Certains auteurs (voir par exemple: Duchess of Cleveland, The Battle Abbey Roll, vol. 3, J. Murray, London, 1889, p. 228) rattachent la famille anglo-normande Venables, issue de Gilbert de Venables, alias Gilbert Le Veneur, qui est cité en 1086 dans le Domesday Book, à Gautier Le Veneur, chevalier, confident et veneur du duc Richard Sans-Peur, qui combattit sur les bords de l'Epte en 968 (cf. Annales de la Société Jean-Jacques Rousseau, t.25, A. Jullien, Genève, 1936, p. 201) et fut sauvé par le duc lors de la bataille de Dieppe.
On peut remarquer que Venables se trouve à une dizaine de kilomètres du vieux fief des Le Veneur qu'est Le Homme et à seulement une dizaine de kilomètres également de leur autre vieux fief de Cavoville. Il serait donc tout à fait vraisemblable que les familles Venables et Le Veneur soient au départ une seule et même famille.
Gautier Le Veneur est notamment mentionné dans les récits du XIIe siècle :
- de Benoît de Sainte-Maure (cf. Chronique des ducs de Normandie par Benoît, tome 2, Imprimerie royale, 1838, pp. 211-213, ou encore Nouvelle histoire de Normandie Éd. André La Fresnaye, Versailles, Jalabert, 1814 p.69 et p.456),
- et de Wace (cf. Le Roman de Rou et des ducs de Normandie, vol. 1, pp.234-238).
Certains auteurs (voir par exemple: Duchess of Cleveland, The Battle Abbey Roll, vol. 3, J. Murray, London, 1889, p. 228) rattachent la famille anglo-normande Venables, issue de Gilbert de Venables, alias Gilbert Le Veneur, qui est cité en 1086 dans le Domesday Book, à Gautier Le Veneur, chevalier, confident et veneur du duc Richard Sans-Peur, qui combattit sur les bords de l'Epte en 968 (cf. Annales de la Société Jean-Jacques Rousseau, t.25, A. Jullien, Genève, 1936, p. 201) et fut sauvé par le duc lors de la bataille de Dieppe.
On peut remarquer que Venables se trouve à une dizaine de kilomètres du vieux fief des Le Veneur qu'est Le Homme et à seulement une dizaine de kilomètres également de leur autre vieux fief de Cavoville. Il serait donc tout à fait vraisemblable que les familles Venables et Le Veneur soient au départ une seule et même famille.
Gautier Le Veneur est notamment mentionné dans les récits du XIIe siècle :
- de Benoît de Sainte-Maure (cf. Chronique des ducs de Normandie par Benoît, tome 2, Imprimerie royale, 1838, pp. 211-213, ou encore Nouvelle histoire de Normandie Éd. André La Fresnaye, Versailles, Jalabert, 1814 p.69 et p.456),
- et de Wace (cf. Le Roman de Rou et des ducs de Normandie, vol. 1, pp.234-238).
Certains auteurs (voir par exemple: Duchess of Cleveland, The Battle Abbey Roll, vol. 3, J. Murray, London, 1889, p. 228) rattachent la famille anglo-normande Venables, issue de Gilbert de Venables, alias Gilbert Le Veneur, qui est cité en 1086 dans le Domesday Book, à Gautier Le Veneur, chevalier, confident et veneur du duc Richard Sans-Peur, qui combattit sur les bords de l'Epte en 968 (cf. Annales de la Société Jean-Jacques Rousseau, t.25, A. Jullien, Genève, 1936, p. 201) et fut sauvé par le duc lors de la bataille de Dieppe.
On peut remarquer que Venables se trouve à une dizaine de kilomètres du vieux fief des Le Veneur qu'est Le Homme et à seulement une dizaine de kilomètres également de leur autre vieux fief de Cavoville. Il serait donc tout à fait vraisemblable que les familles Venables et Le Veneur soient au départ une seule et même famille.
Gautier Le Veneur est notamment mentionné dans les récits du XIIe siècle :
- de Benoît de Sainte-Maure (cf. Chronique des ducs de Normandie par Benoît, tome 2, Imprimerie royale, 1838, pp. 211-213, ou encore Nouvelle histoire de Normandie Éd. André La Fresnaye, Versailles, Jalabert, 1814 p.69 et p.456),
- et de Wace (cf. Le Roman de Rou et des ducs de Normandie, vol. 1, pp.234-238).