In Sentiments des Citoyens schreef Voltaire over Rousseau en Levasseur: "Nous avouons avec douleur et en rougissant que c'est un homme qui porte encore les marques funestes de ses débauches, et qui, déguisé en saltimbanque, traîne avec lui de village en village, et de montagne en montagne, la malheureuse dont il fit mourir la mère, et dont il a exposé les enfants à la porte d'un hôpital en rejetant les soins qu'une personne charitable voulait avoir d'eux, et en abjurant tous les sentiments de la nature comme il dépouille ceux de l'honneur et de la religion". Zie voor de context: Ian Davidson (2010) Voltaire. A Life, p. 445. Gearchiveerd op 16 augustus 2023.
Ritchie Robertson, The Enlightenment. The Pursuit of Happiness, 1680-1790, 2020, p. 139. Gearchiveerd op 16 augustus 2023.
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Cranston, Maurice (1991) Jean-Jacques: The Early Life and Work of Jean-Jacques Rousseau, 1712-1754
[1]
Op 22 augustus 1742 gaf hij aan de academie een toelichting op zijn muzieknotatie, onder de titel Projet Concernant de Nouveaux Signes pour la Musique. In: Projet Concernant de Nouveaux Signes pour la Musique
In Sentiments des Citoyens schreef Voltaire over Rousseau en Levasseur: "Nous avouons avec douleur et en rougissant que c'est un homme qui porte encore les marques funestes de ses débauches, et qui, déguisé en saltimbanque, traîne avec lui de village en village, et de montagne en montagne, la malheureuse dont il fit mourir la mère, et dont il a exposé les enfants à la porte d'un hôpital en rejetant les soins qu'une personne charitable voulait avoir d'eux, et en abjurant tous les sentiments de la nature comme il dépouille ceux de l'honneur et de la religion". Zie voor de context: Ian Davidson (2010) Voltaire. A Life, p. 445. Gearchiveerd op 16 augustus 2023.
Ritchie Robertson, The Enlightenment. The Pursuit of Happiness, 1680-1790, 2020, p. 139. Gearchiveerd op 16 augustus 2023.
In Sentiments des Citoyens schreef Voltaire over Rousseau en Levasseur: "Nous avouons avec douleur et en rougissant que c'est un homme qui porte encore les marques funestes de ses débauches, et qui, déguisé en saltimbanque, traîne avec lui de village en village, et de montagne en montagne, la malheureuse dont il fit mourir la mère, et dont il a exposé les enfants à la porte d'un hôpital en rejetant les soins qu'une personne charitable voulait avoir d'eux, et en abjurant tous les sentiments de la nature comme il dépouille ceux de l'honneur et de la religion". Zie voor de context: Ian Davidson (2010) Voltaire. A Life, p. 445. Gearchiveerd op 16 augustus 2023.