Dans Souvenirs désordonnés, José Corti raconte qu'il a sollicité l'intervention de plusieurs personnalités de l'époque qui étaient plus ou moins en contact avec les Allemands : Jean Paulhan, Jean Cocteau, Jacques Benoist-Méchin, Angelo Chiappe… et qu'aucune d'elles n'a voulu ou pu intervenir, n'est intervenue ou n'a obtenu satisfaction.