Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Édouard Louis" in Indonesian language version.
"La violence a été le projet fondateur de mon livre. Je voulais faire de la violence un espace littéraire, comme Duras a fait avec la passion, la folie. Ou comme Claude Simon a fait pour la guerre. Ou Hervé Guibert, pour la maladie. C’est une violence qui la plupart du temps ne se voit pas. Justement, la puissance de la littérature pour moi, c’est montrer avec les mots l’invisible. ".
Le premier livre qui marquera un tournant pour le futur écrivain paraît en 2009. C'est Retour de Reims de Didier Eribon.
lLe journaliste se permet des choses à l’égard des classes populaires qu’il ne se serait pas permis à l’égard des dominants. C’est l’expression d’un racisme de classe insupportable.
Louis signe un premier roman époustouflant, En finir avec Eddy Bellegueule, son patronyme originel.
lA handful of new titles topped the bestseller lists in the international markets at the start of 2014. In France, 21-year-old Edouard Louis’s debut novel, Finishing Off Eddy Bellegueule, came in at #1.
Vous y racontez vos jeunes années, de 9 à 13 ans essentiellement, dans le nord de la France, où vous êtes né et vous avez été élevé dans une famille souffrant d’une grande misère, avec au quotidien l’alcoolisme, la pauvreté, le chômage, le désert culturel.
le père est depuis longtemps au chômage après s'être bousillé le dos à l'usine, et où la mère nettoie les vieillards du village.
Héritier du sociologue Pierre Bourdieu, sur l'oeuvre duquel il a dirigé un ouvrage collectif, infiniment sensible, et sincère, il porte un regard aigu sur la réception de son livre.
Louis signe un premier roman époustouflant, En finir avec Eddy Bellegueule, son patronyme originel.
Vous y racontez vos jeunes années, de 9 à 13 ans essentiellement, dans le nord de la France, où vous êtes né et vous avez été élevé dans une famille souffrant d’une grande misère, avec au quotidien l’alcoolisme, la pauvreté, le chômage, le désert culturel.
"La violence a été le projet fondateur de mon livre. Je voulais faire de la violence un espace littéraire, comme Duras a fait avec la passion, la folie. Ou comme Claude Simon a fait pour la guerre. Ou Hervé Guibert, pour la maladie. C’est une violence qui la plupart du temps ne se voit pas. Justement, la puissance de la littérature pour moi, c’est montrer avec les mots l’invisible. ".