Marie-Christine Lasnier, « Yves Saint Laurent, musée du Petit Palais », sur nationetrepublique.fr, (consulté le ) : « Un smoking Saint Laurent noir […] c’était un vêtement de style et non un vêtement de mode passagère. »
nytimes.com
(en-US) Steven Erlanger, « France Salutes the Ultimate Couturier », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
« Yves Saint Laurent », Encyclopédie, sur larousse.fr (consulté le ) : « Le jeune homme prend la tête de la maison Dior. Il décide aussitôt de retirer le tiret de son patronyme : il devient Yves Saint Laurent. ».