Guinea Suárez 1953, très apologique, soutien qu'il refusa des méthodes corrompues ; les commentateurs contemporains ne parlent pas de corruption et affirment qu'il considérait comme immoral de financer sa propre campagne (Carballo 2013, p. 101) ; ABC rapporte en revanche qu'il fut vaincu ((es) « Uno de los más importantes doctrinarios de la derecha de este siglo », ABC, , p. 47 (lire en ligne)
(es) José Miguel de Mayoralgo y Lodo, Movimiento Nobiliario 1936 (lire en ligne)
bne.es
hemerotecadigital.bne.es
selon Orella Martínez 2000, p. 17 ses activités d'affaires prirent fin en 1902, il est néanmoins mentionné comme actif en 1904 dans le magazine d'ingénieurie Madrid Científico (n° 471, p. 19, lire en ligne)
des poursuites pénales furent engagés contre lui pour injures contre des agents de la force publique, voir (es) « Ecos Parlamentarios », La Época, (lire en ligne)
la presse de l'époque rapporte des rumeurs faisant état d'une possible candidature au Sénat à la fin de l'année suivante, voir (es) « Las elecciones. Candidatos para senadores », El Globo, , p. 2 (lire en ligne)
(es) « Ante más de quince mil personas pronuncia un importantísimo discurso don Víctor Pradera », El Siglo Futuro, , p. 2 (lire en ligne)
(es) Iker Cantabrana Morras, « Lo viejo y lo nuevo: Díputación-FET de las JONS. La convulsa dinámica política de la "leal" Alava (Primera parte: 1936-1938) », Sancho el Sabio, no 21, , p. 170, (en) Agustín José Menéndez, « Shifting legal dogma: From Republicanism to Fascist Ideology under the Early Franquismo », Arena working papers, no 20, (lire en ligne)
(es) Ángel García-Sanz Marcotegui(es), « Elites económicas y políticas en la Restauración, a diversidad de las derechas navarras », Historia contemporánea, no 23, , p. 602
L'histoire de la réception des idées de Pradera dans les milieux carlistes fut sinueuse. Lorsque Pradera commença à être récupéré par le franquisme, qui le présentait comme un père fondateur, les carlistes commencèrent à l'ignorer (Martorell Pérez 2009, p. 355, 370). Par la suite, les carlistes progressistes le condamnèrent explicitement — Ramón Massó Tarruella(en) déclara « Nous ne citons jamais Víctor Pradera » — (Martorell Pérez 2009, p. 400-402) et c'est alors que les carlistes traditionalistes comme Gambra réactivèrent sa figure (Martorell Pérez 2009, p. 403, 408). En 1971, dans leur ouvrage ¿Qué es el carlismo (« Qu'est-ce que le carlisme ? »), Gambra et Elías de Tejada le mentionnèrent comme un maître (Gambra 1973). Il fut considéré comme une figure intellectuelle majeure par Fuerza Nueva (Rodríguez Jiménez 2002, p. 271–272, 288). Plus récemment, l'intellectuel traditionaliste Miguel Ayuso se réfère à Pradera avec prudence et le considère comme un carliste sincère qui est devenu éclectique avec le temps (Ayuso 2008, p. 122)