Maurice Vloberg, Les fêtes de France: coutumes religieuses et populaires. Ouvrage orné de 181 héliogravures, couverture et hors-texte, B. Arthaud, (lire en ligne), p. 81
Martine Boiteux, « Les Juifs dans le Carnaval de la Rome moderne, XVIe – XVIIIe siècles », Mélanges de l'école française de Rome, vol. 88, no 2, , p. 745–787 (DOI10.3406/mefr.1976.2371, lire en ligne, consulté le )
Gérard Pelletier, « Chapitre I. Un Romagnol sur le trône de saint Pierre », dans Rome et la Révolution française : La théologie politique et la politique du Saint-Siège devant la Révolution française (1789-1799), Publications de l’École française de Rome, coll. « Collection de l'École française de Rome », (ISBN978-2-7283-0995-5, lire en ligne), p. 31–65
F.G. Dreyfus écrit dans Le protestantisme alsacien : « Le nombre de fidèles peut être confirmé par le recensement et les chiffres de réguliers ou irréguliers pouvaient être recoupés avec les chiffres de présence le 29 avril et avec ceux du Vendredi saint et du Dimanche de Pâques. » On voit que l'assistance à ces deux célébrations est caractéristique.
Martine Boiteux, « Les Juifs dans le Carnaval de la Rome moderne, XVIe – XVIIIe siècles », Mélanges de l'école française de Rome, vol. 88, no 2, , p. 745–787 (DOI10.3406/mefr.1976.2371, lire en ligne, consulté le )