몰리에르 (Korean Wikipedia)

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  • Voir (Thierry-Barbin 1682). La seule source qui nous fasse connaître le nom de ces auteurs est Jean-Nicolas de Tralage, neveu du lieutenant de police Gabriel Nicolas de La Reynie, qui, dans une note manuscrite qu'on peut dater de 1696, écrit : « Ceux qui ont eu soin de la nouvelle édition des Œuvres de Molière faite à Paris chez Thierry, l'an 1682, en huit volumes in-12, sont M. Vivot et M. de La Grange. Le premier était un des amis intimes de l'auteur, et qui savait presque tous ses ouvrages par cœur. L'autre était un des meilleurs acteurs de la troupe […]. La préface qui est au commencement de ce livre est de leur composition. » [Notes et documents sur l'histoire des théâtres de Paris au XVIIe siècle, par Jean Nicolas Du Tralage ; extraits mis en ordre et publiés d'après le manuscrit original par le bibliophile Jacob, avec une notice sur le recueil du sieur Du Tralage, Paris, 1880, p.30-31, consultable sur Gallica.] Sur l'identité du sieur Vivot, voir l'article très documenté de (Jean Mesnard 1992).
  • Charles Boullanger de Challuset (ou Le Boulanger de Chalussay), auteur d'une comédie satirique intitulée Élomire hypocondre, ou Les Médecins vengés (Élomire est une anagramme de Molière). Sur ce personnage, qui paraît bien informé de certains faits de la jeunesse de Molière, voir Madeleine Jurgens (1972년 4월). “Qui était Boullanger de Challuset ?”. 《Revue d'histoire du théâtre》.  . Sa comédie, qui n'a probablement jamais été représentée, est considérée par les historiens comme « un texte de première importance ». L'édition originale de 1670, supprimée à la suite des poursuites intentées par Molière (dont fait état un « Avis au lecteur » que l'on trouve dans les réimpressions), est accessible en ligne sur Gallica. On peut lire sur le même site l'édition critique procurée par Louis Moland au XIXe siècle.
  • L'accent grave n'était pas encore en usage au XVIIe siècle (sauf sur les mots à, là, où), comme on peut le vérifier dans toutes les publications de l'époque, et en particulier dans le premier Dictionnaire de l'Académie française paru en 1694, trente ans après la mort de Molière (voir par exemple les entrées : amere, amerement, barriere, carriere, épithete, guere, premiere, premièrement, derniere, dernierement, etc.).
  • (Rey & Lacouture 2007, 21-22쪽). On a observé depuis longtemps que Magdelon, la jeune précieuse que Madeleine Béjart incarnera en 1659 dans Les Précieuses ridicules, a choisi le nom de Polixène pour se faire valoir dans le monde. Il est vrai que ce nom était déjà celui d'un personnage de La Comédie sans comédie de Philippe Quinault, que les comédiens du Marais avaient créée au milieu des années 1650.
  • Correspondance de Roger de Rabutin, comte de Bussy avec sa famille et ses amis, Paris, 1858, tome II, p. 147, accessible sur Internet Archive, et Mémoires du P. René Rapin, Paris, 1865, t. 1, p. iv, accessible sur Gallica.
  • (Lacroix 1876, 1쪽, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k204334z/f50.image)
  • (Lacroix 1876, 6쪽, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k204334z/f55.item)
  • Cité par (Despois-Mesnard), Le Cocu imaginaire.

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lefigaro.fr

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paris-sorbonne.fr

moliere-corneille.paris-sorbonne.fr

  • Molière s'est intéressé plus tard à l'épicurisme dans la version radicale qu'en donne le De rerum natura de Lucrèce, dont il a traduit des fragments du deuxième livre dans un mélange de vers et de prose, dont rien ne subsiste aujourd'hui. Pas moins de six témoignages contemporains font état de cette « traduction ». Voir le texte de ces témoignages sur le site Molière-Corneille et à la date du 26 février 1659 dans les Éphémérides de François Rey, accessibles en ligne Archived 2016년 4월 19일 - 웨이백 머신. Mais s'il faut en croire Michel de Marolles, cette traduction, qui était plutôt une adaptation comme d'autres avant lui s'y étaient exercés (en particulier Charles Cotin dans son Théoclée de 1646), avait été faite d'après la traduction en prose que Marolles lui-même avait fait paraître en 1650, puis en 1659. Celui-ci écrit dans la préface des Six livres de Lucrèce. De la nature des choses, troisième édition, 1677 : « Plusieurs ont ouï parler de quelques vers [d']après la traduction en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année 1649 [sic], dont il y a eu deux éditions. Ces vers n’ont vu le jour que par la bouche du comédien Molière, qui les avait faits [comprendre : ils n'ont pas été imprimés] […] Il les avait composés, non pas de suite, mais selon les divers sujets tirés des livres de ce poète, lesquels lui avaient plu davantage, et les avait faits de diverses mesures. Je ne sais s’il se fût donné la peine de travailler sur les points de doctrine et sur les raisonnements philosophiques de cet auteur, qui sont si difficiles, mais il n’y a pas grande apparence de le croire, parce qu’en cela même il lui eût fallu donner une application extraordinaire, où je ne pense pas que son loisir, ou peut-être quelque chose de plus, le lui eût pu permettre, quelque secours qu’il eût pu avoir d’ailleurs, comme lui-même ne l’avait pas nié à ceux qui voulurent savoir de lui de quelle sorte il en avait usé pour y réussir aussi bien qu’il faisait, leur ayant dit plus d’une fois qu’il s’était servi de la version en prose dédiée [par Marolles, en 1650] à la Sérénissime reine Christine de Suède. »
  • Pour une consultation des actes notariés dans lesquels signent les comédiens avec leurs noms de « fief », voir les ouvrages de Sophie-Wilma Deierkauf-Holsboer sur Le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne (Paris, Nizet, 1968) ; sur Le Théâtre du Marais (Paris, Nizet, 1954) et d'Alan Howe sur Le Théâtre professionnel à Paris, 1600-1649 (Paris, Archives nationales, 2000). La plus récente mise au point sur ce sujet se trouve à cette adresse.

moliere.paris-sorbonne.fr

  • Molière s'est intéressé plus tard à l'épicurisme dans la version radicale qu'en donne le De rerum natura de Lucrèce, dont il a traduit des fragments du deuxième livre dans un mélange de vers et de prose, dont rien ne subsiste aujourd'hui. Pas moins de six témoignages contemporains font état de cette « traduction ». Voir le texte de ces témoignages sur le site Molière-Corneille et à la date du 26 février 1659 dans les Éphémérides de François Rey, accessibles en ligne Archived 2016년 4월 19일 - 웨이백 머신. Mais s'il faut en croire Michel de Marolles, cette traduction, qui était plutôt une adaptation comme d'autres avant lui s'y étaient exercés (en particulier Charles Cotin dans son Théoclée de 1646), avait été faite d'après la traduction en prose que Marolles lui-même avait fait paraître en 1650, puis en 1659. Celui-ci écrit dans la préface des Six livres de Lucrèce. De la nature des choses, troisième édition, 1677 : « Plusieurs ont ouï parler de quelques vers [d']après la traduction en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année 1649 [sic], dont il y a eu deux éditions. Ces vers n’ont vu le jour que par la bouche du comédien Molière, qui les avait faits [comprendre : ils n'ont pas été imprimés] […] Il les avait composés, non pas de suite, mais selon les divers sujets tirés des livres de ce poète, lesquels lui avaient plu davantage, et les avait faits de diverses mesures. Je ne sais s’il se fût donné la peine de travailler sur les points de doctrine et sur les raisonnements philosophiques de cet auteur, qui sont si difficiles, mais il n’y a pas grande apparence de le croire, parce qu’en cela même il lui eût fallu donner une application extraordinaire, où je ne pense pas que son loisir, ou peut-être quelque chose de plus, le lui eût pu permettre, quelque secours qu’il eût pu avoir d’ailleurs, comme lui-même ne l’avait pas nié à ceux qui voulurent savoir de lui de quelle sorte il en avait usé pour y réussir aussi bien qu’il faisait, leur ayant dit plus d’une fois qu’il s’était servi de la version en prose dédiée [par Marolles, en 1650] à la Sérénissime reine Christine de Suède. »
  • Molière 21[깨진 링크(과거 내용 찾기)].

web.archive.org

  • Molière s'est intéressé plus tard à l'épicurisme dans la version radicale qu'en donne le De rerum natura de Lucrèce, dont il a traduit des fragments du deuxième livre dans un mélange de vers et de prose, dont rien ne subsiste aujourd'hui. Pas moins de six témoignages contemporains font état de cette « traduction ». Voir le texte de ces témoignages sur le site Molière-Corneille et à la date du 26 février 1659 dans les Éphémérides de François Rey, accessibles en ligne Archived 2016년 4월 19일 - 웨이백 머신. Mais s'il faut en croire Michel de Marolles, cette traduction, qui était plutôt une adaptation comme d'autres avant lui s'y étaient exercés (en particulier Charles Cotin dans son Théoclée de 1646), avait été faite d'après la traduction en prose que Marolles lui-même avait fait paraître en 1650, puis en 1659. Celui-ci écrit dans la préface des Six livres de Lucrèce. De la nature des choses, troisième édition, 1677 : « Plusieurs ont ouï parler de quelques vers [d']après la traduction en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année 1649 [sic], dont il y a eu deux éditions. Ces vers n’ont vu le jour que par la bouche du comédien Molière, qui les avait faits [comprendre : ils n'ont pas été imprimés] […] Il les avait composés, non pas de suite, mais selon les divers sujets tirés des livres de ce poète, lesquels lui avaient plu davantage, et les avait faits de diverses mesures. Je ne sais s’il se fût donné la peine de travailler sur les points de doctrine et sur les raisonnements philosophiques de cet auteur, qui sont si difficiles, mais il n’y a pas grande apparence de le croire, parce qu’en cela même il lui eût fallu donner une application extraordinaire, où je ne pense pas que son loisir, ou peut-être quelque chose de plus, le lui eût pu permettre, quelque secours qu’il eût pu avoir d’ailleurs, comme lui-même ne l’avait pas nié à ceux qui voulurent savoir de lui de quelle sorte il en avait usé pour y réussir aussi bien qu’il faisait, leur ayant dit plus d’une fois qu’il s’était servi de la version en prose dédiée [par Marolles, en 1650] à la Sérénissime reine Christine de Suède. »
  • Molière 21[깨진 링크(과거 내용 찾기)].
  • Les mollières de la baie de Somme Archived 2017년 9월 5일 - 웨이백 머신.

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • D'abord prénommé Jean, il ne sera dit « Jean-Baptiste » qu'après la naissance de son premier frère, né en 1624 et également prénommé Jean. L'acte de baptême de Molière, transcrit par Edmond Révérend du Mesnil (Mesnil 1879, 66쪽), indique : « Du samedy 15e janvier 1622, fut baptisé Jean, fils de Jean Pouquelin, marchant tapissier, et de Marie Cresé [sic], sa femme, demeurant rue Sainct-Honoré. Le parin [sic] Jean-Louis Pouquelin, porteur de grains, la marine [sic] Denise Lescacheux, veuve de Sebastien Asselin, vivant maistre tapissier. » (Jurgens 1963, 212쪽)
  • Georges Forestier estime que Molière « naquit très certainement le 15 janvier, car l'usage était de baptiser le jour même de la naissance, surtout quand on craignait pour la vie du nouveau-né arrivé avant-terme », ses parents s'étant mariés le 27 avril 1621. (Forestier 2018, 11쪽) « À moins, précise l'auteur dans une note de fin de volume, que ses parents n'aient consommé avant la cérémonie de mariage… »
  • « Plusieurs fois l'an, voire le mois, devant des foules rassemblées pour un rituel qui tenait du spectacle, de la fête et du cérémonial, on y pendait, on y rouait, on y décapitait, on y essorillait les valets indélicats, on y livrait aux flammes, après les avoir lacérés, les livres condamnés par les autorités civiles ou religieuses. Jusqu'en 1535, on y avait également brûlé des hommes. » (Rey 2010, 29쪽)
  • Dans la famille de sa mère, l'arrière-grand-père, Guillaume Cressé, mort en 1617, était tapissier ; son oncle, Guillaume Cressé, était un tapissier fournisseur de Richelieu ; un cousin du grand-père de Molière, Pierre Cressé, était maître orfèvre à Paris et valet de chambre du prince de Condé ; un autre Pierre Cressé a été médecin à Paris. Voir (Maxfield-Miller 1958).
  • Nicolas Poquelin a été ensuite concierge-tapissier de l'hôtel de Liancourt ou de La Rochefoucauld, rue de Seine. ((Delay 1979, 102 et 104쪽).)
  • Voir (Thierry-Barbin 1682). La seule source qui nous fasse connaître le nom de ces auteurs est Jean-Nicolas de Tralage, neveu du lieutenant de police Gabriel Nicolas de La Reynie, qui, dans une note manuscrite qu'on peut dater de 1696, écrit : « Ceux qui ont eu soin de la nouvelle édition des Œuvres de Molière faite à Paris chez Thierry, l'an 1682, en huit volumes in-12, sont M. Vivot et M. de La Grange. Le premier était un des amis intimes de l'auteur, et qui savait presque tous ses ouvrages par cœur. L'autre était un des meilleurs acteurs de la troupe […]. La préface qui est au commencement de ce livre est de leur composition. » [Notes et documents sur l'histoire des théâtres de Paris au XVIIe siècle, par Jean Nicolas Du Tralage ; extraits mis en ordre et publiés d'après le manuscrit original par le bibliophile Jacob, avec une notice sur le recueil du sieur Du Tralage, Paris, 1880, p.30-31, consultable sur Gallica.] Sur l'identité du sieur Vivot, voir l'article très documenté de (Jean Mesnard 1992).
  • (Grimarest 1705, 9쪽). Aucun document ne permet toutefois d'affirmer que Bernier et Chapelle ont été élèves des jésuites à Clermont.
  • On peut suivre sur transcription de documents authentiques les étapes de la courte vie de l'Illustre Théâtre dans (Jurgens 1963, 90-108쪽)
  • (Rey & Lacouture 2007, 21-22쪽). On a observé depuis longtemps que Magdelon, la jeune précieuse que Madeleine Béjart incarnera en 1659 dans Les Précieuses ridicules, a choisi le nom de Polixène pour se faire valoir dans le monde. Il est vrai que ce nom était déjà celui d'un personnage de La Comédie sans comédie de Philippe Quinault, que les comédiens du Marais avaient créée au milieu des années 1650.
  • « Par exemple, Elomire/ Veut se rendre parfait dans l'art de faire rire ; / Que fait-il, le matois, dans ce hardi dessein ? / Chez le grand Scaramouche il va soir et matin. » (Boullanger 1670, 13쪽), (Lacour 1928, 13, 58쪽) 참조.
  • Dans la farce française, les personnages n'étaient pas masqués mais avaient le visage enfariné. Voir (Baschera 1998, 24쪽).
  • Voir (Simon 1957, 8쪽) Ses œuvres seront désormais publiées, avec ou sans son accord, par les libraires Jean Ribou, Guillaume de Luyne, Claude Barbin, Gabriel Quinet, Thomas Jolly, Jean Guignard, Étienne Loyson, Louis Billaine, Pierre Trabouillet, Nicolas Le Gras, Théodore Girard et quelques autres. Sur les rapports complexes et difficiles de Molière avec ses éditeurs, voir (Caldicott 1998, 121-157쪽)
  • Jurgens 1972, 333-339쪽.
  • Goubert 1954.
  • (Soulié 1863, 123쪽). Texte du contrat de mariage entre Jean Poquelin et Marie Cressé, 22 février 1621.
  • Beaussant 1992, 274-277쪽.
  • Jurgens 1963, 730-731쪽.
  • Jurgens 1963, 602-605쪽.
  • Rey & Lacouture 2007, 18쪽.
  • Duchêne 1998, 41쪽.
  • (Soyer 1919).
  • Chevalley 1973, 18쪽.
  • Jurgens 1963, 224-226쪽.
  • Simon 1957, 7쪽.
  • (Jurgens 1963, 225쪽) ; (Simon 1957, 7쪽)
  • Philippe Cornuaille 등. 2015, 16-21쪽.
  • Jurgens 1963, 93-98쪽.
  • Chevalley 1973, 24쪽.
  • Jurgens 1963, 103쪽.
  • (Jurgens 1963, 255-256쪽)
  • Jurgens 1963, 105-106쪽.
  • Acte d'engagement du danseur Daniel Mallet, reproduit dans (Jurgens 1963, 241쪽).
  • Grimarest 1705, 16쪽.
  • Maxfield-Miller 1959, 619-620쪽.
  • (Duchêne 1998, 106쪽)
  • Chevalley 1973, 32-71쪽.
  • Chappuzeau 1674, 214쪽.
  • Baluffe 1887, 170-186쪽.
  • (Forestier 1990, 13.쪽)
  • (Lacroix 1876, 1쪽, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k204334z/f50.image)
  • (Lacroix 1876, 6쪽, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k204334z/f55.item)
  • Forestier 1990, 15-16쪽.
  • Forestier 1990, 16쪽.
  • Hubert 1962, 24쪽.
  • Despois-Mesnard t.2, 20쪽.
  • Duchêne 1998, 745쪽.
  • Cité par (Despois-Mesnard), Le Cocu imaginaire.
  • (Duchêne 1998, 246쪽)
  • Jurgens 1963, 552-553쪽.
  • Forestier 1990, 17쪽.
  • Bray 1954, 105-106쪽.

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