Pour toutes les modifications, voir l'étude de George Warren McGrath, The Revision of the Hymns of the Roman Breviary under Urban VIII, p. 139 (chant n° 51) [19]
p. XXI ; Selon Frederick Leo, ces manuscrits n'était pas les copies directes ; il présumait que le manuscrit à Saint-Pétersbourg serait une copie d'un manuscrit perdu et que les deux autres seraient issues des autres sources intermédiaires [1].
Johann Kayser, Beiträge zur Geschichte und Erklärung der der ältesten Kirchenhymnen, p. 401, 1881 (la + de) [6]