(en) Colbert E. Cushing, Kenneth W. Cummins et G. Wayne Minshall, River and Stream, Londres, University of California press, coll. « Ecosystems of the world », , 825 p. (ISBN0-520-24567-9, lire en ligne), p. 390
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(de) Thomas Koschitzki, GIS-basierte, automatische Erfassung natürlicher Fließgewässerhierarchien und ihre Abbildung in Datenbanken, beispielhaft dargestellt am Einzugsgebiet der Salza [« Enregistrement automatique des hiérarchies naturelles des cours d’eau à l’aide d’un SIG (ou Système d'Information Géographique) et leur représentation dans des bases de données, illustrée par un exemple dans le bassin de la Salza »], Halle (Saale), Martin-Luther-Universität Halle-Wittenberg, (lire en ligne), p. 12.
earthstartsbeating.com
Notre traduction de : (en) Salvatore Tarchini, « Mississippi River System » [« Le système fluvial du Mississippi »], sur Earth Starts Beating.com, (consulté le ).
(en) Salvatore Tarchini, « Mississippi River System » [« Le système fluvial du Mississippi »], sur Earth Starts Beating.com, (consulté le ).
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« Confluence », sur geoconfluences.ens-lyon.fr, (consulté le )
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Jacques Callède et alii, « Les apports en eau de l'Amazone à l'Océan Atlantique », Revue des sciences de l'eau - Volume 23 - N°3, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
[il est d'usage récent d'utiliser le néologisme « linguisticien » pour un spécialiste de linguistique en général, et de réserver le terme de « linguiste » aux spécialistes des langues étrangères, pour distinguer les deux justement. Mais cet usage ne fait pas encore l'unanimité : Georges Mounin, Clefs pour la langue française, Seghers, coll. « Clefs », , 196 p. (lire en ligne)]
Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, Pérou 2018/2019, Petit Futé, , 552 p. (lire en ligne).
(en) Michael H. Marshall, Henry F. Lamb, Paul V. Coombes, Michael H. Marshall, Mohammed Umer, Sarah J. Davies, Eshete Dejen (trad. Le dessèchement du Lac Tana, source du Nil Bleu au cours du dernier Pléistocène), « Late Pleistocene desiccation of Lake Tana, source of the Blue Nile », Quaternary Science Reviews, n°26, , p. 287-299 (lire en ligne, consulté le ).
♦(fr + pt + en) M. T. R. C. Prost, J-F. Faure, C. Charron, H.V. Vargas, V. F. Santos, A.C. Mendes et A. Gardel, « L’embouchure de l'Amazone, macro-frontière géomorphologique : enseignements de 30 années de recherches franco-brésiliennes sur les systèmes côtiers amazoniens », Revue Confins, n° 33, , § 29 à 32, chapitre 2.2 (lire en ligne, consulté le ), sur le site "Journals.OpenEdition.org". ♦ Autre lien pour le même article : Prost et alii, « L’embouchure de l'Amazone, macro-frontière géomorphologique » [PDF], sur horizon.documentation.ird.fr, (consulté le ), page 10.
♦(fr + pt + en) M. T. R. C. Prost, J-F. Faure, C. Charron, H.V. Vargas, V. F. Santos, A.C. Mendes et A. Gardel, « L’embouchure de l'Amazone, macro-frontière géomorphologique : enseignements de 30 années de recherches franco-brésiliennes sur les systèmes côtiers amazoniens », Revue Confins, n° 33, , § 29 à 32, chapitre 2.2 (lire en ligne, consulté le ), sur le site "Journals.OpenEdition.org". ♦ Autre lien pour le même article : Prost et alii, « L’embouchure de l'Amazone, macro-frontière géomorphologique » [PDF], sur horizon.documentation.ird.fr, (consulté le ), page 10.
Le terme « tributaire » — transcrit en ce sens de l'anglais tributary, qui ne connaît pas le mot « affluent », tous deux issus du latin trĭbūtārĭus (« qui paie tribut ») — peut aussi s'appliquer à un fleuve tributaire d'une mer, alors que le vocable d'affluent ne s'y applique que rarement, car seul un fleuve, qu'il soit côtier ou au long cours, peut être tributaire d'une mer, et le mot "affluent" est souvent synonyme de "rivière". Mais on trouve des sources qui emploient l'expression « affluent maritime » ou encore « affluents de la baie de Sept-Îles »[3], au Québec. De même, on trouve « le Danube et les autres affluents de la mer Noire »[4] à la fin du XIXe siècle. Après tout, les eaux d'un fleuve affluent en effet toujours dans une mer au sens général d'"alimenter" et de "flux qui rejoint un ensemble plus grand". Toujours est-il qu'aujourd'hui l'expression « affluent d'une mer » semble plutôt tombée en désuétude : les mots « tributaire » et « affluent » ne sont donc pas exactement synonymes dans le langage courant.
Le mot « distributaire » est un néologisme du milieu du XIXe siècle[5]. Il est dérivé de « distributeur » avec le suffixe -aire par substitution de suffixe et contamination de « tributaire », et formé selon le Littré sur le modèle de « donataire »[6] qui est celui qui reçoit donation de la part du donateur lors d'une succession. Sur le même modèle, dans le « Schéma de la communication » du linguisticien[7]Roman Jakobson, ou encore en sémiotique pour le « schéma actantiel », on trouve le couple d'opposition lexicale « destinateur/destinataire », le destinateur étant l'émetteur d'un message ou d'une action, le destinataire étant celui qui est censé les recevoir ou en être bénéficiaire. En ce sens, le « distributaire » est donc le cours d'eau principal qui reçoit la "contribution" à son débit du cours d'eau considéré comme "secondaire"** et lui "payant tribut", toutes expressions donc plutôt métaphoriques ici. [**"Secondaire", c'est-à-dire de rang de Strahler inférieur].
La ville brésilienne de Tabatinga se trouve au tripoint lieu-dit des Tres Fronteras (« trois frontières ») entre Pérou (Santa Rosa), Colombie (Leticia) et Brésil (Tabatinga). Attention à ne pas confondre ce lieu-dit des « Trois Frontières » avec un autre tripoint célèbre, celui de la « Triple frontière » entre l'Argentine, le Brésil et le Paraguay, au confluent entre les rios Iguaçu et Paraná à Puerto Iguazú : voir les articles consacrés à ces toponymes, ainsi que la section « Rôle dans l'aménagement du territoire » de l'article dédié à la confluence en hydrologie.