(en) J. Bretos, C. Santamaria et J. Alonso Moral, « Tuning process of xylophone and marimba bars analyzed by finite element modeling and experimental measurements », Journal of the Acoustical Society of America, vol. 102, no 3815, (présentation en ligne) sur le calcul des lames suivant la méthode des éléments finis.
« le célèbre son du xylophone du Jeu des mille francs », Virginie Pironon, « "Chers Amis, Adieu"… Lucien Jeunesse s’en est allé », RFI, (lire en ligne). Le dictionnaire Robert de la langue française décrit le xylophone comme « formé de lames de bois ou de métal » (ed. 1977) ; tandis que le « Définition Larousse du xylophone », sur larousse.fr (s.d.) et le « Trésor de la langue française informatisé » (1959) ne mentionnent que les lames de bois.
bnf.fr
gallica.bnf.fr
Hermann von Helmholtz (trad. Georges Guéroult), Théorie physiologique de la musique [« Die Lehre von den Tonempfindungen als Physiologische Grundlage für die Theorie der Musik »], (1re éd. 1863) (lire en ligne). Le xylophone est « Strohfiedel oder Holzharmonica » dans l'« original en allemand », sur e-rara.ch.
(en) E.W. Scripture, The New Psychology, Londres, (lire en ligne).
Martin Agricola, Musica instrumentalis deutsch (Erste und vierte Ausgabe, Wittemberg, 1528 und 1545, in neuer diplomatisch genauer, zum Teil facsimilierter Ausgabe), Leipzig, Breitkopf und Härtel, (lire en ligne). Le Strohfiedel est un xylophone en forme de tympanon.
Bernard de Fontenelle, Le dictionnaire des arts et des sciences, (lire en ligne). À cette époque, regale et claquebois peuvent désigner des anches battantes, mais les textes de Mersenne et de Fontenelle sont sans ambiguïté. Les mêmes termes se retrouvent dans Charles Soullier, Nouveau dictionnaire de musique illustré, (lire en ligne), p. 64 « Claquebois », 109 « Échellette », 262 « Régale » ; Escudier, Dictionnaire de musique théorique et historique, , 5e éd. (lire en ligne), p. 181 « Échelette » et Eugène de Bricqueville, Les anciens instruments de musique : un coin de la curiosité, Paris, Librairie de l'art, (lire en ligne), p. 58
Marin Mersenne, Harmonie universelle, contenant la théorie et la pratique de la musique, t. 2, (lire en ligne), p. 175-176.
« Nouvelles », La France musicale, no 30, , p. 7 (lire en ligne)
« Xilophone » attesté dans « Courrier italien », La comédie, (lire en ligne) ; défini par Alfred Souviron, Dictionnaire des termes techniques de la science, de l'industrie, des lettres et des arts, (lire en ligne), p. 581 « Xylophone » (cité par le Trésor de la langue française). Auparavant xylophone désigne une fête juive. Émile Gouget, L'argot musicical, Paris, (lire en ligne) témoigne de la vogue des noms formés en phone à l'époque.
L. Tautain, « Études critiques sur l'ethnologie et l'ethnographie des peuples du bassin du Sénégal », Revue d'ethnographie, , p. 79 (lire en ligne).
En 1879, Rainer prononce, dans son Concert tyrolien une « Conférence sur les instrumens en bois et en paille », « Fête de l'Opéra ».
A. Vallon, « La Casamance, dépendance du Sénégal », Revue maritime et coloniale, (lire en ligne).
Edmond Locard, « Lettre de la Côte d'azur », Revue française de musique, , p. 553 (lire en ligne), ajoutant le xylophone à des instruments étudiés par Berlioz.
Albert Lavignac, Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire : Deuxième partie, Technique, esthétique, pédagogie. [1], Tendances de la musique, technique générale, Paris, (lire en ligne).
Bruno Nettl, « Une anthropologie de la musique classique occidentale. La culture comme “autre”» », L'Homme, nos 171-172, , p. 333-351 (lire en ligne) ; Yves Defrance, « Distinction et identité musicales, une partition concertante », Cahiers d’ethnomusicologie, no 20, (lire en ligne) et autres articles de la même livraison de cette revue.
(en) Masanobu MIURA et Nozomiko YASUI, « Acoustic measurement of Marimba, Xylophone and Xylorimba », Faculté de musique, Kunitachi College of Music, (lire en ligne)
e-rara.ch
Hermann von Helmholtz (trad. Georges Guéroult), Théorie physiologique de la musique [« Die Lehre von den Tonempfindungen als Physiologische Grundlage für die Theorie der Musik »], (1re éd. 1863) (lire en ligne). Le xylophone est « Strohfiedel oder Holzharmonica » dans l'« original en allemand », sur e-rara.ch.
(en) A.M. Jones, Africa and Indonesia : the Evidence of the Xylophone and Other Musical and Cultural Factors, (1re éd. 1964) (lire en ligne). Cet auteur soutient la thèse d'une origine commune, vivement critiquée par Mantle Hood ((en) Bruno Nettl, The Study of Ethnomusicology, Chicago, U. of Illinois Press, , 2e éd., p. 325), mais considérée comme possible par Nettl comme par Agawu 2003.
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« le célèbre son du xylophone du Jeu des mille francs », Virginie Pironon, « "Chers Amis, Adieu"… Lucien Jeunesse s’en est allé », RFI, (lire en ligne). Le dictionnaire Robert de la langue française décrit le xylophone comme « formé de lames de bois ou de métal » (ed. 1977) ; tandis que le « Définition Larousse du xylophone », sur larousse.fr (s.d.) et le « Trésor de la langue française informatisé » (1959) ne mentionnent que les lames de bois.
STUDIO 49., en fibre synthétique chez Percufrance.
persee.fr
Sur les difficultés de la détermination de l'accord, Fabrice Marandola, « L'apport des nouvelles technologies à l'étude des échelles musicales d'Afrique centrale », Journal des africanistes, vol. 69, no 2, , p. 109-120 (lire en ligne).
r-sons.com
Xylophone Concorde de quatre octaves en palissandre chez Rythmes & Sons.
« Raison morphologique et langage musical : musiques de xylophone en Afrique centrale », Cahiers d’ethnomusicologie, no 14, (lire en ligne)
Bruno Nettl, « Une anthropologie de la musique classique occidentale. La culture comme “autre”» », L'Homme, nos 171-172, , p. 333-351 (lire en ligne) ; Yves Defrance, « Distinction et identité musicales, une partition concertante », Cahiers d’ethnomusicologie, no 20, (lire en ligne) et autres articles de la même livraison de cette revue.
rfi.fr
www1.rfi.fr
« le célèbre son du xylophone du Jeu des mille francs », Virginie Pironon, « "Chers Amis, Adieu"… Lucien Jeunesse s’en est allé », RFI, (lire en ligne). Le dictionnaire Robert de la langue française décrit le xylophone comme « formé de lames de bois ou de métal » (ed. 1977) ; tandis que le « Définition Larousse du xylophone », sur larousse.fr (s.d.) et le « Trésor de la langue française informatisé » (1959) ne mentionnent que les lames de bois.
sciencedirect.com
(en) Ingolf Bork, « Practical tuning of xylophone bars and resonators », Applied Acoustics, vol. 46, no 1, , p. 103–127 (présentation en ligne).