Cambiando spesso di identità, di professione e di luogo di residenza, Ṣubḥ-i Azal non faceva altro che seguire le raccomandazioni del Báb, nascondendosi per sfuggire alle persecuzioni.Vedi: Adib Taherzadeh, La Révélation de Bahá'u'lláh, volume 1, chapitre 15, Maison d'Editions Bahá'íes, Bruxelles.
"C'était seulement naturel, dans les circonstances d'espoir frustré et de douleur montante, et en vue de la promesse claire et énergique donnés à eux par le Bab, en regard de l'avènement proche de «Celui que Dieu rendra manifeste», que nombre d'entre eux durent presque faire un pas en avant dans un état d'auto-hypnotisme, de revendiquer être Celui pour (whose sake) le Bab avait joyeusement versé Son sang, de proclamer qu'ils étaient venus pour sauver une communauté étourdie par l'adversité des abysses du désespoir et de la dégradation. Une nouvelle fois, il était naturel qu'ils puisent trouver des adhérents, que certains se rallieraient avec joie autour d'eux, car c'était une main guide, un sage conseiller dont les babis avaient désespérément besoin. A peine quelques uns de ces «Manifestations de Dieu» auto nommées étaient des hommes de ruse, d'avidité ou d'ambition. Alors que les tensions augmentaient, leur nombre s'éleva au nombre élevé de 25. L'un d'entre eux était un indien nommé Siyyid Basir, un homme d'un courage sans bornes et zélé, qui finalement rencontra la mort comme martyre. Un prince obstiné de la maison de Kadjar s'infligea des tortures atroces sur lui auxquelles il succomba. Un autre était Mirza Asadu'llah de Khuy, que le Bab avait nommé Dayyan, connu comme la «troisième Lettre à croire en Celui que Dieu rendra manifeste». Le Bab s'était même référé à lui comme le dépositaire de la vérité et de la connaissance de Dieu. Au moment où Baha'u’llah avait quitté Bagdad pour résider dans les montagnes du nord, Dayyan approcha Mirza Yahya et fut grandement déçu. Puis il avança la revendication de son propre chef, à l'appui de quoi il écrivit un traité et envoya une copie à Mirza Yahya. La réponse de Subh-i-Azal fut de le condamner à mort. Il écrivit un livre qu'il appela Mustayqiz( L'endormi réveillé) (dont il y a des copies au British Museum) pour dénoncer Dayyan et Siyyid Ibrahim-i-Khalil, un autre important Babi, qui s'était aussi détourné de lui. Dayyan fut fustigé comme "Abu'sh-Shurur" - le "Père des iniquités". E. G. Browne écrit au sujet de cette accusation : "Ṣubḥ-i-Azal [...] non seulement l'insulte dans le langage le plus grossier, mais il exprime sa surprise que ses adhérents 'restent silencieux à leurs places et ne le transpercent pas avec leurs lances', ou 'ne déchirent pas ses intestins avec leurs mains'". Materials for the Study of the Babi Religion, Cambridge, 1918, p. 218. Lorsque Baha'u’llah revint à Bagdad, Dayyan le rencontra et renonça à sa revendication. Mais la sentence de mort prononcée par Ṣubḥ-i-Azal fut exécutée par son serviteur, Mirza Muhamad-i-Mazindarani. Mirza Ali-Akbar, un cousin du Bab, qui était dévoué à Dayyan, fut aussi tué. (cf. H. M. Balyuzi, 'Edward Granville Browne and the Bahá'í Faith, Oxford, George Ronald editore , ISBN 0-85398-023-3 )
Mutatis mutandis, i decreti (fatwā ) di morte che emanò contro alcuni Babi che si opponevano alla sua autorità come successore del Báb alla guida della comunità possono essere considerati come una forma di "Jihād bi-sayf" (jihād armato) e comparati alle "guerre contro l'apostasia" (hurub al-ridda) che Abū Bakr al-Siddiq intraprese contro coloro che contestavano la sua autorità di Califfo dopo la morte di Maometto. Su queste "fatwa", si può leggere Extracts from the memoirs of Nabil Zarandi on the conduct of the Babis in Iraq, prefazione e traduzione di Sepehr Manuchehri, e l'episodio del Dayyan in:"The Messiah of Shiraz" (Studies in early and middle Babism), di Denis MacEoin, Iran Studies, Vol. 3, p. 389-391 (The episode of Dayyan) ISBN 978-90-04-17035-3
Ciò sembra strano se si pensa che per cercare di squalificarlo i suoi avversari l'hanno accusato d'aver avuto fino a diciassette mogli, cf. "The Cyprus Exiles", scritto da Moojan Momen e pubblicato in Bahá'í Studies Bulletin, 1991, pp. 81-113.
"He ordered the wife of the Bab, [Fatimah Khanum, the sister of Mulla Rajab-Ali Qahir. She was the temporary wife (Siqah) of the Bab in Isfahan] to arrive in Baghdad from land of Sad, [Means the city of Isfahan in Babi terminology] with hundred treachery and contempt, he took her for one full month, afterwards he gave her away, to that bastard Dajjal from land of Sad.",Extracts from the memoirs of Nabil Zarandi on the conduct of the Babis in Iraq, prefazione e traduzione di Sepehr Manuchehri
"C'était seulement naturel, dans les circonstances d'espoir frustré et de douleur montante, et en vue de la promesse claire et énergique donnés à eux par le Bab, en regard de l'avènement proche de «Celui que Dieu rendra manifeste», que nombre d'entre eux durent presque faire un pas en avant dans un état d'auto-hypnotisme, de revendiquer être Celui pour (whose sake) le Bab avait joyeusement versé Son sang, de proclamer qu'ils étaient venus pour sauver une communauté étourdie par l'adversité des abysses du désespoir et de la dégradation. Une nouvelle fois, il était naturel qu'ils puisent trouver des adhérents, que certains se rallieraient avec joie autour d'eux, car c'était une main guide, un sage conseiller dont les babis avaient désespérément besoin. A peine quelques uns de ces «Manifestations de Dieu» auto nommées étaient des hommes de ruse, d'avidité ou d'ambition. Alors que les tensions augmentaient, leur nombre s'éleva au nombre élevé de 25. L'un d'entre eux était un indien nommé Siyyid Basir, un homme d'un courage sans bornes et zélé, qui finalement rencontra la mort comme martyre. Un prince obstiné de la maison de Kadjar s'infligea des tortures atroces sur lui auxquelles il succomba. Un autre était Mirza Asadu'llah de Khuy, que le Bab avait nommé Dayyan, connu comme la «troisième Lettre à croire en Celui que Dieu rendra manifeste». Le Bab s'était même référé à lui comme le dépositaire de la vérité et de la connaissance de Dieu. Au moment où Baha'u’llah avait quitté Bagdad pour résider dans les montagnes du nord, Dayyan approcha Mirza Yahya et fut grandement déçu. Puis il avança la revendication de son propre chef, à l'appui de quoi il écrivit un traité et envoya une copie à Mirza Yahya. La réponse de Subh-i-Azal fut de le condamner à mort. Il écrivit un livre qu'il appela Mustayqiz( L'endormi réveillé) (dont il y a des copies au British Museum) pour dénoncer Dayyan et Siyyid Ibrahim-i-Khalil, un autre important Babi, qui s'était aussi détourné de lui. Dayyan fut fustigé comme "Abu'sh-Shurur" - le "Père des iniquités". E. G. Browne écrit au sujet de cette accusation : "Ṣubḥ-i-Azal [...] non seulement l'insulte dans le langage le plus grossier, mais il exprime sa surprise que ses adhérents 'restent silencieux à leurs places et ne le transpercent pas avec leurs lances', ou 'ne déchirent pas ses intestins avec leurs mains'". Materials for the Study of the Babi Religion, Cambridge, 1918, p. 218. Lorsque Baha'u’llah revint à Bagdad, Dayyan le rencontra et renonça à sa revendication. Mais la sentence de mort prononcée par Ṣubḥ-i-Azal fut exécutée par son serviteur, Mirza Muhamad-i-Mazindarani. Mirza Ali-Akbar, un cousin du Bab, qui était dévoué à Dayyan, fut aussi tué. (cf. H. M. Balyuzi, 'Edward Granville Browne and the Bahá'í Faith, Oxford, George Ronald editore , ISBN 0-85398-023-3 )
"The Cyprus Exiles"Archiviato il 21 novembre 2010 in Internet Archive., scritto da Moojan Momen e pubblicato in "Bahá'í Studies Bulletin", vol. 5, no. 3 - vol. 6, no. 1, Giugno 1991, pp. 84-113.
google.fr
books.google.fr
Mutatis mutandis, i decreti (fatwā ) di morte che emanò contro alcuni Babi che si opponevano alla sua autorità come successore del Báb alla guida della comunità possono essere considerati come una forma di "Jihād bi-sayf" (jihād armato) e comparati alle "guerre contro l'apostasia" (hurub al-ridda) che Abū Bakr al-Siddiq intraprese contro coloro che contestavano la sua autorità di Califfo dopo la morte di Maometto. Su queste "fatwa", si può leggere Extracts from the memoirs of Nabil Zarandi on the conduct of the Babis in Iraq, prefazione e traduzione di Sepehr Manuchehri, e l'episodio del Dayyan in:"The Messiah of Shiraz" (Studies in early and middle Babism), di Denis MacEoin, Iran Studies, Vol. 3, p. 389-391 (The episode of Dayyan) ISBN 978-90-04-17035-3
"The Primal Point's Will and Testament"Archiviato l'8 dicembre 2004 in Internet Archive., scritto da Manuchihri Sipihr e pubblicato in Research Notes in Shaykhi, Babi and Baha'i Studies, 2004, v. 7, n° 2 :"The tablet is clearly addressed to the person with the name of Azal. As there was no one else with such a title in the Babi community, it can safely be assumed that the intended recipient of this tablet is none other than Subh-e Azal."
"On the other hand, Babi doctrines maintain their traditional bond to Shii Islam, as is the case with taqiya, the possibility of hiding one's religious thoughts or convictions in times of crisis or danger. The idea of martyrdom and warlike jihād as a means to reach salvation also remain central in Babi thought." "An introduction to Bab'i faith", in Encyclopedia of religion, ed. da Lindsay Jones, Ed.Macmillan Reference, USA, 2004, 2 edizione (Dicembre 17) ISBN 0-02-865733-0
"The Primal Point's Will and Testament"Archiviato l'8 dicembre 2004 in Internet Archive., scritto da Manuchihri Sipihr e pubblicato in Research Notes in Shaykhi, Babi and Baha'i Studies, 2004, v. 7, n° 2 :"The tablet is clearly addressed to the person with the name of Azal. As there was no one else with such a title in the Babi community, it can safely be assumed that the intended recipient of this tablet is none other than Subh-e Azal."
"The Cyprus Exiles"Archiviato il 21 novembre 2010 in Internet Archive., scritto da Moojan Momen e pubblicato in "Bahá'í Studies Bulletin", vol. 5, no. 3 - vol. 6, no. 1, Giugno 1991, pp. 84-113.