Almanach des gourmands vol. 1 (3a ed. 1803) p. 186; vol. 2 (2a ed. 1804) p. 265 ff.; vol. 4 (1806) pp. v-x; vol. 5 (1807) pp. 188-189; vol. 8 (1812) pp. 233-234
Vous êtes prié d'assister au souper-collation de Me Alexandre-Balthazar-Laurent Grimod de La Reynière, écuyer, avocat au Parlement, membre de l'Académie des Arcades de Rome, associé libre du Musée de Paris, et rédacteur de la partie dramatique du Journal de Neufchâtel; qui se fera en son domicile, rue des Champs-Elysées, paroisse de la Madeleine-de-la-Ville-l'Evéque, le [premier] jour du mois d[e février] 178[3]. On fera son possible pour vous recevoir selon vos mérites; et, sans se flatter encore que vous soyez pleinement satisfait, on ose vous assurer dès aujourd'hui que du côté de l'huile et du cochon vous n'aurez rien à désirer. On s'assemblera à neuf heures et demie, pour souper à dix. Vous êtes instamment supplié de n'amener ni chien ni valet, le service devant être fait par des servantes ad hoc.Correspondance littéraire, philosophique et critique de Grimm vol. 11, 1782/1783 (1830) p. 364; Lettres à un Lyonnais (1857) p. 317; Desnoiresterres (1877) pp. 73-74
Monsieur, en conséquence de la délibération prise le 11 juillet dernier et à laquelle vous avez adhéré, vous êtes instamment prié de vous trouver, mercredi prochain, 5 novembre 1784, à midi précis, à l'ouverture de l'Académie des déjeuners, qui se fera à la manière accoutumée, rue des Champs-Elysées, paroisse de la Madeleine-de-la-Ville-l'Évèque. — P. S. Il y aura des lectures intéressantes et un discours de rentrée, que vous voudrez bien écouter avec indulgence. F. G. S. A. V. A. Paris, ce 28 octobre 1784: Lettres à un Lyonnais (1857) 1855 pp. 298-299; Lorgnette pars 2 pp. 31, 121; Censeur vol. 2 p. 443; Almanach des gourmands vol. 2 (2a ed. 1804) p. 216; vol. 8 pp. 55-56; "Déjeuners" in Alphonsus de Fortia de Piles, Nouveau dictionnaire français pp. 101-102; Restif de la Bretonne, Les Contemporaines vol. 109 ad fin., Les Contemporaines: vogues contemporaines vol. 11 p. 539; Mémoires secrets vol. 32 pp. 225-227; Desnoiresterres (1877) pp. 97-106
Cette année fut la plus heureuse de ma vie. Libre, indépendant, fêté, recherché, amoureus autant qu'il le fallait pour n'être pas malheureus ... livré à des études agréables et purement de mon chois: "Lettre, 7 mai 1787" apud Restif de la Bretonne (1793)p. 1252; Desnoiresterres (1877) pp. 27-33