« Article 36 – Les citoyens de la République populaire de Chine jouissent de la liberté religieuse. Aucun organisme d'État, aucun groupement social, aucun individu ne peut contraindre un citoyen à épouser une religion ou à ne pas la pratiquer, ni adopter une attitude discriminatoire à l'égard du citoyen croyant ou du citoyen incroyant. L'État protège les pratiques religieuses normales. Nul ne peut se servir de la religion pour troubler l'ordre social, nuire à la santé des citoyens et entraver l'application du système d'enseignement de l'État. Les groupements religieux et les affaires religieuses ne sont assujettis à aucune domination étrangère. » http://mjp.univ-perp.fr/constit/cn1982.htm.
« D’autres, surtout soucieux du bien des fidèles et regardant vers l’avenir, ont consenti à recevoir l’ordination épiscopale sans mandat pontifical, mais, par la suite, ils ont demandé de pouvoir être accueillis dans la communion avec le Successeur de Pierre et avec leurs autres Frères dans l’Épiscopat. », ibid. « Considérant la complexité de la situation et désirant profondément favoriser le rétablissement de la pleine communion, le pape a concédé à beaucoup d’entre eux "le plein et légitime exercice de la juridiction épiscopale". », note explicative de la lettre de Benoit XVI aux Chinois de mai 2007 sur le site du Vatican, http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/letters/2007/documents/hf_ben-xvi_let_20070527_china-note_fr.html.