Incipiente liturgia eucharistica, instrui potest processio fidelium, in qua cum pane et vino praesentari possunt dona pro pauperibus. Interim cantatur sequens, vel alius cantus aptus. (Missale romanum, p. 303
p. 52 ; la notation manque de bémol ; toutefois, il était souvent que la partition ne notait pas le bémol, notamment dans les manuscrits italiens (voir Daniel Saulnier, Session de chant grégorien 2005 p. 47 [1])
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books.google.fr
Ronald G. Witt, The Two Latin Cultures and the Foudantion of Renaissance Humanisme in Medieval Italy, p. 20 - 21, Cambridge University Press 2012 (en) [4]
Karl Joseph von Hefele, Histoire des conciles d'après les documents originaux (755 - 870), p. 143, 1870 [5]
France Commission des missions scientifiques et littéraires, Archives des missions scientifiques et littéraires, tome I, numéro 1, p. 640 par Félix Danjou, Imprimerie Nationale, Paris 1801 [7]
N. Cloet, De la restauration du chant liturgique, ou ce qui est à faire pour arriver à posséder le meilleur chant romain possible, p. 36, 1852 [9]
Revue de la musique religieuse, populaire et classique, tome III, p. 268 - 269, 1847 [10]
Annibale Bugnini et le reste, La réforme de la liturgie (1948 - 1975), p. 667, note no 1049, 2015 [13]
A. Durand et fils, Cours de composition musicale, Livre 3 Vincent d'Indy, Auguste Sérieyx, p. 211, 220 et 223, 1950 [14]
Daniel Moulinet, Vatican II raconté à ceux qui ne l'ont pas vécu, p. 17, 2012 [15]