(FR) Antoine de Baecque, «Très délicate, très pâle, très douce», in Libération, Paris, Libération, 8 ottobre 2004. URL consultato il 24 giugno 2016.
«En principe, un prix peut récompenser l'audace, mais là, le choix est plus qu'audacieux. Car la brutalité, la violence, la puissance de l'écriture de Jelinek ont souvent été mal comprises. On peut certes dire de Lust que c'est un roman pornographique ou de la Pianiste que c'est d'une turpitude et d'une perversité totales, mais c'est une interprétation limitée. Jelinek mêle à la crudité du style l'incandescence du sentiment. En lisant et relisant la Pianiste, ce qui ressort, c'est finalement beaucoup plus l'impression d'être face à un grand écrivain classique»