Père Barnabé Meistermann, missionnaire apostolique, Nouveau guide de Terre sainte, Paris, Alphonse Picard et Fils, éditeurs, 1907 : « En traversant la grande cour située à droite du cloître, on rencontre à gauche, près de la porte de sortie, une ancienne citerne transformée depuis peu en oratoire sous le nom de crypte du Credo ».
Martine Daire, Impressions et souvenirs. Terre Sainte, 1908 : « Arnulphe, au VIIe siècle, rattache à ce sanctuaire le souvenir des repas du Maître avec ses disciples, et voit dans la grotte quatre tables de pierre, où Jésus et ses apôtres s'asseyaient en convives ».
Science Catholique, revue des questions sacrées et profanes, 15 août 1894Ilin. Burdig. Tobler et Molinier, I, 18 : « Ibi facta est jussu Constantini Basilica mire pulchritudinis. » Pseudo-Eucher, de locis sanctis parle des deux églises célèbres du mont des Oliviers, l'une où le Christ enseignait ses disciples, l'autre où il quitta la terre.
Melchior de Vogüé (1829-1916), Jérusalem, hier et aujourd'hui. Notes de voyage, 1912, page 47 : « Au centre de l'atrium de la basilique d'Éléona se trouve une belle citerne voûtée sur piliers, à la romaine, qui recueillait l'égout des toits et fournissait d'eau la fontaine des ablutions rituelles. Au flanc méridional de la basilique est accolé un baptistère avec bassin central, pavé en mosaïque. »
Le Palais de Caïphe et le nouveau jardin Saint-Pierre des Pères Assomptionnistes du Mont Sion, par le Père Urbain Coppens, A. Picard et fils, Paris, 1904 : « Dans une propriété des Pères Blancs, sur la même montagne, se trouve une petite piscine oblongue, une espèce de citerne, où, d'après Quaresmius, s'éleva jadis une chapelle dédiée à l'évangéliste saint Marc. Or, le Révérend Père Cré prétend que cette citerne est le saint Cénacle habituel du Christ, la grotte où il instruisit ses apôtres et prédit la fin du monde, la retraite où il passa généralement la nuit avec ses disciples, la crypte de la basilique Éléona, le lieu où les apôtres composèrent le Credo, d'où elle porte aujourd'hui le titre de Crypte du Credo » (La Crypte du Credo. Comment on vient de trouver le grand sanctuaire chrétien construit au mont des Oliviers au IVe siècle, ap. Œuvres d'Orient, Paris, 1897).
Élisabeth de Boutiny, Souvenirs d'un voyage en Palestine, – : « Chosroès la rasa impitoyablement, mais, sous Charlemagne, des bénédictins la relevèrent de ses ruines que les croisés eurent plus tard à réparer de nouveau ».
« Who was a Christian in the Holy Land? His epitaph was discovered in the ruins of the Church of the Eleona on the Mount of Olives » (Revue Éléona, 1975, octobre, p. 8).
André Vauchez, Richard Barrie Dobson, Michael Lapidge, Encyclopedia of the Middle Ages, Volume 1 : « Charlemagne obtained from Hâroun ar-Rachîd … a right of protection over the Latin establishments of Palestine … Several establishments were founded at this time - an abbey at the mount of Olives ».
Dictionaire des antiquités bibliques, Félicien de Saulcy, 1859 : « Des débris de corniches, des chapiteaux corinthiens et des fûts de colonnes ornés de moulures évidemment romaines, ne laissent pas de doute sur l'origine de ce monument ruiné. Ses débris sont charriés à grand-peine, du point où ils ont été déterrés, vers le fond de la vallée de Josaphat, où ils sont vendus aux Juifs, pour être dépecés par eux et devenir des pierres tumulaires à ajouter à l'innombrable quantité de pierres de ce genre, qui tapissent tout le flanc de la vallée, depuis le tombeau d'Absalom jusqu'au village de Siloam ».
iholyland.com
Church of the Pater Noster The cave itself cuts partially into a 1st century tomb and was somewhat collapsed when rediscovered in the early 1900s.
Les Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem Au début, le chef musulman de Jérusalem tolérait les fondations chrétiennes et les pèlerins, reconnaissant officiellement, en 807, le nouvel empereur d'Occident, Charlemagne, en sa qualité de protecteur des chrétiens.
Guy Couturier, « Éléona, ou l'église du Pater », sur interbible.org, . Également, c'est dans cette église que les évêques de Jérusalem étaient ensevelis, depuis 350 environ, dont le célèbre Cyrille de Jérusalem, mort en 386.
Reconnaissances des structures en béton armé de la chapelle et de la grotte du Pater. Domaine de l'ÉLÉONA (Mont des Oliviers, Jérusalem). Le LERM a réalisé une étude exploratoire sur site visant à reconnaître les structures anciennes en béton surplombant la chapelle et la grotte du Pater, par auscultation par radar géophysique : Cette méthode d’investigation non destructive a permis de localiser très précisément l'étendue et l'épaisseur d'une dalle en béton armé, dans un contexte archéologique dense où toutes autres formes de reconnaissances étaient proscrites.
Le Carmel du Pater. Des milliers de pèlerins provenant de tous les pays et de toutes les confessions viennent visiter la « grotte mystique » des enseignements eschatologiques du Christ pour prier le Pater dans différentes langues, inscrites sur les murs du Sanctuaire et du cloître, qui sont approximativement au nombre de 150.
A Study of the Roman Breviary« …the archdeacon invited the people to assemble in the "Eleona", from whence a procession was made to the summit of the Mount of Olives. Here, psalms and antiphons were sung, the Gospel was read and the blessing given. After this, the people descended again into the "Eleona", where Vespers were sung… »
seetheholyland.net
A princess built the church Excavations by archaeologists in 1911 found the cave exactly where she (Princess de La Tour d'Auvergne) had predicted it to be. It was partly collapsed when it was discovered.