Universalis, article de Jean-Yves Guérin indiquant en particulier que "S'étant dégagé de l'idiome idéologico-politique officiel, de la « langue de bois », Soljénitsyne a forgé une langue populaire mi-écrite mi-orale, truffée de mots anciens, d'argotismes et de dialectalismes. Les ellipses et les discontinuités font éclater le moule de la syntaxe classique. Aux slogans officiels, le narrateur sarcastique oppose des dictons anciens ou fabriqués et des énoncés à l'humour ravageur." [1]