Cécile Bolesse, « Des politiques se mobilisent pour que la France accueille Edward Snowden - Après la proposition de résolution de deux sénatrices UDI, soutenue par le groupe écologiste au Sénat, c'est à l'Assemblée nationale que ce parti a déposé une nouvelle proposition », 01 Net, (lire en ligne)
Laurent de Boissieu, « Les candidats à la présidence de l’UDI sont sur la ligne de départ », La Croix, (lire en ligne, consulté le )« Yves Jégo : C’est lui qui devait assurer l’intérim de la présidence de l’UDI jusqu’au congrès prévu le 15 novembre. Mais Yves Jégo (53 ans) a finalement démissionné à son tour pour se porter lui-même candidat. S’il a adhéré au Parti radical en 2009, après son éviction du gouvernement, cet ancien sarkozyste est issu du RPR et non de l’UDF. Il a formé un ticket avec Chantal Jouanno, une autre ancienne sarkozyste issue de l’UMP ».
ladocumentationfrancaise.fr
Yves Jégo, En finir avec la mondialisation anonyme. La traçabilité au service des consommateurs et de l’emploi, Paris, La Documentation Française, , 221 p. (lire en ligne)
« A l'Assemblée, une proposition pour faire de Snowden un « citoyen d'honneur » », Le Monde, (lire en ligne)
leparisien.fr
« La droite gagne du terrain face à une gauche qui vacille : Tous les poids lourds de l'UMP sont élus dès le 1er tour. Le PS perd des villes tandis que le Front National réalise quelques gros scores comme à Chelles », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Conformément aux résultats nationaux, les gros de la droite raflent la mise en Seine-et-Marne. Leurs têtes de gondole montrent l'exemple, à l'image d'Yves Jégo, qui réalise le meilleur score parmi les personnalités politiques du département. Le député-maire (UDI) de Montereau-Fault-Yonne est reconduit pour un quatrième mandat avec un « score historique » de 76,9% ».
Jannick Alimi, « Yves Jégo : « Je quitte la vie politique et l’Assemblée nationale » : Yves Jégo, élu en 2002 député UMP puis UDI de Seine-et-Marne, a décidé de renoncer à son mandat de parlementaire. En 2020, il ne se représentera pas à Montereau », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« À 57 ans, Yves Jégo est à l’aube d’une nouvelle vie. Élu pour la première fois en 1989, dans l’opposition municipale de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne), député depuis 2002 et ancien secrétaire d’État, Yves Jégo annonce en exclusivité au Parisien, ce lundi, qu’il quitte la vie politique et le Palais Bourbon ».
Pascale De Souza, « Seine-et-Marne : le départ d’Yves Jégo de l’Assemblée rebat le jeu politique : Le député UDI mettra fin à son mandat législatif le 15 juillet. Son suppléant étant président du conseil départemental, il faudra élire un successeur pour la deuxième fois en six mois », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Pascale De Souza, « Seine-et-Marne : le temps de la réflexion à la tête du département : Au lendemain de l’annonce soudaine de la démission prochaine du député Yves Jégo, c’est la succession du président du conseil départemental, Jean-Louis Thiériot, qui mobilise la majorité au pouvoir à Melun », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
« EXCLUSIF. Seine-et-Marne : les dix points à savoir sur le futur parc Napoléon », leparisien.fr, 2017-05-28cest20:16:01+02:00 (lire en ligne, consulté le )
Faustine Léo, « Députés en Seine-et-Marne : Yves Jégo est devenu vice-président de l’Assemblée : Le député UDI de la 3e circonscription est 4e du classement de l’activité des députés en Seine-et-Marne », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).