Tupac Yupanqui (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Tupac Yupanqui" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
low place
low place
1,384th place
89th place
121st place
192nd place
2,595th place
283rd place
40th place
124th place
120th place
178th place
low place
low place
3,832nd place
341st place
3,051st place
182nd place

academia.edu

  • On peut remarquer que, dans des religions solaires à vocation impériale qui ont des traits communs comme celle des Incas et celle de l'Égypte ancienne, l'inceste royal (par exception anthropologique au tabou de l'inceste) du mariage entre frère et sœur (ou plus rarement père et fille) répond à un principe théogamique comparable, à savoir préserver la « pureté » du sang divin et fonder religieusement la légitimité dynastique, pour un souverain qui est toujours un « dieu vivant sur terre », qu'il s'agisse du Pharaon comme du Sapa Inca. Voir notamment : ▶Jean Cuisenier, « Inceste » Accès limité, sur Encyclopædia Universalis en ligne, (consulté le ), chapitre "Les faits et régularités observables", section "La règle et ses exceptions". Ainsi que : ▶Isabel Yaya McKenzie, « Stupre, drame et volupté : l'inceste royal dans les récits historiques incas », Cahiers d'anthropologie sociale (sur le site "Academia"),‎ (lire en ligne Accès libre [PDF], consulté le ).

amazon.fr

britannica.com

geneanet.org

gw.geneanet.org

  • Certaines sources indiquent de même qu'Isabel Chimpu Ocllo était la petite-fille de Huayna Capac et non de Tupac Yupanqui, voir : Javier Sanchiz, Víctor Gayol du Seminario de Genealogía Mexicana, « Isabel Chimpu Ocllo » Accès libre [logiciel Geneweb (version 7.0)], sur Geneanet.org (consulté le ).

google.fr

books.google.fr

rapanui-research.com

researchgate.net

  • (en) Dennis Ogburn, « Reconceiving the Chronology of Inca Imperial Expansion », Radiocarbon, vol. 54, no 2,‎ , p. 219–237 (lire en ligne)

universalis.fr

  • On peut remarquer que, dans des religions solaires à vocation impériale qui ont des traits communs comme celle des Incas et celle de l'Égypte ancienne, l'inceste royal (par exception anthropologique au tabou de l'inceste) du mariage entre frère et sœur (ou plus rarement père et fille) répond à un principe théogamique comparable, à savoir préserver la « pureté » du sang divin et fonder religieusement la légitimité dynastique, pour un souverain qui est toujours un « dieu vivant sur terre », qu'il s'agisse du Pharaon comme du Sapa Inca. Voir notamment : ▶Jean Cuisenier, « Inceste » Accès limité, sur Encyclopædia Universalis en ligne, (consulté le ), chapitre "Les faits et régularités observables", section "La règle et ses exceptions". Ainsi que : ▶Isabel Yaya McKenzie, « Stupre, drame et volupté : l'inceste royal dans les récits historiques incas », Cahiers d'anthropologie sociale (sur le site "Academia"),‎ (lire en ligne Accès libre [PDF], consulté le ).

wikipedia.org

es.wikipedia.org

  • Cette sœur-épouse principale de Tupac Yupanqui est appelée en quechua Mama Uqllu. La "Qoya" (ou "Coya (es)" en orthographe hispanique, et "Quya" en quechua) était le titre honorifique de l'impératrice, l'unique épouse légitime de l'empereur le Sapa Inca, et généralement la mère de son héritier présomptif, titré "Auqui". C'est elle qui dirigeait le gouvernement de la capitale Cuzco en l'absence de l'empereur. Traditionnellement, depuis le couple mythique du premier Inca Manco Cápac et de sa sœur-épouse Mama Ocllo, tous deux enfants du dieu soleil Inti, la Qoya était choisie parmi les sœurs de l'empereur, un peu comme c'était le cas pour la grande épouse royale du Pharaon à l'image du couple divin Isis-Osiris, à la fois frère et sœur et époux dans l'Égypte antique (voir la section : « Légende de Manco Cápac et Mama Ocllo  » de l'article consacré à Manco Cápac). Cependant beaucoup d’historiens considèrent que cette pratique commence avec le règne de Tupac Yupanqui. Le terme de Qoya pouvait être aussi attribué à d'autres princesses (ou Ñustas) de la famille impériale. Pour distinguer cette épouse de Tupac Yupanqui de son homonyme et ancêtre mythique Mama Ocllo épouse de Manco Cápac, il est d'usage de la nommer Mama Ocllo II, de même qu'on le fera pour le petit-fils de Tupac Yupanqui : Manco Cápac II — Sapa Inca légitime et futur héros de la résistance contre les conquistadores —, afin de le différencier du premier des grands Incas semi-légendaires.