(en) Dalya Alberge, « In search of lost manuscripts: essays reveal Proust's love of society women », The Guardian, (lire en ligne)
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Selon George Painter, la haute société de l'époque aurait prononcé son nom comme Greffeuille, op. cité, p. 202. Cependant, cette prononciation n'est pas attestée à son époque si l'on en croit les témoignages de ses descendants et des contemporains qui connaissent sa famille et qui ont toujours prononcé « Greffulhe ». D'ailleurs, son cousin Robert de Montesquiou fait rimer « Greffulhe » avec « tulle » en décrivant sa cousine : « La comtesse Henry Greffulhe / Deux regards noirs dans du tulle ». Toutefois, Caroline Weber indique aussi que Proust a appris dans les salons à prononcer les noms propres à la manière de l'aristocratie, qui disait « Broy » au lieu de « Broglie » ; « Bisac » au lieu de « Bisaccia » et « Greffoy » au lieu de « Greffulhe »(Caroline Weber, p. 447). Proust écrit ainsi que « Fitz-James » se prononce « Fitt-jam », dans La Prisonnière, p. 43.