Lors de l'inauguration de la stèle le , Pierre E. Lamaison, secrétaire général de l'Union des évadés de France prononce un discours inaugural au col et une allocution à la mairie de Céret (Evadé de France, juillet 1946, p. 2. (Lire les discours).
assemblee-nationale.fr
www2.assemblee-nationale.fr
Antoine Chalvet de Récy (Paris, 1913-Galluis, 1999), devient ultérieurement membre du cabinet civil du ministre de la Guerre (La Croix, , p. 2, col. 3) puis est élu député du Pas-de-Calais sous l'étiquette Républicains indépendants et siège à l'Assemblée Nationale de 1946 à 1951 (Biographie Assemblée Nationale). En 1949 il est soupçonné de malversations financières dans une affaire dite des Bons d'Arras (Merry Bromberger, « Antoine de Récy, soldat héroïque, puis « député-gangster » », Paris-Presse, l’Intransigeant, 2 novembre 1949, p. 1 (Lire en ligne), 5 et , p. 5, où il est donné, à tort, président de l’UEF).
La Dépêche du Berry, 16 décembre 1943 (Lire en ligne sur Retronews), « L'union des évadés de France s'agite », La Dépêche de Brest, 18-19 décembre 1943, p. 1 = (lire en ligne, consulté le )..
Les organisations de résistance sont représentées par leurs présidents MM. Valabrègue, Petitjean, Parent, Blanc, Prudhomme, Dr Morel, MM Aurange, Burger et Viala « La visite à Casablanca du Général de Gaulle », Le Petit Marocain, , p. 1-2 (lire en ligne, consulté le ).
Le Petit Marocain, 18 août 1943, p. 2 ; 11 novembre 1943, p. 2, col. 4. Le Petit Marocain peut être consulté en ligne sur Gallica.
Le Petit Marocain, 11 avril 1944, p. 2, Lire en ligne ; L’Écho d’Alger, 13 mars 1944, p. 2.
Article 6 de l’ordonnance du 7 janvier 1944 relative aux décorations décernées à l’occasion de la guerre (Journal Officiel de la République Française (France combattante), 76e année, 17 février 1944, no 15, p. 146, lire en ligne).
Journal Officiel, 78e année, no 256, 31 octobre 1946, p. 9270 (Lire en ligne).
Ministère des Armées, Décret no 46-742 du 4 avril 1946, article 1, Journal Officiel, 78e année, no 92, 18 avril 1946, p. 3258, (Lire en ligne).
Cabinet du Ministre des Armées, Instruction no 1131 du 10 avril 1946, Journal Officiel de Madagascar et de ses dépendances, 10 août 1946, p. 729 (Lire en ligne sur Gallica).
Loi no 46-1056 du 15 mai 1946,Journal Officiel, 78e année, no 114, 16 mai 1946, p. 4220-4221, lire en ligne sur Gallica.
« Loi du 25 mars 1949 relative au statut et aux droits des combattants volontaires de la résistance », Journal Officiel, 81e année, no 74, p. 3154, lire en ligne sur Gallica.
« Le voyage du général de Gaulle dans le Pays basque », Le Monde, 8 septembre 1947 ; Combat, 7 septembre 1947, p. 3 (Lire en ligne).
R. Moullec, « Le scandale des FFi prisonniers en Espagne », La Défense : organe de la Section française du Secours rouge international, no 371, , p. 1, 3 (lire en ligne, consulté le ).
Georges Fouet, « Bibliographie
— Émilienne Eychenne, Montagnards de la Liberté, Les évasions par l'Ariège et la Haute-Garonne, 1939-1945, Éditions Milan, 1984, Toulouse. », Revue de Comminges, vol. XCVII, , p. 520 (lire en ligne, consulté le ).
canalblog.com
329ri.canalblog.com
Jacques Meyer (Valenciennes, 1895-Cavalaire, 1987), engagé volontaire en , capitaine de réserve en 1933, participe au lancement de Radio-Cité en 1935 dont il devient le président aux côtés de Marcel Bleustein-Blanchet, administrateur délégué. Il s'évade en 1943 par les Pyrénées, prisonnier à Pampelune et à Madrid, il arrive à Oran en 1943. Administrateur de Radio-France à Alger en (L’Écho d'Alger, , p. 2, col. 4). À la libération il préside la SOFIRAD, est nommé conseiller d’État, commandeur de la Légion d'Honneur (Voir sa notice biographique).
defense.gouv.fr
servicehistorique.sga.defense.gouv.fr
Elles sont consultables à l'établissement de Vincennes du SHD sous la cote SHD, DE 2007 PA 65. « Le fonds est représentatif du travail effectué par la Croix-Rouge française en Espagne au cours de cette période : on y retrouve les fiches et dossiers individuels des réfugiés français pris en charge, ainsi que des rapports de voyage et un suivi des effectifs des internés français dans les différents camps et prisons d'Espagne. Les archives dévoilent également les actions de la Croix-Rouge, principalement l'aide financière et matérielle aux réfugiés et l'organisation de leur évacuation. Enfin, la correspondance générale d'André Boyer-Mas et la gestion comptable des délégations de la Croix-Rouge française en Espagne constituent une part importante du fonds » (Plan de classement du Service historique de la Défense (lire en ligne).
effelle.fr
Voir le récit de A. Lemaire, capitaine de vaisseau, président de l'Association (Var, Alpes-Maritimes, Corse, Haute Provence) des Combattants volontaires évadés de France par l'Espagne. Lire en ligne.
francaislibres.net
Le colonel Aimé-Pierre Urard alias Alouette, né en 1886 à Albertville, rejoint Londres en juillet 1940. Le 26 septembre 1941, il est désigné comme commandant Aimé Urard du bataillon d’Afrique à Blida par le tribunal militaire de Clermont-Ferrand qui, par contumace, le condamne à mort, à la dégradation militaire et à la confiscation de ses biens présents et à venir au profit de l’État (Paris-Soir, 27 septembre 1941). Il devient membre des FFL et reçoit la médaille de la Résistance et la médaille des évadés (voir sa fiche en ligne).
Les statuts déposés le à la préfecture d’Alger stipulent « Siège social : Alger, 1 rue du Docteur Trolard. But : Le groupement de ses membres afin de maintenir les liens de solidarité, de camaraderie et d’entraide mutuelle. L’assistance, suivant ses ressources, à tous les évadés qui seraient dans une situation digne d’intérêt. La défense des intérêts communs des membres de l’association. La création de tous centres d’accueil et foyers ou de groupements en vue d’apporter aux évadés toute aide morale ou matérielle dont ils auraient besoin. » (Journal Officiel, , p. 178, Lire en ligne).
Journal Officiel, 6 avril 1945, p. 1911, col. 2 (Lire en ligne)
Paris-presse, l’Intransigeant, 17 décembre 1944, p.2, col. 2 ; Journal Officiel, 6 avril 1945, annonce 48. (Lire en ligne).
legifrance.gouv.fr
René Noël Soulmagnon (Chambon-sur-Voueize (Creuse), 1889-Guéthary, 1982), président de l'Interfédération nord-africaine des victimes de guerre (L’Écho d'Alger, , p. 1, col. 6-7), directeur de l'Office de Tunisie à Alger (L’Écho d'Alger, , p. 2, col. 2), secrétaire général de la Fédération Française des anciens combattants et victimes de guerre en 1944 (L’Écho d'Alger, , p. 2, col. 2). Il reçoit, en 1947, la médaille de la Résistance française au titre du Ministère des Affaires étrangères (Journal Officiel, 13 juillet 1947, p. 6664, col. 2, Lire en ligne.
« Loi no 54-421 du 15 avril 1954 modifiant l'article 1er (deuxième alinéa) de la loi no 49-418 du 35 mars 1949 relative au statut et aux droits des combattants volontaires de la résistance », Journal Officiel, 86e année, no 89, 16 avril 1954, p. 3670, lire en ligne sur Legifrance.
Antoine Chalvet de Récy (Paris, 1913-Galluis, 1999), devient ultérieurement membre du cabinet civil du ministre de la Guerre (La Croix, , p. 2, col. 3) puis est élu député du Pas-de-Calais sous l'étiquette Républicains indépendants et siège à l'Assemblée Nationale de 1946 à 1951 (Biographie Assemblée Nationale). En 1949 il est soupçonné de malversations financières dans une affaire dite des Bons d'Arras (Merry Bromberger, « Antoine de Récy, soldat héroïque, puis « député-gangster » », Paris-Presse, l’Intransigeant, 2 novembre 1949, p. 1 (Lire en ligne), 5 et , p. 5, où il est donné, à tort, président de l’UEF).
René Chouteau (Chênehutte-les-Tuffeaux (Maine-et-Loire), 1891-Carqueiranne (Var), 1983), appelé en 1911, sous-lieutenant de réserve en 1914, lieutenant d’active en 1915, chef de bataillon en 1918, école supérieure de guerre, lieutenant-colonel en 1938, retraité en 1941. Il s’évade de France en septembre 1943, général de brigade en 1943, commandant la 8e région militaire en septembre 1944, puis général de corps d’armée il commande la 4e région militaire en 1946 (La Croix, 18 janvier 1947, lire en ligne ; 21 janvier 1947, p. 1 ; Service Historique de la Défense, 14 YD/1170).
La Dépêche du Berry, 16 décembre 1943 (Lire en ligne sur Retronews), « L'union des évadés de France s'agite », La Dépêche de Brest, 18-19 décembre 1943, p. 1 = (lire en ligne, consulté le )..