Antoine Chrysostome Quatremère de Quincy, Recueil de notices historiques lues Dans les séances publiques de L'Académie royale des beaux-arts à l'Institut, vol. 1, Paris, Adrien Le Clere, , 429 p. (lire en ligne), p. 393-394
Attesté dans Bernard Dupuy Du Grez, Traité sur la peinture pour en apprendre la téorie et se perfectionner dans la pratique, Toulouse, (lire en ligne), p. 171.
selon Charles Blanc, Grammaire des arts du dessin : architecture, sculpture, peinture, jardins : gravure... eau-forte... camaïeu... lithographie..., Paris, Renouard, , 3e éd. (1re éd. 1867) (lire en ligne), p. 393.
Simone Gilgenkrantz, Les céroplasticiennes du XVIIIe siècle, Entre écorchés et plastinés, The 18th century between Écorchés and plastinated bodies, two female waxwork modelists: Anna Morandi and Marie-Marguerite Bihéron Medine Sciences, Volume 28, Number 5, mai 2012, Paris p. 31 - 533 à lire sur : https://doi.org/10.1051/medsci/2012285019
inha.fr
bibliotheque-numerique.inha.fr
Comme dans Roger de Piles, Abrégé d’anatomie accommodé aux arts de peinture et de sculpture, Paris, (lire en ligne).
F-J Béer, Michel-Ange et la médecine de son temps, (lire en ligne).
revues.org
rde.revues.org
Pour l'attitude de Diderot qui pratiquait la dissection anatomique et sa relation à Houdon, on se rapportera à l'article de
Morwena Joly,, « L’obsession du « dessous » : Diderot et l’image anatomique », Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, no 43, (lire en ligne, consulté le )
dans lequel on peut lire l'extrait de la lettre de Diderot à Catherine II de Russie : « Il vous manque une pièce essentielle pour l’instruction de la jeunesse : c’est un grand écorché. Le plus célèbre est celui de Houdon. On pourrait en envoyer un plâtre à Votre Majesté Impériale ou faire ce que j’avais conseillé à M. Demidoff qui voulait offrir à Votre Majesté Impériale quelque chose qui fût digne d’elle : le faire fondre en bronze ».