Maria Selig relève une cédille wisigothique sarde visible sur la ligne 2 du manuscrit du Privilegio Logudorese (XIe siècle), au mot faço, ainsi que, 3 lignes avant la fin, au mot Aççem (Maria Selig, ibid., p.140, ou Archives de l’État de Pise, Fondo Coletti). C'est un type de cédille de transition, pas encore tout à fait souscrite : on distingue encore le haut du ʒ accolé au c, c'est pourquoi Maria Selig l'appelle « z cédillé ».