Aux États-Unis, le système informatique de la DTCC est ainsi fait que le prêteur des titres dispose encore techniquement de ses droits de vote lors d'une assemblée générale tout comme le vendeur à découvert, qui les lui a empruntés ; d'où le débat, spécifique à ce pays, où la vente à découvert est quelquefois décrite comme une forme de contrefaçon ; on peut lire à ce sujet Stéphane Mortier, « Peut-on assimiler la spéculation à la baisse à de la contrefaçon ? », (consulté le ) ou (en) Matt Taibbi, « Wall Street's Naked Swindle », Rolling Stone, (consulté le )
Aux États-Unis, le système informatique de la DTCC est ainsi fait que le prêteur des titres dispose encore techniquement de ses droits de vote lors d'une assemblée générale tout comme le vendeur à découvert, qui les lui a empruntés ; d'où le débat, spécifique à ce pays, où la vente à découvert est quelquefois décrite comme une forme de contrefaçon ; on peut lire à ce sujet Stéphane Mortier, « Peut-on assimiler la spéculation à la baisse à de la contrefaçon ? », (consulté le ) ou (en) Matt Taibbi, « Wall Street's Naked Swindle », Rolling Stone, (consulté le )