Miles regularis (Latin Wikipedia)

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  • "Le moine (ou la moniale) est donc un contemplatif, retiré du monde" sed simplex religiosus non est monachus quia "il consacre sa vie à Dieu par les trois même vœux de chasteté, pauvreté et obéissance. Cependant il ne fait pas vœu de stabilité".Legito in rete, et etiam :Lire en ligne, Ordre des Carmes. Lege quoque  : Pierre Helyot, Histoire des ordres monastiques, religieux et militaires, et des congrégations séculiaires, I, Parisiis, apud Jean-Baptiste Coignard, 1721Legito in rete. Etiam, quod attinet ad Templarios : Alain Demurger, Jacques de Molay, coll. « Biographie Payot », Payot & Rivages, 2002, p. 45 : "...ce ne sont pas des moines, n'ayant pas la vocation de se retirer du monde pour prier, méditer et rendre gloire à Dieu. Le Temple est un ordre religieux-militaire, pas un ordre monastique ; et l'expression de « moine-soldat », courante et galvaudée, est impropre".

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  • Abbé Boissonnet, Dictionnaire des cérémonies . . . et des rites sacrés (Lutetiae: 1847), 1:254: « création d'un chevalier régulier » Legito in reti. Honoré de Sainte-Marie, Disserations historiques et critiques sur la chevalerie ancienne et nouvelle, séculière et régulière (Lutetiae: 1718), 386: « Le chevalier régulier est uni par ses vœux à son supérieur », et p. 212 : « créer un chevalier Régulier. De creatione Militis Regularis »Legito in reti.
  • Revue de Gascogne: bulletin bimestrial de la Société historique, 13:515: « Miles regularis is est qui tribus religionis votis adstrictus, formulam vivendi, auctoritate Ecclesiae approbatam, professus, cum hostibus fidei et religionis christianae bella sive navalia, sive terrestria committit (Pontificale Romanum, V, 1, p. 657) » Lire en ligne.
  • Dictionnaire ecclésiastique et canonique portatif, Paris, 1766, tome I, p. 364 : "Il y a quatre especes de Chevalerie, la régulière, la militaire, l'honoraire et la sociale. La chevalerie reguliere, est celle des Ordres Militaires où l'on s'engage de prendre un certain habit, de porter les armes contre les Infidèles, de favoriser les Pèlerins allant aux lieux Saints, et de servir aux Hôpitaux où ils doivent être reçus". Lire en ligne
  • Honoré de Sainte-Marie,, Dissertations historiques et critiques sur la chevalerie ancienne et moderne, 529: "Depuis le XII. siècle, jusqu'au XVII. on en a fondé plus de LX en Europe", p. 529 : Lire en ligne.
  • Augustinus Barbosa, Summa apostolicarum decisionum, extra jus commune vagantium: quae ex variis approbatissimorum doctorum libris hucusque impressis, et ad calcem uniuscujusque allegatis, eorum sub fide collectae, ad maiorem studiosorum omnium commoditatem alphabetico ordine disponuntur, Sumptibus Petri Borde, et Ioannis Arnaud, 1645 "Eques regularis"
  • Durand de Maillane, Dictionnaire de droit canonique, tome II, Paris, 1761, p. 242 Lire en ligne atque Abbé André Michel, Cours alphabétique et méthodique de droit canon, tome IV, Lutetiae Parisiorum, 1859, p. 480 : « En sorte que, suivant ce que nous venons de dire, on peut rapporter les différents ordres de religieux à cinq genres; moines, chanoines, chevaliers, frères mendiants et clercs réguliers » Lire en ligne.
  • "Le moine (ou la moniale) est donc un contemplatif, retiré du monde" sed simplex religiosus non est monachus quia "il consacre sa vie à Dieu par les trois même vœux de chasteté, pauvreté et obéissance. Cependant il ne fait pas vœu de stabilité".Legito in rete, et etiam :Lire en ligne, Ordre des Carmes. Lege quoque  : Pierre Helyot, Histoire des ordres monastiques, religieux et militaires, et des congrégations séculiaires, I, Parisiis, apud Jean-Baptiste Coignard, 1721Legito in rete. Etiam, quod attinet ad Templarios : Alain Demurger, Jacques de Molay, coll. « Biographie Payot », Payot & Rivages, 2002, p. 45 : "...ce ne sont pas des moines, n'ayant pas la vocation de se retirer du monde pour prier, méditer et rendre gloire à Dieu. Le Temple est un ordre religieux-militaire, pas un ordre monastique ; et l'expression de « moine-soldat », courante et galvaudée, est impropre".
  • Titulus XXXI de regularibus et transeuntibus ad religionem ex libro III decretalium Gregorii Papae IX Legito : "§ 21. An equites conjugati Ordinum militarium, ut sunt in Hispania S. Jacobi Calatravae et Alcantarae, sint propriè Religiosi ? § 22. r. Videri hos equites conjugatos dictorum Ordinum militarium esse verè ac propriè Religiosos, ratio est, quia Equites Melitenses, aurei velleris, et Equites Teutonici vere et propriè sunt Religiosi, ergo etiam Equites conjugati St. Jacobi Hispaniae, Calatravae et Alcantarae"
  • Yñigo de la CRUZ MANRIQUE DE LARA (comes de Aguilar), Defensorio de la religiosidad de los cavalleros militares ... de que ... deben gozar de todos los privilegios de religiosos. Instruccion para ellos en las obligaciones de tales, y particulares noticias para la suya de sus madres. Y noticia abreviada de los selectos privilegios, y bulas de la Orden de Calatrava, p. : "irregulares multorum militum Regularium mores ob oculos ponunt nonnulli, et non esse Religiosos pronuntiant" Legito.
  • Jean-Claude Lucet, Principe du Droit Canonique universel, Paris, chez Eugène Onfroy, 1788, p. 244 : « On tient en France, que les Chevaliers de Malte, de même que les Universités et les fabriques sont patrons laïcs » Lire en ligne. Etiam : Louis de Héricourt, Les loix ecclesiastiques de France dans leur ordre naturel et une analyse des livres du droit canonique, Paris, chez Pierre-Jean Mariette, 1736, p. 277 : « Le droit de Patronage qui appartient aux Universités, est regardé comme Patronage Laïc, parce que les Universités sont composées de Laïcs et de Clercs, et que les fonctions de ceux qui les composent, sont d'enseigner toutes les sciences sacrées ou profanes : il en est de même du Patronage qui appartient aux Chevaliers de Malthe, parce qu'ils ne sont pas engagés dans l'état Ecclesiastique ».Legito in interreti.
  • "ce ne sont pas les trois vœux qui font les religieux, il faut quelque chose de plus" : Recueil des actes, titres ..... concernant les affaires du clergé de France, Paris, 1771, tome XII, col. 75-76.Legito in linea interretiali. Etiam : Journal des principales audiences du Parlement, p. 725 : [1].
  • John W. O'Malley, Erasmus. Enchiridion Militis Christiani, University of Toronto Press, 1988, p. 312 : "155. On the monk as Christ's soldier see eg. Peter Damian De institutis, 4 pl. 145". Legito.
  • Vocabula "militia Christi" et "miles Christi", iam in usu erat apud vetustiores scriptores Christianos (Études sur le latin des chrétiens, vol. II, Latin chrétien et médiéval Lire en ligne et Legito p. 338. Ita haec vocabulA apud Serapionem inveniuntur (Epistola ad Montanum : "estrateuethête tooi Christooi), apud Orsiesium , libro 34 : "laboremus sicut boni milites Christi" , apud Cassianum verba "miles Christi", inveniuntur in sua Vita Hilarii. Verbummilitia factum est verbum commune ad viam religiosam describendam.
  • Barbara H. Rosenwein, "Feudal war and monastic peace. Cluniac liturgy as ritual aggression", in : Viator, medieval and Renaissance studies, volumem 2, University of California, Los Angeles. Center for Medieval and Renaissance Studies, University of California Press, 1986, p. 145 : "If Cluniac liturgy was a kind of battle, there was no novelty in the fact. The earliest milites Christi had been the martyrs, but when Christianity became acceptable, the living martyrdom of the monastery became the home of Gods's soldiers. And if the monks, disdainful of the world, were the soldiers of Christ, then the ordinary soldier, the miles saecularis, was the servant of his passions for wealth and glory" Legito.
  • Honoré de Sainte-Marie (1718) p. 234-235 : « Remarque sur les vœux des chevaliers. Quoique dans toutes les Milices Régulières on suive une Règle approuvée de l' Eglise, et qu'on fasse des Vœux, cependant tous les Chevaliers qui embrassent ces Instituts ne sont pas Religieux. Ceux-là seuls portent ce titre avec justice, et sont véritablement Religieux, qui s'engagent à la face de l'Eglise de garder toute leur vie l'obéïssance à leurs Supérieurs, la chasteté et la pauvreté » et p.238. Lire en ligne. Etiam : *** (Abbé Roux), (1725) p.8 : « lorsqu'il doit faire ses vœux, il se présente en robe au Prieur de l'Eglise, qui lui fait des exhortations sur les devoirs de son état » lire en ligne.

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  • "Le moine (ou la moniale) est donc un contemplatif, retiré du monde" sed simplex religiosus non est monachus quia "il consacre sa vie à Dieu par les trois même vœux de chasteté, pauvreté et obéissance. Cependant il ne fait pas vœu de stabilité".Legito in rete, et etiam :Lire en ligne, Ordre des Carmes. Lege quoque  : Pierre Helyot, Histoire des ordres monastiques, religieux et militaires, et des congrégations séculiaires, I, Parisiis, apud Jean-Baptiste Coignard, 1721Legito in rete. Etiam, quod attinet ad Templarios : Alain Demurger, Jacques de Molay, coll. « Biographie Payot », Payot & Rivages, 2002, p. 45 : "...ce ne sont pas des moines, n'ayant pas la vocation de se retirer du monde pour prier, méditer et rendre gloire à Dieu. Le Temple est un ordre religieux-militaire, pas un ordre monastique ; et l'expression de « moine-soldat », courante et galvaudée, est impropre".

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  • Apud antiquiores auctores Christianos inveniuntur haec vocabula : Sidonius Apolinaris, Epistolae, IV 4-1 "saeculi militia" ; Gregorius, Historiae, VII, 1 : "militia Christi" ; Fortunatus, Epistola 1; saeculi militia ; Vita Aud. 3 ; Radulfus Cadomensis (c. 1080 - c. 1120) GESTA TANCREDI IN EXPEDITIONE HIEROSOLYMITANA : "Dominus quippe maxillam percussum jubet, et aliam percussori praebere ; militia vero saecularis, nec cognato sanguini parcere" Legito.