Ces cinq eaux-fortes firent l'objet d'une exposition à la Galerie Jeanne Bucher en juin 1933. Le texte de Bataille est repris dans Œuvres complètes, t. I, Paris, Gallimard, 1970, p. 87-96. Il se termine par cette phrase : « La mort qui me délivre du monde qui me tue a enfermé ce monde réel dans l'irréalité du moi qui meurt. » Avec des modifications assez importantes, Bataille l'a repris dans L'Expérience intérieure, sous le titre « La mort est en un sens une imposture », Œuvres complètes, t. V, Paris, Gallimard, 1973, p. 83-92. Sacrifices a été réédité avec L'Anus solaire, Paris, Éditions Lignes, 2011, 48 p.
Réédition en fac-similé des cinq numéros, préface de Michel Camus intitulée « L'acéphalité ou la religion de la mort », Paris, éd. Jean-Michel Place, 1995.