Sur Ajeeb : (en) Ramón Jiménez, "The Rook Endgame Machine of Torres y Quevedo." ChessBase, 20 juillet 2004. Lire en ligne. Sur la partie contre Grover Cleveland : (en) International Chess Magazine septembre 1885. Sur Mephisto : Levitt 2000, p. 154
(en) Ramón Jiménez, « The Rook Endgame Machine of Torres y Quevedo », ChessBase, 20 juillet 2004. Lire en ligne.
(en) Edgar Allan Poe, « Maelzel's Chess-Player », Southern Literary Journal, (lire en ligne, consulté le ).
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« L'auteur du Palamède fait du résultat une sorte de partenariat dans les futures expositions — la propriété de l'automate devait rester entre les mains de son acquéreur princier, et Mælzel devait payer les intérêts du prix en donnant à son partenaire une proportion juste des bénéfices. Une autre version — courante, je crois, à Munich — fait de la transaction une vente : Mælzel rachète l'automate pour la même somme de trente mille francs, qu'il devait payer par les profits de ses expositions. À condition cependant que Mælzel ne quitte pas le continent pour ces expositions. Je pense que la dernière version est la bonne. » (Daniel Willard Fiske, The Book of the first American Chess Congress, Rudd & Carleton, 1859, p. 427. Lire en ligne)
(en) Daniel Willard Fiske, The Book of the first American Chess Congress: Containing the Proceedings of that celebrated Assemblage, held in New York, in the Year 1857, Rudd & Carleton, 1859, p. 420-483. Lire en ligne
(en) The Book of the first American Chess Congress: Containing the Proceedings of that celebrated Assemblage, held in New York, in the Year 1857, Von Daniel Willard Fiske, Page 456 Lire en ligne
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(en) G. W. (membre du Westminster Chess Club), « Anatomy of the Chess Automaton », dans Fraser's magazine for town and country, vol. 19, (lire en ligne), p. 717-731
« M. Mælzel, qui avait déjà regretté de partager avec ses protecteurs, demanda la faveur d'être réintroduit dans sa charge, promettant de payer à Eugène les intérêts des trente mille francs que Mælzel avait reçus. Cette proposition fut gracieusement accordée par le brave Beauharnais, et Mælzel eut alors la satisfaction de voir qu'il avait fait une bonne affaire, recevant littéralement l'argent pour rien ! Quittant la Bavière avec l'automate, Mælzel était à nouveau le présentateur itinérant du génie de bois. D'autres automates furent adoptés par la famille, et un beau revenu fut réalisé par leur ingénieux propriétaire. Étant lui-même un joueur médiocre, il demanda l'assistance d'un grand talent pour lui servir d'allié sur le terrain. Nous devons laisser s'écouler un intervalle de temps ici, durant lequel M. Boncourt (nous le pensons) était le chef de Slaezel, où la machine fut reçue avec toute son ancienne popularité ; et nous reprenons le sujet en 1819, quand Mælzel réapparut avec son Automate joueur d'échecs à Londres » (James Fraser, Fraser's magazine for town and country, vol. XIX, janvier à juin 1839, p. 726. Lire en ligne)
Journal of the Franklin Institute, Band 3, Von Franklin Institute (Philadelphia, Pa.), 1827, p. 130-133Lire en ligne
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Matthieu Scherrer, « Inventions bidon, mystifications... Les plus géniales impostures de la science », L'Express, (lire en ligne)