Speer affirme dans son ouvrage Au cœur du Troisième Reich que les modifications apportées par Hitler au projet de la colonne du Mouvement comme de véritables améliorations apportant au problème des forces statiques s'exerçant dans un socle une solution meilleure que celle proposée par l'architecte.
Les colonnes doriques, cannelées ou même lisses, dotées d'une base carrée et de chapiteaux constituaient un élément favori de décoration.