Julien Béal, Le Japon dans la collection photographique du peintre Louis-Jules Dumoulin (1860-1924). 2017. Page 7. hal-01517490v3 (consulté le 25/05/2017)
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La chercheuse britannique Bernadette Murphy a enquêté pendant cinq ans pour percer cette énigme. Elle a retrouvé en particulier aux archives de Los Angeles le croquis du Dr Rey montrant nettement le trait de coupe de l'oreille. Voir documentaire Van Gogh, l'énigme de l'oreille coupée [ The Mystery of Van Gogh's Ear ], de Jack MacInnes, sur un scénario de Bernadette Murphy, de Lion Television & ARTE, 2016 [présentation en ligne]
(en) J. L. Aragón, Gerardo Naumis, M. Bai, M. Torres et P. K. Maini, « Kolmogorov scaling in impassioned Van Gogh paintings », Arxiv, (lire en ligne).
(en) Stefan Koldehoff, « The Wacker forgeries: a catalogue », in: Van Gogh Museum Journal, 2002, p. 139 — lire en ligne.
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(en) I. Kaufman Arenberg, Vincent J.M. Di Maio, Michael M. Baden, « A Reevaluation of the Death of Vincent van Gogh: Suicide or Murder? The Need for a Definitive Autopsy », The American Journal of Forensic Medicine and Pathology, vol. 41, no 4, , p. 291-298 (DOI10.1097/PAF.0000000000000595).
Manon Botticelli, « "Racines", l'ultime toile inachevée de Vincent van Gogh, lève le mystère des dernières heures du peintre », France Info, (lire en ligne)
Adèle Smith, « Vincent van Gogh ne se serait pas suicidé : Une nouvelle biographie du peintre remettant en cause la thèse du suicide laisse entrevoir la possibilité d'un assassinat ou d'un accident. », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
Sur le livre d'admission, Peyron note le : « admis le », que Vincent van Gogh souffre « d'hallucinations auditives et visuelles ». Il y ajoute en sortie le : « pendant son séjour le patient était calme la plupart du temps », pendant les crises « il est sujet à des attaques de terreurs », « a tenté de s'empoisonner en avalant de la peinture », et boit l'huile des lampes. Entre ces crises, le patient est calme et lucide et se dévoue passionnément à la peinture (voir Le grand registre de l’asile de Saint-Rémy-de-Provence)
Lettre no 678 de Vincent van Gogh à Willemien van Gogh, Arles, le 9 et vers le 14 septembre 1888 (F) : « … je l'ai peint un peu en poète, la tête fine & nerveuse se détachant sur un fond de ciel de nuit d'un outremer profond avec les scintillements des étoiles. »voir Lettre no 678