Phillibert Monet, Abrégé du parallèle des langues françoise et latine, Rouen, (lire en ligne).
Recueil des édits, déclarations, arrêts et ordonnances pour l'année 1737 pour la province de Languedoc (lire en ligne).
Michel-Eugène Chevreul, « Moyen de nommer et de définir les couleurs », Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France, t. 33, , p. 131 (lire en ligne). Vert est tangent à la raie b, 3 vert au milieu entre b et F, donc la longueur d'onde dominante de 2 vert est approximativement 504,9 nanomètres ; 11 ton renvoie à une clarté de 47,6 % (10/21) ; la couleur la plus pure est 14 ton, les plus claires sont lavées de blanc (D55 conformément aux conditions d'éclairage de Chevreul). Avec ces données, on peut calculer, grâce aux fonctions colorimétriques CIE XYZ, des coordonnées trichromatiques, converties ensuite en sRGB. La nuance n'est exacte que sur les écrans conformes et réglés selon la recommandation sRGB.
Henri Dauthenay, Répertoire de couleurs pour aider à la détermination des couleurs des fleurs, des feuillages et des fruits : publié par la Société française des chrysanthémistes et René Oberthür ; avec la collaboration principale de Henri Dauthenay, et celle de MM. Julien Mouillefert, C. Harman Payne, Max Leichtlin, N. Severi et Miguel Cortès, vol. 2, Paris, Librairie horticole, (lire en ligne), p. 257, 259.
(en) « Winsor-Newton Water-colours », sur people.csail.mit.edu (consulté le ). Mesure d'une aquarelle Winsor & Newton par Richard Kirk pour trois dilutions. Les aquarelles fines n'ont pas actuellement de dénomination émeraude. Il s'agit probablement d'une évaluation du vert viride, (PG18, no 692), désigné comme émeraude par l'artiste et savant évaluateur.