Carrel discutait les sujets dans ce livre avec ses amis du Century Club, dont Frederic René Coudert(en), avocat international, Cornelius Clifford, prêtre et chercheur de philosophie médiévale, Boris Bakhmeteff, ambassadeur du gouvernement provisoire de la Russie aux États-Unis, Fonds Alexis Carrel Inventaire, établi par Catherine Rancon en août 2012 [lire en ligne] p.7-8. Ce qui fit la dédicace de son livre à ces trois amis : « Il a été écrit, non dans la paix de la campagne, mais dans la confusion, le bruit et la fatigue de New York. Son auteur a été entraîné à cet effort par ses amis, philosophes, savants, juristes, économistes, hommes de grandes affaires, avec lesquels il cause depuis des années des graves problèmes de notre temps » (Carrel, 1935, préface p. vi). Le père Clifford et Bakhmeteff étaient enseignants de l'université Columbia tandis que ce cercle étroit était, à New York, surnommé les philosophes, Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [30]. Dans les années 1930 outre-Atlantique, le sujet n'était pas encore un tabou, Docteur Jean-Claude Debongnie, Alexis Carrel : une étoile aux talents multiples, nobelisée, une fin en trou noir éthique, revue Louvain médical, juillet 2019 [31]. Le public américain accueillit ainsi ce livre avec enthousiasme. En 1936, le Man, the Unknown fut le livre le plus vendu aux États-Unis, dans la catégorie de non-fiction, The New York Times Almanac 2002, p. 919 (en) [32]
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Fondation américaine pour les aveugles (AFB), Letter concerning a Service Medal Presented to Helen Keller by the Rotary Club, 1956 (en) [38]
Le texte, qui est omis dans cette image, précisait : « The greatest war surgeon, Dr. Alexis Carrel, is to take charge of a military hospital unit in New York and teach United States Army and Navy surgeons his methods. The Rockefeller Fondation has given $200.000 for the work (Le plus grand chirurgien engagé de la guerre, docteur Alexis Carrel, est en train d'être chargé, auprès de l'hôpital militaire à New York, d'enseigner son méthode aux chirurgiens de l'armée et de la marine de guerre américaines. La fondation Rockefeller donna 200.000 dollars au projet.) » [lire en ligne].
The Rockefeller Institute for Medical Research, The War Demonstration Hospital, 1917 [lire en ligne].
« Ses expériences, effectuées avec l’aide d’Ebeling, sur le cœur d’un poulet maintenu en vie dans un milieu artificiel pendant une trentaine d’années ont été invalidées par la science ultérieure, et l’on ne sait pas exactement si les « résultats » de Carrel, qui furent annoncés par la presse de l’époque, sont dus à un subterfuge ou à une erreur sincère », TORT Patrick, « 8. Un nazi français passé par l’Amérique : le docteur Alexis Carrel », dans : , Du totalitarisme en Amérique. Comment les États-Unis ont instruit le nazisme, sous la direction de TORT Patrick. Toulouse, Érès, « Société », 2022, p. 89-115. URL : https://www.cairn.info/du-totalitarisme-en-amerique--9782749275369-page-89.htm
TORT Patrick, « 8. Un nazi français passé par l’Amérique : le docteur Alexis Carrel », dans : , Du totalitarisme en Amérique. Comment les États-Unis ont instruit le nazisme, sous la direction de TORT Patrick. Toulouse, Érès, « Société », 2022, p. 89-115. URL : https://www.cairn.info/du-totalitarisme-en-amerique--9782749275369-page-89.htm
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Le père de l'évêque Pierre-Marie-Octave Belmont, Jean-François Belmont, était le grand-père maternel de la mère d'Alexis Carrel (généalogie par Henri Paturel [1] Jean-François Belmont)
google.fr
books.google.fr
Dans le bulletin Église à Lyon, publié en 1902 où l'événement était arrivé, on trouve une phrase (p. 64) : « Entre les guérisons obtenues, il en est une qui a fait tant de bruit à Lyon que nous croyons devoir la mentionner maintenant, nous réservant d'y revenir plus tard. » Sans doute l'étude de Patrick Theillier Lourdes, Terre de guérisons (2019) explique-t-elle bien la cause : un journal de Lyon Le Nouvelliste aurait présenté un faux interview avec Alexis Carrel, ce que réfuta, le lendemain, Carrel, lui-même. Ainsi, selon le journal, Carrel aurait dit : « J'ai craint qu'elle ne puisse supporter le voyage. » Or, dans Le Voyage de Lourdes de Carrel : [abbé P.] « Elle est si faible que je crains un malheur. » [2].
Homme de science, Alexis Carrel savait que la médecine aussi a sa limite. Dans un article du Reader's Digest, publié aux États-Unis et cité par Dale Carnegie, il témoignait : « La prière est une force aussi réelle que la gravité terrestre. En tant que chirurgien, j'ai vu des hommes qui, après que toutes les autres formes de traitement avaient échoué, se débarrassaient de leur maladie et de leur déprime par l'effort serein de la prière. Ce n'est que par la prière que l'on peut atteindre cet ensemble parfait et harmonieux du corps, de l'esprit et de l'âme, qui donne au frêle roseau qu'est l'humain une force inébranlable. » (Traduction par ou citée par Joe Vitale, La prière secrète, p. 102, 2018 [3])
Le vicomte Albert Révérend, Armorial du premier empire, tome II, p. 256, 1895 [6] voir II. Alfred-Auguste Gourlez de la Motte et sa fille cadette Anne.
Marco Picichè, Dawn and Evolution of Cardiac Procedures, p. 56, 2012 (en) [15]
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Peter Weber, A U. S. Army Medical Base in World War I France, p. 47 - 49 (en) [25]
Carrel discutait les sujets dans ce livre avec ses amis du Century Club, dont Frederic René Coudert(en), avocat international, Cornelius Clifford, prêtre et chercheur de philosophie médiévale, Boris Bakhmeteff, ambassadeur du gouvernement provisoire de la Russie aux États-Unis, Fonds Alexis Carrel Inventaire, établi par Catherine Rancon en août 2012 [lire en ligne] p.7-8. Ce qui fit la dédicace de son livre à ces trois amis : « Il a été écrit, non dans la paix de la campagne, mais dans la confusion, le bruit et la fatigue de New York. Son auteur a été entraîné à cet effort par ses amis, philosophes, savants, juristes, économistes, hommes de grandes affaires, avec lesquels il cause depuis des années des graves problèmes de notre temps » (Carrel, 1935, préface p. vi). Le père Clifford et Bakhmeteff étaient enseignants de l'université Columbia tandis que ce cercle étroit était, à New York, surnommé les philosophes, Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [30]. Dans les années 1930 outre-Atlantique, le sujet n'était pas encore un tabou, Docteur Jean-Claude Debongnie, Alexis Carrel : une étoile aux talents multiples, nobelisée, une fin en trou noir éthique, revue Louvain médical, juillet 2019 [31]. Le public américain accueillit ainsi ce livre avec enthousiasme. En 1936, le Man, the Unknown fut le livre le plus vendu aux États-Unis, dans la catégorie de non-fiction, The New York Times Almanac 2002, p. 919 (en) [32]
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« ALEXIS CARREL », dans Encyclopædia Universalis (lire en ligne) (consulté le ).
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