« The fate of Volapük was sealed when its supporters, in the year 1889, made the experiment of organising a congress at which Volapük should be spoken. Although a few Volapükists succeeded in speaking the language, it was only too painfully evident that such a goal could not be reached with this system. », (en) R. Lorenz (trad. F. Donnan), « TheDélégation pour l'adoption d'une langue auxiliaire internationale », dans International Language and Science : Considerations on the Introduction of International Language into Science, Londres, Constable, (lire en ligne [PDF]), p. 16-17.
bnf.fr
gallica.bnf.fr
C. E. Curinier, Dictionnaire national des contemporains, t. 2, Office général d'édition de librairie et d'imprimerie, (lire en ligne), p. 120
« Association française pour la propagation du volapük », Le Volapük. Revue publiée sous le patronage de l'Association française pour la propagation du volapük, vol. 1, no 1, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
Albert Vanloo, Sur le plateau : Souvenirs d'un librettiste, Paris, Paul Ollendorff, (lire en ligne), p. 191.
Annuaire pontifical catholique, Paris, Maison de la bonne presse, (lire en ligne), p. 341.
digitale-sammlungen.de
daten.digitale-sammlungen.de
(de) Johann Martin Schleyer, « Ein Weltalfabet », Sionsharfe. Monatsblätter für katholische Poesi, vol. 3, no 21, , p. 186-188 (lire en ligne, consulté le ).
(de) Johann Martin Schleyer, Entwurf einer Weltsprache und Weltgrammatik für die Gebildeten aller Völker der Erde, Singmaringen, Sionsharfe, (lire en ligne).
esperantic.org
(eo) Detlev Blanke, « Intervjuo kun la Cifal VolapükaHermann Philipps », Informilo por Interlingvistoj, 3e série, nos 92-93, , p. 19 (ISSN1385-2191, lire en ligne, consulté le ). Robert Pontnau note pareillement que la plupart des volapükistes est ou a été membre d'un autre mouvement pour une LAI, et que c'est l'intérêt historique qui domine (Pontnau 2007, p. 24-25).
(eo) Detlev Blanke, « Intervjuo kun la Cifal VolapükaHermann Philipps », Informilo por Interlingvistoj, 3e série, nos 92-93, , p. 21 (ISSN1385-2191, lire en ligne, consulté le ).
(vo) Frank Roger (trad. de l'anglais par Ralph Midgley), Vom filik e konots votik [« The Burning Woman and Other Stories »] [« La femme qui brûle et autres histoires »], Cathair na Mart, Evertype, (ISBN9781904808923, présentation en ligne).
Cf. par exemple cette citation : « Malgré son sensationnel essor initial, la popularité du volapük déclina à grande vitesse. Même si d'autres langues construites globales, comme l'espéranto et l'idiom neutral, peuvent avoir joué un rôle dans cela, au bout du compte ce furent les dissensions internes qui démantelèrent le réseau auparavant substantiel des sociétés de volapük à travers l'Europe occidentale. » (texte original : « Despite its sensational initial rise, Volapük’s popularity declined at a rapid rate. While other global constructed languages, such as Esperanto and Idiom Neutral, may have played a role in this, ultimately, it was internal dissention that dismantled the once-substantial network of Volapük societies across Western Europe. », (en) « Legend Neutral », sur The Global Contemporary Art Worlds After 1989 (consulté le ).
google.fr
books.google.fr
Les sources se contredisent sur le nombre exact, mais toutes soulignent que Schleyer était un polyglotte. Ernst Drezen parle de 40 langues maîtrisées (Drezen 1931, p. 100) ; Arden Smith parle de 55 (Smith 2011, p. 26) ; Peter Foster rapporte de 50 à 89 ((en) Peter Glover Forster, The Esperanto Movement, La Haye, Mouton, coll. « Contributions to the sociology of language » (no 32), (ISBN9027933995, lire en ligne), p. 46).
(de) Johan Martin Schleyer, « Wie kam der Erfinder der Weltsprache zur Idee seiner Erfindung », Rund um die Welt, , col. 3 (lire en ligne).
(en) Peter Glover Forster, The Esperanto Movement, La Haye, Mouton, coll. « Contributions to the sociology of language » (no 32), (ISBN9027933995, lire en ligne), p. 47.
Le Weltspracheverein Nürnberg, après la mort de Léopold Einstein, abandonne l'espéranto pour se consacrer d'abord à l'idiom neutral, puis l'abandonne à son tour pour adhérer à l'ido. Cf. (de) Marcus Sikosek, « Dokumente zum „Weltspracheverein Nürnberg” », Esperantologio / Esperanto Studies, vol. 3, , p. 45-54 (ISSN1404-4749 et 1311-3496, lire en ligne [PDF], consulté le )
(eo) Detlev Blanke, « Intervjuo kun la Cifal VolapükaHermann Philipps », Informilo por Interlingvistoj, 3e série, nos 92-93, , p. 19 (ISSN1385-2191, lire en ligne, consulté le ). Robert Pontnau note pareillement que la plupart des volapükistes est ou a été membre d'un autre mouvement pour une LAI, et que c'est l'intérêt historique qui domine (Pontnau 2007, p. 24-25).
(eo) Detlev Blanke, « Intervjuo kun la Cifal VolapükaHermann Philipps », Informilo por Interlingvistoj, 3e série, nos 92-93, , p. 21 (ISSN1385-2191, lire en ligne, consulté le ).
liberafolio.org
(eo) Yves Nevelsteen, « Volapuko jam superas Esperanton en Vikipedio », Libera Folio, (lire en ligne [html], consulté le ).
newenglishreview.org
Le succès relatif de l'espéranto et sa survie jusqu'à nos jours montre que les trémas du volapük, très critiqués (par exemple dans (en) Mary Jackson, « Volapük - Esperanto for losers », sur New English review, (consulté le )), ne sont pas une raison essentielle de cet échec du volapük, puisque l'alphabet de l'espéranto possède des lettres qui étaient bien plus difficiles à imprimer au XIXe siècle (ĉ, ĝ, ĥ, ĵ, ŝ et ŭ) que les simples trémas, courants dans les langues européennes et particulièrement l'allemand.
« Volapük ne estis venkita de Esperanto, kiel multaj personoj pensas tute erare; ĝi pereis per si mem en tiu tempo, kiam la trankvile kaj senartifike laboranta Esperanto estis ankoraŭ tro malforta, por iun venki », (eo) Louis-Lazare Zamenhof, Originala Verkaro : Antaŭparoloj — Gazetartikoloj — Traktaĵoj — Paroladoj — Leteroj — Poemoj, Leipzig, Ferdinand Hirt & Sohn, (lire en ligne).
uea.org
katalogo.uea.org
L'éditeur allemand Iltis a beaucoup publié de petits ouvrages, en allemand et en espéranto, sur le volapük et la vie de Schleyer. Nous n'en présentons ici qu'une sélection. Pour voir leur collection, voir cette page.
Dans ce document : (en) « Latin Extended-D. Range: A720–A7FF » [PDF], sur unicode.org (consulté le ), les nouveaux arrivants sont surlignés en jaune ; c'est le cas pour les caractères volapüks.
Le Weltspracheverein Nürnberg, après la mort de Léopold Einstein, abandonne l'espéranto pour se consacrer d'abord à l'idiom neutral, puis l'abandonne à son tour pour adhérer à l'ido. Cf. (de) Marcus Sikosek, « Dokumente zum „Weltspracheverein Nürnberg” », Esperantologio / Esperanto Studies, vol. 3, , p. 45-54 (ISSN1404-4749 et 1311-3496, lire en ligne [PDF], consulté le )
villagevoice.com
(en) Paul Lafarge, « Pük, Memory » [html], sur The Village Voice, (consulté le ) donne 20, et Pontnau 2007, p. 24 donne 30.
Cf. l'article « Laborista Esperanto-movado » (Mouvement espérantiste des travailleurs), sur Vikipedio, la Wikipédia espérantophone.
vo.wikipedia.org
Selon l'article « Auguste Kerckhoffs » de Vükiped, la Wikipédia volapüke, il existe des traductions en danois par Wilhelm Hansen, en allemand par Wilhelm Pflaumer, en anglais par Henry Harrison (anglais britannique) et Louis Lambert (anglais américain), en hongrois par Béla Zsigmondy, en néerlandais par Arthur Heyligers et en suédois par Gustav Liedbeck.
wikisource.org
wikisource.org
« Volapük calöfik nuik edavedon ko kesev e zep oba sekü revid fefik ä staböfik fa kadäman: ‚Arie de Jong‛ [...] Do pidob, das votükams, kels pelüblinons Volapüke, evedons mödikums, ka ispetob, elogob nitedälo e lobülo revidi at, bi me Volapük perevidöl at omögos ad lifükön Volapükamufi, ed ad koedön dönu florön Volapüki. Sekü kod at notodob is kazetiko, das ezepob ed eli „Gramat Volapüka“ ed eli „Wörterbuch der Weltsprache“ pelautölis fa kadäman: ‚Dr Arie de Jong‛ », Albert Sleumer, Büad Cifala de 1934, Yanul 1, Texte disponible sur Wikisource.
fr.wikisource.org
Écrit par Franz Zorell et publié dans : (de + vo) Sigmund Spielmann, Volapük-Almanach für 1888, Leipzig, Eduard Heinrich Mayer, (lire sur Wikisource), p. 75.