Mohamed Tahar Mansour, Du voile et du zunnâr : du code vestimentaire en pays d’islam, L’Or du temps, 2007, p. 141 (extrait).
Sonia Fellous, Juifs et Musulmans en Tunisie : fraternité et déchirements, université de Paris-IV : Paris-Sorbonne, Société d'histoire des juifs de Tunisie (Paris, France), Jāmiʻah al-Tūnisīyah. Somogy, 2003, p. 79 (extrait) (ISBN2850566322).
Frédéric-Auguste-Antoine Goupil, Voyage en Orient fait avec Horace Vernet en 1839 et 1840, Paris, Challamel, 1843, p. 183 (lire en ligne).
Léon Poliakov, L'étoile jaune : la situation des Juifs en France sous l'occupation, les législations nazie et vichyssoise, Paris, Grancher, , 197 p. (ISBN978-2-7339-0642-2, OCLC716358482), p. 70.
Témoignage de Paul Estèbe, chef-adjoint de cabinet du maréchal Pétain, rapporté par Jean Tournoux, Pétain et la France : la Seconde Guerre mondiale, Paris, Plon, (ISBN978-2-259-00660-6, OCLC854608060), p. 305.
Michel Cointet, dans Pétain et les Français (Perrin, 2002), p. 138, note que dans ses mémoires, Laval rejoindra la position de Pétain : « Je refuserai également l’obligation que les Allemands et le commissaire général voulaient imposer aux Juifs en zone sud de porter l’étoile jaune […] J’avais refusé le port de l’étoile malgré les exigences allemandes. Ce fut le moindre mal, car l’insertion sur les cartes ne gênait pas les Juifs vis-à-vis des autorités françaises. Elles leur permettait d’échapper, comme travailleurs, au départ pour l’Allemagne, car j’ai toujours donné l’instruction de les exclure des départs. Ils furent seulement requis au tout dernier moment pour les chantiers Todt et il y en eut un nombre infime. »
Témoignage de Paul Estèbe, chef-adjoint de cabinet du maréchal Pétain, rapporté par Jean Tournoux, Pétain et la France : la Seconde Guerre mondiale, Paris, Plon, (ISBN978-2-259-00660-6, OCLC854608060), p. 305.
Michel Cointet, dans Pétain et les Français (Perrin, 2002), p. 138, note que dans ses mémoires, Laval rejoindra la position de Pétain : « Je refuserai également l’obligation que les Allemands et le commissaire général voulaient imposer aux Juifs en zone sud de porter l’étoile jaune […] J’avais refusé le port de l’étoile malgré les exigences allemandes. Ce fut le moindre mal, car l’insertion sur les cartes ne gênait pas les Juifs vis-à-vis des autorités françaises. Elles leur permettait d’échapper, comme travailleurs, au départ pour l’Allemagne, car j’ai toujours donné l’instruction de les exclure des départs. Ils furent seulement requis au tout dernier moment pour les chantiers Todt et il y en eut un nombre infime. »