« Christian Clavier, visiteur du rire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur arcinfo.ch, (consulté le ) : « Revoilà Christian Clavier, dans une comédie de Patrice Leconte tirée de la pièce de Florian Zeller "Une heure de tranquillité". L'acteur n'a pas vu la pièce créée sur scène par Fabrice Luchini (qui a décliné le film), mais il a été "estomaqué par l'écriture vacharde de Zeller. C'est un vrai moment de détente, et en même temps, à partir d'un micro-événement qui va avoir des effets dévastateurs, il y a une critique forte du monde d'aujourd'hui, de l'individualisme des hyperactifs, qui n'ont de temps pour personne ni pour eux-mêmes." ».
arcinfo.ch
« Christian Clavier, visiteur du rire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur arcinfo.ch, (consulté le ) : « Revoilà Christian Clavier, dans une comédie de Patrice Leconte tirée de la pièce de Florian Zeller "Une heure de tranquillité". L'acteur n'a pas vu la pièce créée sur scène par Fabrice Luchini (qui a décliné le film), mais il a été "estomaqué par l'écriture vacharde de Zeller. C'est un vrai moment de détente, et en même temps, à partir d'un micro-événement qui va avoir des effets dévastateurs, il y a une critique forte du monde d'aujourd'hui, de l'individualisme des hyperactifs, qui n'ont de temps pour personne ni pour eux-mêmes." ».
cbo-boxoffice.com
Florestan La Torre, « Analyse technique du box-office des vacances - semaines 51 et 52 (2014) », sur cbo-boxoffice.com, (consulté le ) : « Une heure de tranquillité cumule 476 882 entrées pour son premier week-end d'exploitation. Un démarrage flatteur qui lui ouvre les portes du million de spectateurs. Patrice Leconte n'avait pas été à pareille fête depuis Mon meilleur ami qui avait cumulé 1 067 616 spectateurs. Il devrait même, avec cette adaptation d'une pièce de Florian Zeller, atteindre le million et demi d'entrées. ».
« Christian Clavier, visiteur du rire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur arcinfo.ch, (consulté le ) : « Revoilà Christian Clavier, dans une comédie de Patrice Leconte tirée de la pièce de Florian Zeller "Une heure de tranquillité". L'acteur n'a pas vu la pièce créée sur scène par Fabrice Luchini (qui a décliné le film), mais il a été "estomaqué par l'écriture vacharde de Zeller. C'est un vrai moment de détente, et en même temps, à partir d'un micro-événement qui va avoir des effets dévastateurs, il y a une critique forte du monde d'aujourd'hui, de l'individualisme des hyperactifs, qui n'ont de temps pour personne ni pour eux-mêmes." ».
Thomas Sotinel, « « Une heure de tranquillité » : 80 minutes de boulevard, recette traditionnelle », sur www.lemonde.fr, (consulté le ) : « En 1999, Patrice Leconte suggérait que les critiques défavorables aux films sortant le mercredi soient publiées le jeudi suivant. En 2015, il met sa suggestion en pratique. Une heure de tranquillité, en salles depuis le 31 décembre, n’a pas été montré à la presse, ce qui prévient les commentaires négatifs – mais aussi les louanges. Peut-être le metteur en scène de Tandem n’en attendait-il pas. ».
« Christian Clavier, visiteur du rire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur arcinfo.ch, (consulté le ) : « Revoilà Christian Clavier, dans une comédie de Patrice Leconte tirée de la pièce de Florian Zeller "Une heure de tranquillité". L'acteur n'a pas vu la pièce créée sur scène par Fabrice Luchini (qui a décliné le film), mais il a été "estomaqué par l'écriture vacharde de Zeller. C'est un vrai moment de détente, et en même temps, à partir d'un micro-événement qui va avoir des effets dévastateurs, il y a une critique forte du monde d'aujourd'hui, de l'individualisme des hyperactifs, qui n'ont de temps pour personne ni pour eux-mêmes." ».
« Christian Clavier, visiteur du rire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur arcinfo.ch, (consulté le ) : « Revoilà Christian Clavier, dans une comédie de Patrice Leconte tirée de la pièce de Florian Zeller "Une heure de tranquillité". L'acteur n'a pas vu la pièce créée sur scène par Fabrice Luchini (qui a décliné le film), mais il a été "estomaqué par l'écriture vacharde de Zeller. C'est un vrai moment de détente, et en même temps, à partir d'un micro-événement qui va avoir des effets dévastateurs, il y a une critique forte du monde d'aujourd'hui, de l'individualisme des hyperactifs, qui n'ont de temps pour personne ni pour eux-mêmes." ».