Présentation de ce projet et de cet hommage : « Zebda chante le mythe populaire Victor Jara », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ). Et aussi, avec le texte complet : (es + fr) Zebda, « Comme un guitariste chilien », sur chansons contre la guerre, (consulté le ).
cairn.info
Olivier Compagnon et Caroline Moine, « Introduction — Pour une histoire globale du 11 septembre 1973 », Monde(s), vol. 2015/2, no 8, , pages 9 à 26 (lire en ligne, consulté le ).
cancioneros.com
(es) Víctor Jara, « Tiempos que cambian » [« Les temps qui changent »], sur cancioneros.com, (consulté le ).
chantonseneglise.fr
Texte complet : Mannick / Gaëtan de Courrèges, « Ils sont des forêts », sur chantonseneglise.fr, Bayard éd. (consulté le ). Partition payante accessible : « Ils sont des forêts ».
cinechile.cl
Ce titre de ¡Presente! reprend un des slogans des manifestations au Chili [appelées Jara Funa : voir ▶Gilles Thomat, « La Funa de Victor Jara », , et ▶(es) Cristian R. Villablanca, Nèlida D. Ruiz de los Paños, « La funa de Víctor Jara » [court-métrage 30 min], sur Cinechile (enciclopedia del cine chileno), (consulté le )] exigeant que toute la lumière soit faite par la justice sur les circonstances et les responsables de son assassinat : « — ¿Víctor Jara? — ¡Presente! » (« — Víctor Jara ? — Présent ! »), ce slogan indiquant que Jara est toujours présent, vivant au cœur et dans la mémoire de son peuple (voir la photo dans la boîte de présentation après le tite de l'article). Le même album est d'abord paru en France sous le titre suivant (sans point d'exclamation) : ▶Víctor Jara, « Presente Chile Septiembre 1973 », sur Discogs, Canto Libre / Dicap / Le Chant Du Monde / Pathé Marconi EMI (n° cat. : DCP 109 - DF 70 - 305193 - 305194), (consulté le ).
collectifs.net
risal.collectifs.net
Sur les difficiles relations — risquées — d'Allende et de l'Unidad Popular avec l'armée chilienne, on pourra consulter un célèbre article-manifeste écrit par Gabriel García Márquez à l'occasion de la commémoration des trente ans du coup d’État, et publié originellement sur "RISAL", le Réseau d'Information et de Solidarité avec l'Amérique Latine : Gabriel García Márquez, « Le 11 septembre 1973 : chronique d’une tragédie organisée », sur RISAL, (consulté le ), p. 5 : « L’armée la plus sanguinaire au monde ». Cet article, dont l'original sur RISAL est peu accessible, a été republié à date anniversaire sur le blog "Cuba Si Lorraine" : Gabriel García Márquez, « Le 11 septembre 1973 : chronique d’une tragédie organisée », sur cubasilorraine.over-blog.org, (consulté le ). On pourra lire aussi : Tomás Moulian, « Le rêve brisé de Salvador Allende : une expérience démocratique écrasée par l’armée », Le Monde diplomatique, , pp. 16 et 17 (lire en ligne, consulté le ).
discogs.com
Ce premier album s'est d'abord intitulé simplement « Víctor Jara » : Víctor Jara, « Víctor Jara », sur Discogs, Demon, puis Arena Producciones (n° cat. : LPD-034-X), (consulté le ).
Cet album a en effet connu, au fil des rééditions, trois titres différents au contenu identique (mais l'ordre des chansons peut varier). Première édition : Víctor Jara, « Víctor Jara 2 », sur Discogs, Odeon (n° cat. : LDC-36637), (consulté le ).
Cet album, avec les mêmes chansons mais dans un ordre différent, s'est d'abord intitulé : Víctor Jara, « Pongo en tus manos abiertas », sur Discogs, Jota Jota (n° cat. : JJL -03), (consulté le ). On y trouve en premier la chanson A Luis Emilio Recabarren qui justifie le titre de l'album, parce qu'elle commence par ces vers : « Pongo en tus manos abiertas / Mi guitarra de cantor / Martillo de los mineros / Arado del labrador » (« Je dépose dans tes mains ouvertes / Ma guitare de chanteur / Marteau des mineurs / Charrue du laboureur »). Du fait du succès immédiat de sa chanson Te recuerdo Amanda (« Je me souviens de toi Amanda »), celle-ci a été placée en tête de la réédition de l'album et lui a donné son titre. Il y évoque avec tendresse le visage de sa mère, Amanda Martínez, jeune, courant (« épanouie, ravie, ruisselante [sous la pluie] », comme l'avait dit Prévert dans Barbara) à son premier rendez-vous d'amour avec Manuel, le père de Victor, sur fond de luttes sociales et de grèves.
Réédition de cet album en CD avec des titres-bonus : Víctor Jara, « Pongo en tus manos abiertas », sur Discogs, WEA, puis Warner Music Chile (n° cat. : 5186 54628-2), (consulté le ).
Ce titre de ¡Presente! reprend un des slogans des manifestations au Chili [appelées Jara Funa : voir ▶Gilles Thomat, « La Funa de Victor Jara », , et ▶(es) Cristian R. Villablanca, Nèlida D. Ruiz de los Paños, « La funa de Víctor Jara » [court-métrage 30 min], sur Cinechile (enciclopedia del cine chileno), (consulté le )] exigeant que toute la lumière soit faite par la justice sur les circonstances et les responsables de son assassinat : « — ¿Víctor Jara? — ¡Presente! » (« — Víctor Jara ? — Présent ! »), ce slogan indiquant que Jara est toujours présent, vivant au cœur et dans la mémoire de son peuple (voir la photo dans la boîte de présentation après le tite de l'article). Le même album est d'abord paru en France sous le titre suivant (sans point d'exclamation) : ▶Víctor Jara, « Presente Chile Septiembre 1973 », sur Discogs, Canto Libre / Dicap / Le Chant Du Monde / Pathé Marconi EMI (n° cat. : DCP 109 - DF 70 - 305193 - 305194), (consulté le ).
Víctor Jara, « Manifiesto », sur Discogs, Discos Pueblo (n° cat. : DP-1013), (consulté le ).
Victor Jara, « El Recital », sur Discogs, Alerce (cat. n° ALC 121), puis Warner Music Chile (cat. n°5046 65980-2), 1983, puis 2003 (rééd.) (consulté le ).
Victor Jara, « En México », sur Discogs, Alerce (cat. n° CDAL 0252), puis Warner Music Chile (cat. n° 8573 87607-2), 1970, copyright en 1971, 1ère édition : 1996, puis 2001 (rééd.) (consulté le ).
Cette chanson, Auròst tà Victor Jara, fait partie de l'album : Gilbert Narioo / Nadau, « Los de Nadau », sur Discogs, France, Ventadorn (n° cat. : VS 3 L 8), (consulté le ), face B, n°3.
L'album : (br + fr) Gilles Servat, « L'hirondelle », sur Discogs, Kalondour (n° cat. : 6325 725), (consulté le ). Écouter la chanson en ligne, avec le texte en breton et sa traduction en français : (br + fr) Gilles Servat, « Gwerz Victor C'hara », sur YouTube, (consulté le ).
Album : Julos Beaucarne, « Chandeleur Septante Cinq », sur Discogs, France, RCA Victor (n° cat. : YBPL 1.475 ), (consulté le ).
Références de l'album : Jean Ferrat, « 1974-1975 », sur Discogs, Disques Temey (n° cat. : 598.012), (consulté le ).
Références de la réédition de l'album : Jean Ferrat, « La femme est l'avenir de l'homme », sur Discogs, Disques Temey (n° cat. : 2400471), (consulté le ).
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(es) « Miles de personas despiden y cantan a Víctor Jara en un funeral popular » [« Des milliers de personnes pour chanter Víctor Jara et lui dire adieu en des funérailles populaires »], El País, (lire en ligne, consulté le ).
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« Chili : arrestation des assassins présumés du chanteur Victor Jara », Euronews, (lire en ligne).
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Ce titre de ¡Presente! reprend un des slogans des manifestations au Chili [appelées Jara Funa : voir ▶Gilles Thomat, « La Funa de Victor Jara », , et ▶(es) Cristian R. Villablanca, Nèlida D. Ruiz de los Paños, « La funa de Víctor Jara » [court-métrage 30 min], sur Cinechile (enciclopedia del cine chileno), (consulté le )] exigeant que toute la lumière soit faite par la justice sur les circonstances et les responsables de son assassinat : « — ¿Víctor Jara? — ¡Presente! » (« — Víctor Jara ? — Présent ! »), ce slogan indiquant que Jara est toujours présent, vivant au cœur et dans la mémoire de son peuple (voir la photo dans la boîte de présentation après le tite de l'article). Le même album est d'abord paru en France sous le titre suivant (sans point d'exclamation) : ▶Víctor Jara, « Presente Chile Septiembre 1973 », sur Discogs, Canto Libre / Dicap / Le Chant Du Monde / Pathé Marconi EMI (n° cat. : DCP 109 - DF 70 - 305193 - 305194), (consulté le ).
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Thomas Huchon, Salvador Allende : c'est une idée qu'on assassine, Editions Eyrolles, , 223 p. (ISBN9782212557336, lire en ligne), p. 148.
Bruno Doucey, Victor Jara : "Non à la dictature", Actes Sud, , 98 p. (lire en ligne).
Les Lettres néo-latines, vol. 98, La Société, (lire en ligne), p. 106.
(en) Yuliya Minkova, Making Martyrs: The Language of Sacrifice in Russian Culture from Stalin to Putin, Boydell & Brewer, , 237 p. (ISBN9781580469142, lire en ligne)
greatsong.net
On peut lire le texte entier de la chanson en ligne, avec un lien pour l'écouter : Guy Thomas / Jean Ferrat, « Le bruit des bottes », sur greatsong.net, (consulté le )
Récit de Miguel Cabezas, cité par Dominique Bari, « Une nuit de terreur longue de dix-sept ans », L'Humanité, (lire en ligne).
Présentation de ce projet et de cet hommage : « Zebda chante le mythe populaire Victor Jara », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ). Et aussi, avec le texte complet : (es + fr) Zebda, « Comme un guitariste chilien », sur chansons contre la guerre, (consulté le ).
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(es) Jaime Flórez Meza, « La pasión y muerte de Víctor Jara » [« La Passion et la mort de Víctor Jara »], sur la cola de rata.co, (consulté le ), § 3.
On trouvera en ligne les paroles de cette chanson : Pierre Chêne, « Qui donc était cet homme », sur Le Coin Zic - Tablatures.info (consulté le ).
lecourrier.ch
Sur cette connexion des coups d’État et répressions fascistes avec la montée de la pensée néolibérale, on pourra lire l'interview de José Cademartori(es), le dernier ministre de l’Économie de Salvador Allende, économiste, député communiste et fondateur de la section chilienne d'Attac (propos recueillis par Benito Perez), dans : « Au coeur du premier putsch néolibéral : de l'édification du socialisme à la révolution néolibérale, une date clé: le 11 septembre 1973 - La sanglante ascension des "Chicago Boys" », Le Courrier, (lire en ligne, consulté le ). Si ce lien devient inaccessible, on trouvera cet article en abonnement payant ici: [1].
Le titre de cette chanson des Clash : Washington Bullets, qui revient à la fin de plusieurs couplets comme un refrain, fait jeu de mots. En effet Washington Bullets est d'un côté un nom propre, ce qui explique ses majuscules, soit l'un des anciens noms d'une équipe de basket de la NBA, les Washington Wizards (« les magiciens de Washington »). Mais il est à prendre ici dans son sens premier comme un nom commun, les : Washington bullets (« balles de Washington »), soit les balles tirées par les soldats et le gouvernement américains sur les théâtres d'opérations extérieures, lors des tentatives de déstabilisation des régimes hostiles aux États-Unis, en Jamaïque, au Chili, à Cuba et au Nicaragua contre les sandinistes, d'où le titre de l'album. La chanson dénonce enfin la toute récente (en 1980) intervention soviétique en Afghanistan qui avait débuté le 24 décembre 1979, ainsi que la mainmise chinoise sur le Tibet. On trouvera le texte complet de cette chanson en ligne : (en) The Clash, « Washington Bullets », sur paroles2chansons.lemonde.fr, (consulté le ). Ainsi qu'une analyse et une traduction de ses paroles : blottière (pseudo), « 148. Clash : "Washington bullets". », sur l'histgeobox, (consulté le ).
letras.com
On trouvera le texte de cette chanson de Mercedes Sosa en ligne : (es) Roberto Todd, « A Víctor », sur letras.com, (consulté le ).
lhistgeobox.blogspot.com
Le titre de cette chanson des Clash : Washington Bullets, qui revient à la fin de plusieurs couplets comme un refrain, fait jeu de mots. En effet Washington Bullets est d'un côté un nom propre, ce qui explique ses majuscules, soit l'un des anciens noms d'une équipe de basket de la NBA, les Washington Wizards (« les magiciens de Washington »). Mais il est à prendre ici dans son sens premier comme un nom commun, les : Washington bullets (« balles de Washington »), soit les balles tirées par les soldats et le gouvernement américains sur les théâtres d'opérations extérieures, lors des tentatives de déstabilisation des régimes hostiles aux États-Unis, en Jamaïque, au Chili, à Cuba et au Nicaragua contre les sandinistes, d'où le titre de l'album. La chanson dénonce enfin la toute récente (en 1980) intervention soviétique en Afghanistan qui avait débuté le 24 décembre 1979, ainsi que la mainmise chinoise sur le Tibet. On trouvera le texte complet de cette chanson en ligne : (en) The Clash, « Washington Bullets », sur paroles2chansons.lemonde.fr, (consulté le ). Ainsi qu'une analyse et une traduction de ses paroles : blottière (pseudo), « 148. Clash : "Washington bullets". », sur l'histgeobox, (consulté le ).
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François-Xavier Gomez, « Victor Jara : la justice du Chili ouvre les yeux », Libération, (lire en ligne).
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. Le texte complet du dernier poème de Jara, avec sa traduction en français est disponible en ligne : (es) Víctor Jara (trad. pseudo : purplelunacy, ou Elisabeth), « Estadio Chile » [« Stade Chili »], sur Lyrics translate, 1973 et 2015 (consulté le ). Il a aussi été mis en musique plusieurs fois (voir la section consacrée à son œuvre).
Information tirée de : (es) Roberto Todd, « A Víctor », sur lyrics translate.com, (consulté le )
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[Présentation de la cantate] : (es) Pablo Neruda, musique de Sergio Ortega, « Fulgor y Muerte de Joaquín Murieta (1967) » [« Fulguration et mort de Joachim Murieta (1967) »], sur Memoria Chilena (Biblioteca Nacional de Chile), (consulté le ).
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(es) "latercera", « Dimter Bianchi Edwin Armando Roger », sur Memoria Viva, (consulté le ), § 6 : Condenan a nueve miembros del Ejército (r) por homicidio de Víctor Jara.
Sur les difficiles relations — risquées — d'Allende et de l'Unidad Popular avec l'armée chilienne, on pourra consulter un célèbre article-manifeste écrit par Gabriel García Márquez à l'occasion de la commémoration des trente ans du coup d’État, et publié originellement sur "RISAL", le Réseau d'Information et de Solidarité avec l'Amérique Latine : Gabriel García Márquez, « Le 11 septembre 1973 : chronique d’une tragédie organisée », sur RISAL, (consulté le ), p. 5 : « L’armée la plus sanguinaire au monde ». Cet article, dont l'original sur RISAL est peu accessible, a été republié à date anniversaire sur le blog "Cuba Si Lorraine" : Gabriel García Márquez, « Le 11 septembre 1973 : chronique d’une tragédie organisée », sur cubasilorraine.over-blog.org, (consulté le ). On pourra lire aussi : Tomás Moulian, « Le rêve brisé de Salvador Allende : une expérience démocratique écrasée par l’armée », Le Monde diplomatique, , pp. 16 et 17 (lire en ligne, consulté le ).
On pourra trouver le texte de cette chanson en ligne avec sa traduction : (es + fr) Víctor Jara / Patricio Castillo (de Quilapayún), « Plegaria a un labrador », sur Musix match, (consulté le ), vers 16. On peut aussi l'écouter en ligne : (es) Víctor Jara / Patricio Castillo, « Plegaria a un labrador », sur YouTube, (consulté le ).
nouvelobs.com
nouvelobs.com
Par "sourdoreille" (pseudonyme collectif), « Mémoires de luttes : Victor Jara, la voix et la guitare du Chili d’Allende », L'Obs avec Rue89, (lire en ligne, consulté le ).
tempsreel.nouvelobs.com
Reuters, « Arrestations au Chili dans l'enquête sur la mort de Victor Jara », L'Obs, (lire en ligne).
over-blog.com
sicavouschante.over-blog.com
On trouvera le texte intégral de cette chanson de Michel Bühler, avec plusieurs autres textes de chanson et un témoignage de l'auteur de l'article sur cet intéressant blog : Fred Hidalgo, « VICTOR JARA - Pour la mémoire et la justice » , sur Si ça vous chante : sicavouschante.over-blog.com, (consulté le ), § 9.
over-blog.org
cubasilorraine.over-blog.org
Sur les difficiles relations — risquées — d'Allende et de l'Unidad Popular avec l'armée chilienne, on pourra consulter un célèbre article-manifeste écrit par Gabriel García Márquez à l'occasion de la commémoration des trente ans du coup d’État, et publié originellement sur "RISAL", le Réseau d'Information et de Solidarité avec l'Amérique Latine : Gabriel García Márquez, « Le 11 septembre 1973 : chronique d’une tragédie organisée », sur RISAL, (consulté le ), p. 5 : « L’armée la plus sanguinaire au monde ». Cet article, dont l'original sur RISAL est peu accessible, a été republié à date anniversaire sur le blog "Cuba Si Lorraine" : Gabriel García Márquez, « Le 11 septembre 1973 : chronique d’une tragédie organisée », sur cubasilorraine.over-blog.org, (consulté le ). On pourra lire aussi : Tomás Moulian, « Le rêve brisé de Salvador Allende : une expérience démocratique écrasée par l’armée », Le Monde diplomatique, , pp. 16 et 17 (lire en ligne, consulté le ).
poemas-del-alma.com
On pourra lire le texte de ce poème extrait de Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée, et l'entendre dit par Neruda lui-même, ici : ▶(es) Pablo Neruda, « 20 poemas de amor y una canción desesperada - Poema 15 », sur Poemas del Alma, Pablo Neruda, 2009? (consulté le ). Et ici : ▶(es) Pablo Neruda, « Poema 15 » , sur Universidad de Chile (consulté le ).
On pourra lire le texte de ce poème extrait de Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée, et l'entendre dit par Neruda lui-même, ici : ▶(es) Pablo Neruda, « 20 poemas de amor y una canción desesperada - Poema 15 », sur Poemas del Alma, Pablo Neruda, 2009? (consulté le ). Et ici : ▶(es) Pablo Neruda, « Poema 15 » , sur Universidad de Chile (consulté le ).
Sur cette connexion des coups d’État et répressions fascistes avec la montée de la pensée néolibérale, on pourra lire l'interview de José Cademartori(es), le dernier ministre de l’Économie de Salvador Allende, économiste, député communiste et fondateur de la section chilienne d'Attac (propos recueillis par Benito Perez), dans : « Au coeur du premier putsch néolibéral : de l'édification du socialisme à la révolution néolibérale, une date clé: le 11 septembre 1973 - La sanglante ascension des "Chicago Boys" », Le Courrier, (lire en ligne, consulté le ). Si ce lien devient inaccessible, on trouvera cet article en abonnement payant ici: [1].
On peut noter qu'Isabel Parra chante le premier titre de l'album La Población de Jara. De même, Isabel a invité Víctor, comme musicien, sur son album d'hommage à sa mère intitulé simplement : Violeta Parra (album)(es), chez "Peña de los Parra / DICAP", 1970 ; ainsi que sur son album De aquí y de allá (album)(es), où elle interprète El encuentro (« la rencontre »), chanson que Víctor a écrite, accompagnée et arrangée pour elle.
youtube.com
On pourra trouver le texte de cette chanson en ligne avec sa traduction : (es + fr) Víctor Jara / Patricio Castillo (de Quilapayún), « Plegaria a un labrador », sur Musix match, (consulté le ), vers 16. On peut aussi l'écouter en ligne : (es) Víctor Jara / Patricio Castillo, « Plegaria a un labrador », sur YouTube, (consulté le ).
Cet hymne peut s'écouter en ligne dans la version d'Inti Illimani, extraite de l'album Canto al programa (Dicap-1970) sous son titre réel : (es) Julio Rojas et Luis Advis, « Canción del Poder Popular » [« Chanson du Pouvoir Populaire »], sur YouTube, (consulté le ).
On pourra écouter cette version, accompagnée d'extraits de vidéos de Jara chantant avec Quilapayún, en ligne : (es) Víctor Jara, « Plegaria a un labrador » [« Prière à un laboureur »], sur YouTube, (consulté le ).
L'album : (br + fr) Gilles Servat, « L'hirondelle », sur Discogs, Kalondour (n° cat. : 6325 725), (consulté le ). Écouter la chanson en ligne, avec le texte en breton et sa traduction en français : (br + fr) Gilles Servat, « Gwerz Victor C'hara », sur YouTube, (consulté le ).