« Lucette
fut le vrai corps vivant de Céline. Il consacrait toute son énergie à penser, son cerveau
gigantesque débordait de sa carcasse malingre et malade, sa nervosité musicale
parcourait de fibrillations le coffre décharné de cet antique clavecin d'os et de veines.
Lucette lui tenait lieu de réservoir de souplesse et de grâce, elle fut son trésor de
sensualité, son sexe, ses muscles, sa vigueur. » Phrase citée par Stéphane Zagdanski dans Mes Moires[1] (page 130).
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Jean-Louis Cornille, Céline, d'un bout à l'autre, éd. Rodopi, 1999, p. 10, extrait en ligne
<엘리자베스 크레이그가 셀린에 관해 말하다 : <밤 끝으로의 여행>을 헌정받은 이와의 대담>Elizabeth Craig raconte Céline : entretien avec la dédicataire de Voyage au bout de la nuit, 장 모니에 저, 파리, 현대 프랑스 문학 총서, 1988 OCLC462165615과 <엘리자베스와 루이 : 엘리자베스 크레이그가 루이페르디낭 셀린에 대하여 말하다>Elizabeth et Louis : Elizabeth Craig parle de Louis-Ferdinand Céline, 알퐁스 쥘런드가 청취하고 소개, 파리, 갈리마르, 1994 ISBN978-2-07-072928-9OCLC31066140를 보시오.