Konjikidō Golden Hall sur World Heritage : « L'intérieur est un tour de force artistique : les quatre piliers, les traverses et les trois bandeaux sont tous décorés d'incrustations de nacre irisée, de motifs métalliques ajourés complexes et de maki-e (images d'or et d'argent peintes dans la laque) ».
Sur les objets déposés dans les tumulus à sûtra, voir : Objet exhumé du tumulus de Komachizuka (daté 1174) sur e-Museum.
gotoh-museum.or.jp
(ja) « Genji Monogatari », sur Musée Gotoh (consulté le ) : Le calligraphe/peintre (?) pourrait être Fujiwara Takanori (1126-74?), un artiste de cour célèbre à cette époque.
Boîte dans laquelle était entreposé un kesa ayant appartenu au moine Kūkai (774-835 ; période correspondant à l'époque Tang en Chine). Voir aussi :(en) « Maki'e Lacquered Box with Hosoge Flowers and Karyobinga Designs », sur Kyoto National Museum (consulté le ) : coffret à sutra, daté 919. Bois laqué à décor de karyobinga et de fleurs hosoge. Le karyôbinga (Kalavingka en sanskrit) serait un oiseau vivant dans les montagnes enneigées ou au paradis, et dont la voix est réputée magnifique, si bien qu'il désignerait également la voix de Bouddha. Ce coffret, si l'on en croit l'inscription portée sur le coffret lui-même, aurait été réalisé pour contenir le texte bouddhiste du Sanjutcho Sasshi, que le moine Kūkai a écrit en Chine sous la dynastie Tang et ramené au Japon, ensuite. Décor en togidashimaki-e sur fond de laque noire. L. 39 cm. Musée national de Kyoto. Voir aussi : [1].
persee.fr
« Ce paravent figure un coin de forêt où une cabane d'ermite est enfouie parmi des pins fleuris de glycine. […] Cette œuvre montre la transition entre le style ancien et le Yamato-e. […] Ce paravent a probablement été peint dans la seconde moitié du XIe siècle, d'après une œuvre chinoise » : Dictionnaire historique du Japon, t. 17 (R-S), Paris, Maisonneuve et Larose, (1re éd. 1991), 2993 p. (ISBN2-7068-1633-3, lire en ligne), p. 170: article « Senzui byōbu ».
Dictionnaire historique du Japon, t. 15 (M-N), Paris, Maisonneuve et Larose, (1re éd. 19B9), 2993 p. (ISBN2-7068-1633-3, lire en ligne), p. 36-37: article « Myōshu ».
Dictionnaire historique du Japon, t. 17 (R-S), Paris, Maisonneuve et Larose, (1re éd. 1991), 2993 p. (ISBN2-7068-1633-3, lire en ligne), p. 170 : article « raigō-zu » : « Il s'agit des 9 formes de descente d'Amida, qui correspondent aux 9 degrés de salvation selon les mérites du trépassé. »
wikipedia.org
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Le rideau à panneaux multiples situé au centre, en bas de l’image, est un Kichō(en).