fr Au XXIe siècle, le nom Österreichische Volkspartei (ÖVP) est traduit en français « Parti populaire autrichien » ou « Parti du peuple autrichien », alors qu'au XXe siècle, il était usuel de traduire « Parti populiste autrichien » : M. Wallnöfer [...] était membre du Parti populiste autrichien (OVP)Le Monde, 5 mars 1987; La grande coalition socialiste-populiste en Autriche - La fin de l'ère KreiskyLe Monde, 28 janvier 1987. À partir des élections de 1999, qui permettent son entrée au gouvernement fédéral, c'est désormais le parti libéral autrichien (FPÖ) qui sera qualifié de « populiste » par les commentateurs français: Les populistes du FPÖ exigent un référendumLe Monde, 15 septembre 2000. Il en va de même de la traduction du SHP turc, naguère traduit Parti populiste social-démocrateLe Monde, 15 novembre 1992 et que l'on préfère plus récemment traduire par: Parti populaire social-démocrateLe Monde, 26 juillet 1994. Le CHP turc, aujourd'hui traduit parti républicain du peupleLe Monde, 14 novembre 1998Arhivat în , la Wayback Machine. pouvait autrefois être désigné en français par Parti populiste républicainLe Monde 18 septembre 1992Arhivat în , la Wayback Machine., le « populisme » étant l'un des six principes du kemalisme.
frDivergences des extrêmesArhivat în , la Wayback Machine., entretien, dans le quotidien Le Monde daté du 10 février 2012, de Vincent Tiberj, chargé de recherche à Sciences Po (Centre d'études européennes-FNSP): en France « le non de gauche exprime principalement un non social, tandis que les partisans du non de droite considèrent à la fois les questions nationales et sociales. Parmi ces derniers, l'Europe suscitait en 2005 les peurs d'une moindre protection sociale (76 %), d'une montée du chômage (86 %), d'un afflux d'immigrés (76 %) et d'une perte d'identité nationale (72 %). Pour les nonistes de gauche, si les chiffres s'élevaient à 85 % pour l'État-providence et 90 % pour le chômage, ils n'atteignaient "que" 45 % pour les immigrés et 42 % pour l'identité nationale. »
web.archive.org
fr Au XXIe siècle, le nom Österreichische Volkspartei (ÖVP) est traduit en français « Parti populaire autrichien » ou « Parti du peuple autrichien », alors qu'au XXe siècle, il était usuel de traduire « Parti populiste autrichien » : M. Wallnöfer [...] était membre du Parti populiste autrichien (OVP)Le Monde, 5 mars 1987; La grande coalition socialiste-populiste en Autriche - La fin de l'ère KreiskyLe Monde, 28 janvier 1987. À partir des élections de 1999, qui permettent son entrée au gouvernement fédéral, c'est désormais le parti libéral autrichien (FPÖ) qui sera qualifié de « populiste » par les commentateurs français: Les populistes du FPÖ exigent un référendumLe Monde, 15 septembre 2000. Il en va de même de la traduction du SHP turc, naguère traduit Parti populiste social-démocrateLe Monde, 15 novembre 1992 et que l'on préfère plus récemment traduire par: Parti populaire social-démocrateLe Monde, 26 juillet 1994. Le CHP turc, aujourd'hui traduit parti républicain du peupleLe Monde, 14 novembre 1998Arhivat în , la Wayback Machine. pouvait autrefois être désigné en français par Parti populiste républicainLe Monde 18 septembre 1992Arhivat în , la Wayback Machine., le « populisme » étant l'un des six principes du kemalisme.
frDivergences des extrêmesArhivat în , la Wayback Machine., entretien, dans le quotidien Le Monde daté du 10 février 2012, de Vincent Tiberj, chargé de recherche à Sciences Po (Centre d'études européennes-FNSP): en France « le non de gauche exprime principalement un non social, tandis que les partisans du non de droite considèrent à la fois les questions nationales et sociales. Parmi ces derniers, l'Europe suscitait en 2005 les peurs d'une moindre protection sociale (76 %), d'une montée du chômage (86 %), d'un afflux d'immigrés (76 %) et d'une perte d'identité nationale (72 %). Pour les nonistes de gauche, si les chiffres s'élevaient à 85 % pour l'État-providence et 90 % pour le chômage, ils n'atteignaient "que" 45 % pour les immigrés et 42 % pour l'identité nationale. »