Cette reconnaissance du talent ne se limitait pas à l'astronomie et aux mathématiques. Il honora le poète soufi Qasem-e Anvar, qu'on avait pourtant soupçonné d'avoir eu part dans une tentative d'assassinat de son père. Alireza Nurbakhsh, La lettre soufie, no 48, p. 9
Toutefois, même si on s'accorde pour dire que les talents guerriers du père étaient loin devant ceux du fils, le fils avait « de qui tenir » ; Ármin Vámbéry, (History of Bokhara, p. 216), écrit qu'à la mort de Tamerlan Châhrokh ne se mêla qu'avec réticence des luttes de succession, parce qu'il « avait jusqu'alors trouvé l'atmosphère raffinée de la civilisation iranienne à Khorassan trop en accord avec ses goûts pour se préoccuper du gouvernement des pays de l'Oxus. »
st-andrews.ac.uk
www-history.mcs.st-andrews.ac.uk
John J. O’Connor et Edmund F. Robertson, « Qadi-zadeh Roumi », dans MacTutor History of Mathematics
Al-Kachi, dans une lettre à son père, nous montre Ulugh Beg chevauchant et faisant de tête le calcul d'une date que, une fois démonté, lui-même ne sut pas donner avec la même précision ; cela supposait aussi chez Ulugh Beg une mémoire exceptionnelle, dont nous avons d'autres témoignages. Extrait de cette lettre, traduit par David A. King et Mary Helen Kennedy (dir.), Studies in the Islamic exact sciences. Reprints of papers by E. S. Kennedy, colleagues and former students, American University of Beirut, 1983, p. 724
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Voir, dans les (en) Mémoires de Bâbur, traduits par A. S. Beveridge(en), p. 78 et suivantes sur archive.org.