrest, 3 juin 2008. « (...) In the absence of foreign media, Chinese authorities through the state controlled media began releasing images and television footage of violent people, purportedly to be Tibetans, accusing them of inciting violence in Lhasa. Eyewitnesses, however, point out that those shown in some pictures were actually Chinese police in Tibetan outfits sent out by authorities to incite communal violence among Han Chinese and Tibetans that would give authorities justification for their violent crackdown. »
(en) Soldiers disguised as monks: Dalai Lama, sifynews, 2008-03-29 : « (...) the Dalai Lama said that China had disguised its troops as monks to give the impression that Tibetans were instigating the riots. "In one picture we see a (monk) holding a sword, but it is not a traditional Tibetan sword. We know that a few hundred soldiers have been dressed like monks," said the Dalai Lama (...) ».
« Il déclara également qu'il avait vu trois caisses de pierres mais sans pouvoir dire qui les avait fournies » ("He also said that he saw three boxes of stones but it was not clear who had provided them"). Cité par Jeremy Page dans l'article (en) Tourists speak of shock and fear at Tibet riots (« Des touristes font état de leur émoi et leur effroi devant les émeutes du Tibet »), Times Online, 19 mars 2008.
« Récit du périple d'un Français à travers le Tibet »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Nouvel Obs, Carlo Blanco (pseudonyme), 13 décembre 2008. Selon les témoignages anonymes de Lhassa rapportés dans le récit de cet auteur sous pseudonyme : « il y en a eu au moins deux cents à Lhassa », « Le spectacle terrifiant de gens tirés à bout portant et mourant en pleine rue a pris fin, mais ceux qui ont vu ces drames m’en parlent, secoués de sanglots », les citations de ce récit ne sont pas corroborées par les enquêtes et observations des journalistes Georg Blume et James Miles, et il n'y a par contre aucun témoignage décrivant les Chinois han et huis tués par les émeutiers tibétains, ni un mot sur les magasins incendiés.
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(en) 12 policemen gravely injured in Lhasa riot, China View, 15 mars 2008; citation : « Witnesses said vandals came fully prepared and meant great harm. (...) a few were carrying backpacks filled with stones and bottles of inflammable liquids ».