Andrew Bacevich (Italian Wikipedia)

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archive.is

  • Washington Rules: America's Path to Permanent War, p. 241. "La guerra illimitata e la presunzione della nazione eletta servivano a nascondere il fatto che l'America era ormai a corto di risorse, dipendente dall'estero per petrolio e finanze, senza i mezzi della sua mondiale supremazia. Lo storico Andrew Bacevich spiega con lucidità questa follia di grandezza fondata sull'insolvenza e il simulacro (The Limits of Power - The End of American Exceptionalism, New York 2008)." Barbara Spinelli, Tramonta l'impero dei consumi, La Stampa, 09/11/2008, p. 1, Tramonta l'impero dei consumi, su partitodemocratico.it, Partito Democratico, 9 novembre 2008. URL consultato il 26 dicembre 2020 (archiviato dall'url originale il 13 aprile 2013).

boston.com

corriere.it

difesa.it

  • Washington Rules: America's Path to Permanent War, p. 220. Vedi l'intervista ad Andrew Bacevich, Una guerra senza speranza. È meglio tornare a casa, La Stampa, 11/10/2010, p. 7.[1]. Scrive Leonardo Tirabassi di Bacevich: "Una posizione originale la sua, che riesce a prendere un altro punto di vista sulla lotta al terrorismo internazionale (o all'insorgenza globale, come la chiama Kilcullen) diverso dal solito dilemma ‘intervento sì o no’: “Ha senso politico e strategico perpetuare la Lunga Guerra oltre il nono anno? Non vi è nessun'altra alternativa?” L'Occidentale, 11/07/2009 Le critiche di Bolton a Obama, gli 11 punti di McNamara | l'Occidentale Archiviato il 22 dicembre 2010 in Internet Archive.

guernicamag.com

liberation.fr

  • "Une des différences frappantes avec la guerre du Vietnam est que ces guerres ne suscitent pas de gros mouvements de protestations aux Etats-Unis. Pourquoi ? L'énorme différence est que nous avons maintenant une armée professionnelle. A l'époque du Vietnam, ce sont tous les jeunes appelés qui risquaient de se voir envoyés au front, et cela a beaucoup contribué à la mobilisation contre la guerre. De nos jours, la grande majorité des Américains n'est pas vraiment affectée par la guerre. Même son coût est reporté sur les générations futures puisqu'elle est financée à crédit. Le sacrifice est fait par une petite partie de la population. Les recrues de l'armée américaine ne sont pas que les pauvres, mais en majorité ce sont les enfants de la classe ouvrière, qui n'ont pas la possibilité d'aller à l'université. L'armée leur offre des opportunités qu'ils n'auraient pas ailleurs : elle paie plutôt bien et offre une bonne couverture sociale (santé, retraite, etc.), non seulement aux soldats mais aussi à leurs familles." Intervista di Andrew Bacevich al quotidiano francese Libération, 23/10/2010.«Les Etats-Unis devraient quitter l'Otan» - Libération Archiviato il 27 ottobre 2010 in Internet Archive.
  • "L'élection d'Obama a fait espérer de très grands changements. J'ai voté pour lui et je l'admire. J'espérais qu'il pourrait remettre en question les fondamentaux de la politique américaine de sécurité qui, depuis le 11 septembre 2001, nous emmènent sur un chemin catastrophique. Ma grande déception est que Obama n'a pas ouvert ce débat. En décidant, en décembre 2009, d'envoyer encore des renforts supplémentaires en Afghanistan, il a fait le choix de l'escalade et de la prolongation de la guerre." Intervista di Andrew Bacevich al quotidiano francese Libération, 23/10/2010. «Les Etats-Unis devraient quitter l'Otan» - Libération Archiviato il 27 ottobre 2010 in Internet Archive.

loccidentale.it

  • Washington Rules: America's Path to Permanent War, p. 220. Vedi l'intervista ad Andrew Bacevich, Una guerra senza speranza. È meglio tornare a casa, La Stampa, 11/10/2010, p. 7.[1]. Scrive Leonardo Tirabassi di Bacevich: "Una posizione originale la sua, che riesce a prendere un altro punto di vista sulla lotta al terrorismo internazionale (o all'insorgenza globale, come la chiama Kilcullen) diverso dal solito dilemma ‘intervento sì o no’: “Ha senso politico e strategico perpetuare la Lunga Guerra oltre il nono anno? Non vi è nessun'altra alternativa?” L'Occidentale, 11/07/2009 Le critiche di Bolton a Obama, gli 11 punti di McNamara | l'Occidentale Archiviato il 22 dicembre 2010 in Internet Archive.

nytimes.com

tnr.com

web.archive.org

  • The Right Choice?, su amconmag.com. URL consultato il 7 dicembre 2010 (archiviato dall'url originale il 12 giugno 2008).
  • Andrew J. Bacevich: The End of (Military) History?: The United States, Israel, and the Failure of the Western Way of War / Guernica / A Magazine of Art & Politics Archiviato il 1º febbraio 2011 in Internet Archive.
  • Blood Without Guts / Guernica / A Magazine of Art & Politics Archiviato il 6 ottobre 2010 in Internet Archive.
  • Washington Rules: America's Path to Permanent War, p. 180. "I neocon che hanno scommesso su Bush hanno condotto per anni una personale e accanita guerra contro la realtà, creando miti a ripetizione. Un episodio lo prova, raccontato anni fa dal giornalista Ron Suskind. Nel 2002, prima della guerra irachena, un consigliere di Bush (era Karl Rove) gli disse: «Il mondo funziona ormai in modo completamente diverso da come immaginano illuministi e empiristi. Noi siamo ormai un impero, e quando agiamo creiamo una nostra realtà. Una realtà che voi osservatori studiate, e sulla quale poi ne creiamo altre che voi studierete ancora» (New York Times, 17-10-04). La reality-based community viveva di fatti, mentre chi vive nello show mistificatorio li trascende, fino a quando la realtà si vendica." Barbara Spinelli, La Stampa, 18/1/2009, Copia archiviata, su lastampa.it. URL consultato il 19 dicembre 2010 (archiviato dall'url originale il 21 gennaio 2009).
  • "Une des différences frappantes avec la guerre du Vietnam est que ces guerres ne suscitent pas de gros mouvements de protestations aux Etats-Unis. Pourquoi ? L'énorme différence est que nous avons maintenant une armée professionnelle. A l'époque du Vietnam, ce sont tous les jeunes appelés qui risquaient de se voir envoyés au front, et cela a beaucoup contribué à la mobilisation contre la guerre. De nos jours, la grande majorité des Américains n'est pas vraiment affectée par la guerre. Même son coût est reporté sur les générations futures puisqu'elle est financée à crédit. Le sacrifice est fait par une petite partie de la population. Les recrues de l'armée américaine ne sont pas que les pauvres, mais en majorité ce sont les enfants de la classe ouvrière, qui n'ont pas la possibilité d'aller à l'université. L'armée leur offre des opportunités qu'ils n'auraient pas ailleurs : elle paie plutôt bien et offre une bonne couverture sociale (santé, retraite, etc.), non seulement aux soldats mais aussi à leurs familles." Intervista di Andrew Bacevich al quotidiano francese Libération, 23/10/2010.«Les Etats-Unis devraient quitter l'Otan» - Libération Archiviato il 27 ottobre 2010 in Internet Archive.
  • Washington Rules: America's Path to Permanent War, p. 220. Vedi l'intervista ad Andrew Bacevich, Una guerra senza speranza. È meglio tornare a casa, La Stampa, 11/10/2010, p. 7.[1]. Scrive Leonardo Tirabassi di Bacevich: "Una posizione originale la sua, che riesce a prendere un altro punto di vista sulla lotta al terrorismo internazionale (o all'insorgenza globale, come la chiama Kilcullen) diverso dal solito dilemma ‘intervento sì o no’: “Ha senso politico e strategico perpetuare la Lunga Guerra oltre il nono anno? Non vi è nessun'altra alternativa?” L'Occidentale, 11/07/2009 Le critiche di Bolton a Obama, gli 11 punti di McNamara | l'Occidentale Archiviato il 22 dicembre 2010 in Internet Archive.
  • "L'élection d'Obama a fait espérer de très grands changements. J'ai voté pour lui et je l'admire. J'espérais qu'il pourrait remettre en question les fondamentaux de la politique américaine de sécurité qui, depuis le 11 septembre 2001, nous emmènent sur un chemin catastrophique. Ma grande déception est que Obama n'a pas ouvert ce débat. En décidant, en décembre 2009, d'envoyer encore des renforts supplémentaires en Afghanistan, il a fait le choix de l'escalade et de la prolongation de la guerre." Intervista di Andrew Bacevich al quotidiano francese Libération, 23/10/2010. «Les Etats-Unis devraient quitter l'Otan» - Libération Archiviato il 27 ottobre 2010 in Internet Archive.