Pour Éloïse Lenesley, journaliste au Figaro : « S'y reprenant plusieurs fois, s'enlisant dans un fou rire incontrôlable qui eut tôt fait de contaminer Laurent Ruquier et les invités de l'émission, [Vanessa Burggraf] incarnait à elle seule, sans même en avoir conscience, ce décalage pernicieux, embarrassant, mêlé de mépris de classe, qui sépare une certaine caste médiatique de la France périphérique, celle qui se trouve de l'autre côté de l'écran, et qui sait ce que c'est, de se faire lourder sans espoir de se recaser. Philippe Poutou sait. Il se bat pour éviter la liquidation de son usine et sauver les emplois de ses collègues ». Source : Eloïse Lenesley, « Philippe Poutou chez Ruquier : la condescendance de la bobocratie médiatique », sur Le Figaro.fr, (consulté le )