Cette solution suscite depuis longtemps le scepticisme de beaucoup d’écologistes : le physicien Jean-Pierre Dufour, par exemple, directeur de recherches au CNRS et vice-président écologiste du Conseil régional d’Aquitaine, a montré dans la revue Sortir du nucléaire que certains déchets très radiotoxiques ne pourront jamais être en totalité supprimés et qu’une partie devra fatalement être stockée à grande profondeur (Alain Dorange et Jean-Pierre Dufour, « La transmutation peut-elle nous délivrer des déchets nucléaires ? », Sortir du nucléaire, no 23, (lire en ligne)).