Antoine Grotteria, « D'Épinay-sur-Seine à la médaille d'argent paralympique... La trajectoire météorique de Djelika Diallo », Actu Paris, (lire en ligne, consulté le ).
« Les municipalités communistes suspendues dès hier dans la Seine, la Seine-et-Oise et le Pas de Calais », Le Populaire, no 6076, , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
« Nomination de présidents de délégations spéciales », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, no 83, , p. 351 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
« Maires des communes suburbaines de la Seine », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, no 131, , p. 391 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
cairn.info
Michèle Tribalat, Immigration et démographie des pays d’accueil, in Christophe Jaffrelot et Christian Lequesne L'Enjeu mondial, Presses de Sciences Po | Annuels 2009, pages 29 à 35
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Jacqueline Sainclivier et Olivier Dard, Les partis et la République : La recomposition du système partisan, 1956-1967 : Oui, c'est vous qui élirez le Président de la République, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 325 p. (ISBN978-2-7535-3024-9 et 2-7535-3024-6, lire en ligne), p. 19-21« En octobre 1964, dans la perspective des municipales, la fédération socialiste de la Seine engage des négociations avec les communistes. Fin novembre, le conseil national de la SFIO décide d'approuver « la constitution de listes de coalition avec les démocrates de gauche partout où cela serait absolument nécessaire pour battre l'UNR » et d'admettre « des ententes avec des communistes ou avec des républicains qui, bien qu'éloignés du socialisme, sont opposés sans équivoque au régime actuel ». Les négociations sont difficiles, compte tenu des de la disproportion des forces dans la Seine. Le 7 janvier 1965, communistes et socialistes annoncent qu'ils présenteront des listes communes, justifiant leur position par la nouvelle loi électorale : « Le gouvernement a voulu empêcher l'union des forces républicaines en interdisant la constitution de coalitions entre les deux tours de scrutin ». Ainsi, pour la première fois depuis la guerre froide, un accord de type « Front populaire » — qui sera étendu aux radicaux de gauche et au PSU — est conclu dans l'ensemble d'un département. Pourtant, si des listes d'« union démocratique » sont présentés dans l'ensemble eds quatorze secteurs parisiens, la situation est plus confuses en banlieue, notamment du refus de certains maires socialistes. (...) La victoire du « Front populaire » est acquise ainsi à Alfortville au détriment de Raoul Bleuse, ex-PSU, qui s'était allié au MRP, à Épinay-sur-Seine au détriment du maire sortant Privet qui, refusant l'alliance avec les communistes, s'était représenté contre son adjoint socialiste, Desjames qui conduisait la liste d'Union démocratique. ».
« La fédération S.F.I.O. de la Seine exclut M. J.C. Privet maire d'Épinay », Le Monde, (lire en ligne).
Ariane Chemin, « Les Verts conquièrent leur espace au sein de la gauche plurielle : Il n'a qu'un souvenir diffus d'un très ancien chagrin d'amour, mais « ça doit ressembler à quelque chose comme ça », dit Bruno Le Roux. Son désespoir tourne autour des mêmes symptômes de « vide ». Un regard approximatif, un sourire tardif et indéfini. Une insomnie tenace pendant près d'une semaine, ces scènes qui repassent « au moment où vous allez fermer l’œil ». », Le Monde, (lire en ligne).
« Sur le sentier du Grand Paris (6/6) : D’Epinay à Enghien, gratte-ciel, jardin en friche et casino », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Jean-Gabriel Bontinck, « Épinay - Le Bourget : le T11, premier tram-train d’Ile-de-France, entre en gare », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
Anthony Lieures, « Municipales à Épinay : Hervé Chevreau, le centriste, vise un quatrième mandat : Depuis 2001, le centriste Hervé Chevreau enchaîne les réélections dès le 1er tour. Il compte «poursuivre le travail», avec notamment la rénovation attendue du quartier Orgemont. Il fera face à trois listes, dont l’une menée par un ancien adjoint LREM », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le )« C'est l'histoire d'une ville qui vote à gauche sur la plupart des scrutins nationaux (Jean-Luc Mélenchon y est arrivé en tête au 1 er tour de la présidentielle de 2017, avec 36,3 % des voix, NDLR), mais qui s'est choisi un maire venu de la droite, en 2001, et qui semble ne plus vouloir en changer. (…) Le centriste, qui a rangé définitivement ses anciennes étiquettes (UDF, Modem), s'appuie d'abord sur son bilan ».
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Résultats des élections municipales 2008 - 1er tour Votants 57,1 % Exprimés 55,9 % Liste Trigance (PS) - 32,8 % des exprimés - 7 élus Liste Tavares (Divers Gauche) - 6,9 % des exprimés - 1 siège Liste Hervé Chevreau (MoDem) - 60,3 % des exprimés - 35 sièges Source Le Parisien
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )