Élisabeth de Riquet de Caraman-Chimay (French Wikipedia)

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archive.org

  • A. baron de Rasse, La noblesse belge, Bruxelles, Imprimerie Veuve Monnom, , 310 p. (lire en ligne), « Chimay-Caraman (Riquet de Caraman) », p. 12 à 15
  • Baron de Vaux, Les femmes de sport, Marpon et Flammarion, (lire en ligne), p. 147-148

bnf.fr

gallica.bnf.fr

data.bnf.fr

letempsarchives.ch

paris.fr

canadp-archivesenligne.paris.fr

parismuseescollections.paris.fr

theguardian.com

  • (en) Dalya Alberge, « In search of lost manuscripts: essays reveal Proust's love of society women », The Guardian,‎ (lire en ligne)

wikisource.org

fr.wikisource.org

  • Selon George Painter, la haute société de l'époque aurait prononcé son nom comme Greffeuille, op. cité, p. 202. Cependant, cette prononciation n'est pas attestée à son époque si l'on en croit les témoignages de ses descendants et des contemporains qui connaissent sa famille et qui ont toujours prononcé « Greffulhe ». D'ailleurs, son cousin Robert de Montesquiou fait rimer « Greffulhe » avec « tulle » en décrivant sa cousine : « La comtesse Henry Greffulhe / Deux regards noirs dans du tulle ».
    Toutefois, Caroline Weber indique aussi que Proust a appris dans les salons à prononcer les noms propres à la manière de l'aristocratie, qui disait « Broy » au lieu de « Broglie » ; « Bisac » au lieu de « Bisaccia » et « Greffoy » au lieu de « Greffulhe »(Caroline Weber, p. 447). Proust écrit ainsi que « Fitz-James » se prononce « Fitt-jam », dans La Prisonnière, p. 43.
  • La Chauve-souris et les deux Belettes
  • Goncourt en fait un tendre portrait dans son journal, le 25 avril 1891 : https://fr.wikisource.org/wiki/Journal_des_Goncourt/VIII/Ann%C3%A9e_1891