Elle était exposée avec la copie de la Vénus d'Arles, dans la nef de l'ancienne église, de part et d'autre du tombeau d'Yppolyte. Cf. AN.-E Agard, « Le Musée Lapidaire d'Arles », Imprimerie générale du Sud-Ouest - J. Castanet, janvier 1924, p. 16 « Lire en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
Selon : « Patrimoine de la ville d'Arles : buste d'Aphrodite »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Pour sa part, Louis Jacquemin qui fait l'éloge au XIXe siècle de ce buste, juge qu'il est un « prodige de science sculpturale (qui fait) l'admiration des connaisseurs » et le qualifie de « chef-d'œuvre de l'art grecque » dont les détails sont « parfaits », op. cit., p. 382. On retrouve pareille sentence dans le Bulletin des sciences historiques, antiquité, philosophie des frères Champollion : « Elle est comparable à tout ce que le ciseau grec a produit de plus beau et de plus fini, et à la fois de plus vigoureux » (op. cit., p. 301)
(en) Antonio Corso, « The art of Praxiteles. The development of Praxiteles'workshop and its cultural tradition until the sculptor's acme », (364-1 BC), Rome, L'Erma de Bretchneider, 2004, p. 257-280 - Voir aussi implicitement : Emmanuel Daydé, « Exposition. Praxitèle aphrodisiaque » in Artabsolument, n0° 21, été 2007, p. 45 Lire en ligne
Elle était exposée avec la copie de la Vénus d'Arles, dans la nef de l'ancienne église, de part et d'autre du tombeau d'Yppolyte. Cf. AN.-E Agard, « Le Musée Lapidaire d'Arles », Imprimerie générale du Sud-Ouest - J. Castanet, janvier 1924, p. 16 « Lire en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
Selon : « Patrimoine de la ville d'Arles : buste d'Aphrodite »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Pour sa part, Louis Jacquemin qui fait l'éloge au XIXe siècle de ce buste, juge qu'il est un « prodige de science sculpturale (qui fait) l'admiration des connaisseurs » et le qualifie de « chef-d'œuvre de l'art grecque » dont les détails sont « parfaits », op. cit., p. 382. On retrouve pareille sentence dans le Bulletin des sciences historiques, antiquité, philosophie des frères Champollion : « Elle est comparable à tout ce que le ciseau grec a produit de plus beau et de plus fini, et à la fois de plus vigoureux » (op. cit., p. 301)
Elle était exposée avec la copie de la Vénus d'Arles, dans la nef de l'ancienne église, de part et d'autre du tombeau d'Yppolyte. Cf. AN.-E Agard, « Le Musée Lapidaire d'Arles », Imprimerie générale du Sud-Ouest - J. Castanet, janvier 1924, p. 16 « Lire en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
Selon : « Patrimoine de la ville d'Arles : buste d'Aphrodite »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Pour sa part, Louis Jacquemin qui fait l'éloge au XIXe siècle de ce buste, juge qu'il est un « prodige de science sculpturale (qui fait) l'admiration des connaisseurs » et le qualifie de « chef-d'œuvre de l'art grecque » dont les détails sont « parfaits », op. cit., p. 382. On retrouve pareille sentence dans le Bulletin des sciences historiques, antiquité, philosophie des frères Champollion : « Elle est comparable à tout ce que le ciseau grec a produit de plus beau et de plus fini, et à la fois de plus vigoureux » (op. cit., p. 301)
Elle était exposée avec la copie de la Vénus d'Arles, dans la nef de l'ancienne église, de part et d'autre du tombeau d'Yppolyte. Cf. AN.-E Agard, « Le Musée Lapidaire d'Arles », Imprimerie générale du Sud-Ouest - J. Castanet, janvier 1924, p. 16 « Lire en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
Selon : « Patrimoine de la ville d'Arles : buste d'Aphrodite »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Pour sa part, Louis Jacquemin qui fait l'éloge au XIXe siècle de ce buste, juge qu'il est un « prodige de science sculpturale (qui fait) l'admiration des connaisseurs » et le qualifie de « chef-d'œuvre de l'art grecque » dont les détails sont « parfaits », op. cit., p. 382. On retrouve pareille sentence dans le Bulletin des sciences historiques, antiquité, philosophie des frères Champollion : « Elle est comparable à tout ce que le ciseau grec a produit de plus beau et de plus fini, et à la fois de plus vigoureux » (op. cit., p. 301)
Études par H. Lauter, « Der praxitelische Kopf Athen », Nationalmuseum 1762, Antike Plastik, 19, 1988, p. 21-29 ; C. Picard, « Manuel d'archéologue grecque ». La sculpture. Tome 3 : Période classique, IV° s., Paris, 1948-1966, 4 vol., p. 486-488 ; B. S. Ridgway, « The Aphrodite of Arles », in American Journal of Archæology, vol. 80, no 2, 1976, p. 153-154 - Illustration sur Wikimedia Commons
Elle était exposée avec la copie de la Vénus d'Arles, dans la nef de l'ancienne église, de part et d'autre du tombeau d'Yppolyte. Cf. AN.-E Agard, « Le Musée Lapidaire d'Arles », Imprimerie générale du Sud-Ouest - J. Castanet, janvier 1924, p. 16 « Lire en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
Selon : « Patrimoine de la ville d'Arles : buste d'Aphrodite »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Pour sa part, Louis Jacquemin qui fait l'éloge au XIXe siècle de ce buste, juge qu'il est un « prodige de science sculpturale (qui fait) l'admiration des connaisseurs » et le qualifie de « chef-d'œuvre de l'art grecque » dont les détails sont « parfaits », op. cit., p. 382. On retrouve pareille sentence dans le Bulletin des sciences historiques, antiquité, philosophie des frères Champollion : « Elle est comparable à tout ce que le ciseau grec a produit de plus beau et de plus fini, et à la fois de plus vigoureux » (op. cit., p. 301)