La curiosité, l'intérêt, l'amusement, le rire, les larmes, l'observation perpétuelle de tout ce qui est nature, l'enveloppe merveilleuse du style, le drame doit avoir tout cela, sans quoi il ne serait pas le drame ; mais, pour être complet, il faut qu'il ait aussi la volonté d'enseigner, en même temps qu'il a la volonté de plaire, écrit-il dans la préface d'Angelo ; la même pensée anime Balzac ; in Pierre Laubriet : L'intelligence de l'art chez Balzac: d'une esthétique balzacienne p. 372.
Voir aussi Victor Hugo, dessinateur, discours académique de Pierre Rosenberg, prononcé le 28 février 2002, pour la célébration du bicentenaire de la naissance de Victor Hugo.
Alain Decaux, « Victor Hugo et Dieu », discours prononcé à l'occasion de la célébration du bicentenaire de la naissance de Victor Hugo, sur academie-francaise.fr, .
François Mauriac: il répond à une enquête de la revue Liberté de l'esprit à l'occasion du cent-cinquantenaire de la naissance de Hugo. Adpf, « Hugo et ses contemporains ».
Voir aussi Exposition de la BnF, manuscrit de Hugo ainsi légendé : La date anniversaire du 16 février, sera désormais fêtée chaque année par un message de Victor Hugo dans le petit livre rouge de Juliette, baptisé le « Livre de l'Anniversaire ».
Lire dans Lettres parisiennes, vol. 3 d'Émile de Girardin les tentatives de Thiers pour concilier le parti de Jouy et les contusions qu'il a peur d'en recevoir.
Flaubert l'appelle l'immense vieux et il a droit à des funérailles nationales telles que Barrès évoqua à ce propos la hugolâtrie du peuple français dans René Souriac, Patrick Cabanel : Histoire de France, 1750-1995: Société, culture.
La curiosité, l'intérêt, l'amusement, le rire, les larmes, l'observation perpétuelle de tout ce qui est nature, l'enveloppe merveilleuse du style, le drame doit avoir tout cela, sans quoi il ne serait pas le drame ; mais, pour être complet, il faut qu'il ait aussi la volonté d'enseigner, en même temps qu'il a la volonté de plaire, écrit-il dans la préface d'Angelo ; la même pensée anime Balzac ; in Pierre Laubriet : L'intelligence de l'art chez Balzac: d'une esthétique balzacienne p. 372.
Hans Christian Andersen and music: the nightingale revealed: In general, literary historians have presented Hugo as being rather hostile toward music, but this is something as a misconception. It is true that Hugo generally opposed the production of musical works based on his plays, but he nonetheless revered music quite highly, especially what he referred to as "retrospective music. p. 44 in Hans Christian Andersen and music: the nightingale revealed, Anna Harwell Celenza, Ashgate Publishing, 2005.
Corinne Saminadayar-Perrin, Qu'est-ce qu'un événement littéraire au XIXe siècle ?, Saint-Étienne, université de Saint-Étienne, , 318 p. (ISBN978-2-86272-479-9, lire en ligne), p. 155.
Voir p. 24 in A Victor Hugo encyclopedia, John A. Frey, Greenwood Press, 1999.
Voir, à titre d'illustration, la controverse « Dumas-Cassagnac » p. 196-199, Alexandre Dumas - His Life and Works, F. Davidson, Hesperides Press, 2006.
Voir p. 59 et suiv. in Victor Hugo, Marieke Stein, Le Cavalier Bleu, 2007.
Voir - entre autres - le commentaire de Ludmila Charles-Wurtz sur le site Gallimard. Extrait : « Les Contemplations sont le chef-d'œuvre de la poésie lyrique de Hugo, parce que le recueil se donne à lire comme une autobiographie universelle. C'est une œuvre d'exil - écrite en exil, mais aussi produite par l'exil. Cet exil est d'abord politique ; il est aussi intérieur. À la catastrophe du coup d'État, Hugo associe la mort de sa fille : le proscrit qui parle dans Les Contemplations est exilé hors de son pays et hors de lui-même, si bien que chaque lecteur peut s'identifier à lui. ».
Marieke Stein, « Victor Hugo en 1848 : « Tiens ! Ce n’est que ça, la République ? » », dans Edward Castleton et Hervé Touboul, Regards sur 1848, Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, (ISBN978-2-84867-539-8, DOI10.4000/books.pufc.22614), p. 261-277
Alain Corbellari, « Paul Lacroix, «L’homme-livre» du xixe siècle, M. Le Bail et M. Charreire (dir.) », Studi Francesi. Rivista quadrimestrale fondata da Franco Simone, no 183 (LXI | III), , p. 570–571 (ISSN0039-2944, DOI10.4000/studifrancesi.10688, lire en ligne, consulté le )
Maxime Prévost, « La charge visionnaire. Rêveurs et railleurs dans les Châtiments de Victor Hugo », Études françaises, vol. 59, no 2, , p. 117-131 (lire en ligne)
Corinne François-Denève, « Victor Hugo: la jeunesse d'un poète », CPTC - Centre Pluridisciplinaire Textes et Cultures [Dijon], (lire en ligne, consulté le )
Alain Corbellari, « Paul Lacroix, «L’homme-livre» du xixe siècle, M. Le Bail et M. Charreire (dir.) », Studi Francesi. Rivista quadrimestrale fondata da Franco Simone, no 183 (LXI | III), , p. 570–571 (ISSN0039-2944, DOI10.4000/studifrancesi.10688, lire en ligne, consulté le )
Myriam Roman : la romancière explique en quoi le roman hugolien se démarque du roman scottien : « Il [Victor Hugo] se propose de dépasser les cadres posés par Scott : ouverture du genre romanesque sur l'épopée et le grandiose, dilatation du réel vers l'idéal. » dans Victor Hugo et le roman historique, sur le site du Groupe Hugo].
Arnaud Laster précise qu'on n'a jamais trouvé la fameuse formule que l'on lui prête : Défense de déposer de la musique le long de mes vers . Il n'était sans doute pas si hostile que cela à la mise en musique de ses textes comme en témoigne La Esmeralda de Louise Bertin. dans Groupe Hugo, séance du 25 janvier 1997.
Annette Rosa, Victor Hugo, l'éclat d'un siècle, Messidor (lire en ligne), p. 24.
« Fantastic Art, Dada, Surrealism », sur moma.org; « "Tête de diable", de Victor Hugo », sur France Culture, (consulté le ); Gérard Audinet, « Préface », dans Vincent Gille (dir.), La cime du rêve : les surréalistes et Victor Hugo (exposition, Paris, Maison de Victor Hugo, 17 octobre 2013-16 février 2014), Paris-musées, (ISBN978-2-7596-0226-1), p. 15.
monde-diplomatique.fr
« Victor Hugo et le Sac du Palais d'Été, lettre au capitaine Butler », Le Monde diplomatique, octobre 2004, p. 18, lire en ligne.
Alain Corbellari, « Paul Lacroix, «L’homme-livre» du xixe siècle, M. Le Bail et M. Charreire (dir.) », Studi Francesi. Rivista quadrimestrale fondata da Franco Simone, no 183 (LXI | III), , p. 570–571 (ISSN0039-2944, DOI10.4000/studifrancesi.10688, lire en ligne, consulté le )
« Archives de Paris », Paris 16e, acte du 23/5/1885 no 546, registre V4E7322, vue no 14.
persee.fr
Bernard Leuilliot, « Éditer Victor Hugo », Romantisme, 1973, no 6, Figures du lyrisme, p. 111-123.
En 1880, il est président d'honneur de l'union de propagande anticléricale (voir Lalouette Jacqueline. Dimensions anticléricales de la culture républicaine (1870-1914) dans Histoire, économie et société, 1991, 10e année, no 1, Le concept de révolution, p. 127-142).
« Fantastic Art, Dada, Surrealism », sur moma.org; « "Tête de diable", de Victor Hugo », sur France Culture, (consulté le ); Gérard Audinet, « Préface », dans Vincent Gille (dir.), La cime du rêve : les surréalistes et Victor Hugo (exposition, Paris, Maison de Victor Hugo, 17 octobre 2013-16 février 2014), Paris-musées, (ISBN978-2-7596-0226-1), p. 15.
Brigitte Braud, « L'écriture des émotions dans l'Homme qui rit de Victor Hugo et ses lectures : illustrations, parodies, adaptations », Paris 7, Paris 7, (lire en ligne, consulté le )
« Il faut, pour que l’univers soit en équilibre, qu’il y ait en Europe, comme la double clef de voûte du continent, deux grands États du Rhin, tous deux fécondés et étroitement unis par ce fleuve régénérateur ; l’un septentrional et oriental, l’Allemagne, s’appuyant à la Baltique, à l’Adriatique et à la mer Noire, avec la Suède, le Danemark, la Grèce et les principautés du Danube pour arcs-boutants ; l’autre, méridional et occidental, la France, s’appuyant à la Méditerranée et à l’océan, avec l’Italie et l’Espagne pour contreforts. », Victor Hugo, Le Rhin, Conclusion - Lire en ligne.
Victor Hugo, « I », dans William Shakespeare, A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, éditeurs, (lire en ligne), v–46
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« La cime du rêve, Les surréalistes et Victor Hugo », sur Maison Victor Hugo : « Hugo a utilisé dans ses dessins des techniques extra-picturales et ludiques – le frottage, l'empreinte, la tâche, la réserve, le grattage, le pochoir [...] – que nombre de peintres surréalistes reprendront afin, eux aussi, « d'intensifier leurs qualités visionnaires » », p. 2. Extrait du dossier de presse de l’exposition; voir catalogue : Gille 2013.