Journal Vert-vert (d), 30 octobre 1885, p. 2 : « Vers 1842 ou 1844, si nous avons bonne mémoire, M. Perrin se trouvait à Aunay-sous-Crécy, près de Dreux, chez un de ses très proches parents ; aux prises avec les dures nécessités de l'existence, on peut le dire à son honneur, il chercha dans notre ville [Dreux] à vivre de son jeune talent comme peintre. Mais il fallait des couleurs ! À tout hasard, il se présenta chez M. Lefebvre, peintre en bâtiments, et naturellement il n'y trouva pas son affaire ; mais M. Lefebvre avait alors un jeune auxiliaire, M.M..., qui, depuis, s'est fait une belle réputation comme peintre-verrier. M. M...., en dehors du badigeon, s'essayait déjà à ébaucher quelques petits sujets et il possédait le trésor si désiré (sept à huit francs de couleurs). Il le donna généreusement à M. Perrin ; c'est avec ce mince bagage que celui-ci commença les travaux assez nombreux qu'il fit dans notre ville (Dreux) »
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Journal Vert-vert (d), 30 octobre 1885, p. 2 : « Vers 1842 ou 1844, si nous avons bonne mémoire, M. Perrin se trouvait à Aunay-sous-Crécy, près de Dreux, chez un de ses très proches parents ; aux prises avec les dures nécessités de l'existence, on peut le dire à son honneur, il chercha dans notre ville [Dreux] à vivre de son jeune talent comme peintre. Mais il fallait des couleurs ! À tout hasard, il se présenta chez M. Lefebvre, peintre en bâtiments, et naturellement il n'y trouva pas son affaire ; mais M. Lefebvre avait alors un jeune auxiliaire, M.M..., qui, depuis, s'est fait une belle réputation comme peintre-verrier. M. M...., en dehors du badigeon, s'essayait déjà à ébaucher quelques petits sujets et il possédait le trésor si désiré (sept à huit francs de couleurs). Il le donna généreusement à M. Perrin ; c'est avec ce mince bagage que celui-ci commença les travaux assez nombreux qu'il fit dans notre ville (Dreux) »