Alexis Carrel (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Alexis Carrel" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
3,051st place
182nd place
7th place
28th place
4th place
12th place
515th place
37th place
232nd place
15th place
124th place
14th place
6th place
63rd place
879th place
52nd place
low place
low place
26th place
110th place
61st place
177th place
666th place
58th place
low place
low place
2,595th place
283rd place
low place
1,311th place
low place
low place
low place
low place
7,109th place
low place
234th place
147th place
301st place
285th place
1,687th place
5,022nd place
low place
low place
731st place
771st place
340th place
406th place
low place
low place
8,215th place
469th place
low place
low place
2nd place
3rd place
4,234th place
314th place
2,650th place
689th place
low place
low place
low place
low place
low place
2,417th place
9,875th place
low place
9,264th place
low place
363rd place
23rd place
1,384th place
89th place
7,928th place
849th place
low place
2,252nd place
321st place
31st place
low place
low place
low place
low place
233rd place
16th place
512th place
32nd place
low place
1,556th place
low place
1,117th place
2,878th place
195th place
1,470th place
95th place
1,407th place
88th place
4,489th place
1,746th place
70th place
196th place
488th place
827th place
391st place
26th place
8,565th place
low place
2,481st place
3,695th place
741st place
1,215th place
2,268th place
3,725th place
low place
low place
8th place
42nd place
low place
low place

1914-1918-online.net

encyclopedia.1914-1918-online.net

  • International Encyclopedia of the First World War, Volunteer Ambulance Services (USA) (en) [45]

academie-francaise.fr

academie-medecine.fr

bibliotheque.academie-medecine.fr

  • Carrel discutait les sujets dans ce livre avec ses amis du Century Club, dont Frederic René Coudert (en), avocat international, Cornelius Clifford, prêtre et chercheur de philosophie médiévale, Boris Bakhmeteff, ambassadeur du gouvernement provisoire de la Russie aux États-Unis, Fonds Alexis Carrel Inventaire, établi par Catherine Rancon en août 2012 [lire en ligne] p.7-8. Ce qui fit la dédicace de son livre à ces trois amis : « Il a été écrit, non dans la paix de la campagne, mais dans la confusion, le bruit et la fatigue de New York. Son auteur a été entraîné à cet effort par ses amis, philosophes, savants, juristes, économistes, hommes de grandes affaires, avec lesquels il cause depuis des années des graves problèmes de notre temps » (Carrel, 1935, préface p. vi). Le père Clifford et Bakhmeteff étaient enseignants de l'université Columbia tandis que ce cercle étroit était, à New York, surnommé les philosophes, Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [30]. Dans les années 1930 outre-Atlantique, le sujet n'était pas encore un tabou, Docteur Jean-Claude Debongnie, Alexis Carrel : une étoile aux talents multiples, nobelisée, une fin en trou noir éthique, revue Louvain médical, juillet 2019 [31]. Le public américain accueillit ainsi ce livre avec enthousiasme. En 1936, le Man, the Unknown fut le livre le plus vendu aux États-Unis, dans la catégorie de non-fiction, The New York Times Almanac 2002, p. 919 (en) [32]

afb.org

  • Fondation américaine pour les aveugles (AFB), Letter concerning a Service Medal Presented to Helen Keller by the Rotary Club, 1956 (en) [38]

allodocteurs.fr

ar-tour.com

  • Site Artour, Famille Leroudier [11].

archive.org

  • Le texte, qui est omis dans cette image, précisait : « The greatest war surgeon, Dr. Alexis Carrel, is to take charge of a military hospital unit in New York and teach United States Army and Navy surgeons his methods. The Rockefeller Fondation has given $200.000 for the work (Le plus grand chirurgien engagé de la guerre, docteur Alexis Carrel, est en train d'être chargé, auprès de l'hôpital militaire à New York, d'enseigner son méthode aux chirurgiens de l'armée et de la marine de guerre américaines. La fondation Rockefeller donna 200.000 dollars au projet.) » [lire en ligne].
  • The Rockefeller Institute for Medical Research, The War Demonstration Hospital, 1917 [lire en ligne].

bbc.co.uk

news.bbc.co.uk

bnf.fr

data.bnf.fr

catalogue.bnf.fr

  • Notice Bnf [7] ; son œuvre Étude pharmacodynamique du chlorhydrate d'éthylmorphine dionine, 1900 [8]

gallica.bnf.fr

  • Notice Bnf [7] ; son œuvre Étude pharmacodynamique du chlorhydrate d'éthylmorphine dionine, 1900 [8]

brown.edu

byu.edu

net.lib.byu.edu

cairn.info

  • « Ses expériences, effectuées avec l’aide d’Ebeling, sur le cœur d’un poulet maintenu en vie dans un milieu artificiel pendant une trentaine d’années ont été invalidées par la science ultérieure, et l’on ne sait pas exactement si les « résultats » de Carrel, qui furent annoncés par la presse de l’époque, sont dus à un subterfuge ou à une erreur sincère », TORT Patrick, « 8. Un nazi français passé par l’Amérique : le docteur Alexis Carrel », dans : , Du totalitarisme en Amérique. Comment les États-Unis ont instruit le nazisme, sous la direction de TORT Patrick. Toulouse, Érès, « Société », 2022, p. 89-115. URL : https://www.cairn.info/du-totalitarisme-en-amerique--9782749275369-page-89.htm
  • TORT Patrick, « 8. Un nazi français passé par l’Amérique : le docteur Alexis Carrel », dans : , Du totalitarisme en Amérique. Comment les États-Unis ont instruit le nazisme, sous la direction de TORT Patrick. Toulouse, Érès, « Société », 2022, p. 89-115. URL : https://www.cairn.info/du-totalitarisme-en-amerique--9782749275369-page-89.htm

catholicculture.org

  • Dom Stanley Jaki, Two Lourdes miracles and a Nobel Laureate : What Really Happend ?, dans le site Catholic Culture, 1998 (en) [13]

cdlib.org

oac.cdlib.org

  • Université de Californie, The Centennial of The University, p. 191, 1967 (en) [68]

centre-medical-de-france.fr

  • Site Centre médical de France, Centre Medical Alexis Carrel [73]

cluny-histoiresdhistoire.com

columbia.edu

clio.columbia.edu

cths.fr

  • Comité des travaux historiques et scientifiques [4]

ctsnet.org

  • The Cardiothoracic Surgery Network (en) [9]

culture.gouv.fr

leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr

  • Base de données Léonore (Grande chancellerie de la Légion d'honneur), Notice c-132383 : Marie-Joseph-Auguste Carrel-Billard [64]

dartmouthalumnimagazine.com

archive.dartmouthalumnimagazine.com

doi.org

dx.doi.org

  • Roland Pfefferkorn, « Fantasmes eugénistes d’hier et d’aujourd’hui », Chimères. Revue des schizoanalyses, vol. 28, no 1,‎ , p. 111–133 (DOI 10.3406/chime.1996.2086, lire en ligne, consulté le ).

dominicainsavrille.fr

francetvinfo.fr

france3-regions.francetvinfo.fr

free.fr

reparti.free.fr

  • Éditions Ars&littéræ, 2018 [53]

geneanet.org

gw.geneanet.org

  • Le père de l'évêque Pierre-Marie-Octave Belmont, Jean-François Belmont, était le grand-père maternel de la mère d'Alexis Carrel (généalogie par Henri Paturel [1] Jean-François Belmont)

google.fr

books.google.fr

  • Dans le bulletin Église à Lyon, publié en 1902 où l'événement était arrivé, on trouve une phrase (p. 64) : « Entre les guérisons obtenues, il en est une qui a fait tant de bruit à Lyon que nous croyons devoir la mentionner maintenant, nous réservant d'y revenir plus tard. » Sans doute l'étude de Patrick Theillier Lourdes, Terre de guérisons (2019) explique-t-elle bien la cause : un journal de Lyon Le Nouvelliste aurait présenté un faux interview avec Alexis Carrel, ce que réfuta, le lendemain, Carrel, lui-même. Ainsi, selon le journal, Carrel aurait dit : « J'ai craint qu'elle ne puisse supporter le voyage. » Or, dans Le Voyage de Lourdes de Carrel : [abbé P.] « Elle est si faible que je crains un malheur. » [2].
  • Un article de Carrel sur la prière, publié dans le Reader's Digest, fut cité par Dale Carnegie, dans son livre qui fut sorti en 1944 (en)[lire en ligne].
  • Homme de science, Alexis Carrel savait que la médecine aussi a sa limite. Dans un article du Reader's Digest, publié aux États-Unis et cité par Dale Carnegie, il témoignait : « La prière est une force aussi réelle que la gravité terrestre. En tant que chirurgien, j'ai vu des hommes qui, après que toutes les autres formes de traitement avaient échoué, se débarrassaient de leur maladie et de leur déprime par l'effort serein de la prière. Ce n'est que par la prière que l'on peut atteindre cet ensemble parfait et harmonieux du corps, de l'esprit et de l'âme, qui donne au frêle roseau qu'est l'humain une force inébranlable. » (Traduction par ou citée par Joe Vitale, La prière secrète, p. 102, 2018 [3])
  • Patrick Berche, Une histoire des microbes, p. 118, 2007 [lire en ligne].
  • Le vicomte Albert Révérend, Armorial du premier empire, tome II, p. 256, 1895 [6] voir II. Alfred-Auguste Gourlez de la Motte et sa fille cadette Anne.
  • Marco Picichè, Dawn and Evolution of Cardiac Procedures, p. 56, 2012 (en) [15]
  • Mary Gillett, The Army Medical Department 1917 - 1941, p. 274 - 275, 2009 (en) [23]
  • The Medical Department of the U. S. Army in the World War, tome V, Military Hospitals in the United States, p. 817, 1923 (en) [24]
  • Peter Weber, A U. S. Army Medical Base in World War I France, p. 47 - 49 (en) [25]
  • Patrick Berche, Une histoire de microbes, p. 118, 2007 [lire en ligne] (consluté le 11 avril 2024)
  • Carrel discutait les sujets dans ce livre avec ses amis du Century Club, dont Frederic René Coudert (en), avocat international, Cornelius Clifford, prêtre et chercheur de philosophie médiévale, Boris Bakhmeteff, ambassadeur du gouvernement provisoire de la Russie aux États-Unis, Fonds Alexis Carrel Inventaire, établi par Catherine Rancon en août 2012 [lire en ligne] p.7-8. Ce qui fit la dédicace de son livre à ces trois amis : « Il a été écrit, non dans la paix de la campagne, mais dans la confusion, le bruit et la fatigue de New York. Son auteur a été entraîné à cet effort par ses amis, philosophes, savants, juristes, économistes, hommes de grandes affaires, avec lesquels il cause depuis des années des graves problèmes de notre temps » (Carrel, 1935, préface p. vi). Le père Clifford et Bakhmeteff étaient enseignants de l'université Columbia tandis que ce cercle étroit était, à New York, surnommé les philosophes, Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [30]. Dans les années 1930 outre-Atlantique, le sujet n'était pas encore un tabou, Docteur Jean-Claude Debongnie, Alexis Carrel : une étoile aux talents multiples, nobelisée, une fin en trou noir éthique, revue Louvain médical, juillet 2019 [31]. Le public américain accueillit ainsi ce livre avec enthousiasme. En 1936, le Man, the Unknown fut le livre le plus vendu aux États-Unis, dans la catégorie de non-fiction, The New York Times Almanac 2002, p. 919 (en) [32]
  • Jean Cottraux, La Répétition des scénarios de vie, p. 53, 2001 [34]
  • Marcel Launay, Pie XI, p. 88 - 90, 2018 [37]
  • Alain Drouard (Centre national de la recherche scientifique), Cahier pour l'histoire du CNRS : 1939 - 1989, tome IX, p. 155, [42]
  • Alain Drouard, Une Inconnue des sciences sociales : La Fondation Alexis Carrel, 1941 - 1945, p. 507, 1992 [44]
  • Tels ceux évoqués par Jean Calvet, recteur de l'Institut catholique de Paris, écrit dans Journal de Jean Calvet (ecclésiastique), le 5 novembre 1944 [lire en ligne].
  • A. Scott Berg, Lindbergh, p. 413, 2013 (en) [49]
  • Henriette Delaye-Didier-Delore, Alexis Carrel, humaniste chrétien, p. 115, 1963 [50]
  • A. Scott Berg, Lindbergh, p. 472, 2013 (en) [51]
  • Alain Drouard, Une inconnue des sciences sociales: la Fondation Alexis Carrel, 1941-1945, Ed. des Sciences de l'Homme, (lire en ligne), p. 481.
  • Henriette Delaye-Didier-Delorme, Alexis Carrel - humaniste chrétien - Prix Nobel 1912, p. 45 - 46, 1963 [52]
  • Jean-Noël Fabiani, Ces histoires insolites qui ont fait la médecine, p. 84, 2012 [55]
  • Helen Horowitz, The Power and Passion of M. Carey Thomas, p. 364, 1999 (en) [57]
  • James Pittman, Tinsley Harrison, M.D., p. 262, 2013 (en) [60]
  • Fred Alberts, Geographic Names of the Antarctic, p. 120, 1995 (en) [71]
  • Union astronomique internationale, Transactions of the International Astronomical Union, tome XVIIB, p. 286, 1979 (en) [72]

jamanetwork.com

  • Medical News, rubrique Californie, le 25 janvier 1936 (en) [35]

jnj.com

jnj.com

  • Margaret Gurowitz (historien de l'entreprise Johnson & Johnson), Making the Revolutionary New Carrel-Dakin Wound Treatment Available to Save Soldier's Lives During World War, 2013 (en) [18] ; Johnson & Johnson, How Johnson & Johnson Helped Reshape Medical Care After World War I, 2016 (en) [19]

ourstory.jnj.com

jstor.org

  • Perrin Selcer, Standardizing Wounds : Alexis Carrel and the Scientific Management of Life in the First World War, The British Journal for the History of Science, tome 41-1, p. 73 - 107, 2008 ; compte-rendu (en) [21] 2007
  • Albert H. Ebeling, Dr. Carrel's Immoral Chicken Heart : Present, Authentic Facts about This Oft-Falsified Scientific Celebrity, dans la revue Scientific Research, tome 166-1, janvier 1942, p. 22 (en) [27] (avec photographie du tissu du muscle cardiaque d'un poulet auprès de Rockefeller)

karger.com

  • Heinrich Taegtmayer, Richard J. Bing, MD, 2021 (en) [59]

kilmerhouse.com

  • Margaret Gurowitz (historien de l'entreprise Johnson & Johnson), Making the Revolutionary New Carrel-Dakin Wound Treatment Available to Save Soldier's Lives During World War, 2013 (en) [18] ; Johnson & Johnson, How Johnson & Johnson Helped Reshape Medical Care After World War I, 2016 (en) [19]

lapresse.ca

  • Marissa Groguhé, « Alexis Carrel effacé de Montréal », La Presse,‎ (lire en ligne).

leparisien.fr

  • M. C., « La rue Alexis-Carrel sera débaptisée », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).

lepopulaire.fr

  • Jean-François Julien, « Et si on donnait un nom à l’université de Limoges ? [sondage] », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).

leprogres.fr

liberation.fr

loc.gov

louvainmedical.be

  • Carrel discutait les sujets dans ce livre avec ses amis du Century Club, dont Frederic René Coudert (en), avocat international, Cornelius Clifford, prêtre et chercheur de philosophie médiévale, Boris Bakhmeteff, ambassadeur du gouvernement provisoire de la Russie aux États-Unis, Fonds Alexis Carrel Inventaire, établi par Catherine Rancon en août 2012 [lire en ligne] p.7-8. Ce qui fit la dédicace de son livre à ces trois amis : « Il a été écrit, non dans la paix de la campagne, mais dans la confusion, le bruit et la fatigue de New York. Son auteur a été entraîné à cet effort par ses amis, philosophes, savants, juristes, économistes, hommes de grandes affaires, avec lesquels il cause depuis des années des graves problèmes de notre temps » (Carrel, 1935, préface p. vi). Le père Clifford et Bakhmeteff étaient enseignants de l'université Columbia tandis que ce cercle étroit était, à New York, surnommé les philosophes, Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [30]. Dans les années 1930 outre-Atlantique, le sujet n'était pas encore un tabou, Docteur Jean-Claude Debongnie, Alexis Carrel : une étoile aux talents multiples, nobelisée, une fin en trou noir éthique, revue Louvain médical, juillet 2019 [31]. Le public américain accueillit ainsi ce livre avec enthousiasme. En 1936, le Man, the Unknown fut le livre le plus vendu aux États-Unis, dans la catégorie de non-fiction, The New York Times Almanac 2002, p. 919 (en) [32]

marsactu.fr

mrap.fr

nature.com

  • Nature (revue), The British Medical Association at Bradford, p. 178, le 2 août 1924 (en) [14]

nih.gov

ncbi.nlm.nih.gov

  • Revue Canadian Medical Association Journal, tome 131-9, p. 1142, The Genius of Alexis Carrel, le 1er novembre 1984 (en) [10]
  • Robert M. Sade (université médicale de la Caroline du Sud), A Surprising Alliance : Two Giants of the 20th Century, US National Library of Medecine, 2017 (en) [12]
  • Duncan Wilson, The Early History of Tissue Culture in Britain, 2005 (en) [26]
  • J. A. Witkowski, Alexis Carrel and The Mysticism of Tissue Culture, dans la revue Medical History, tome 23, p. 279 - 276 (en) [28] (photographie prise en 1938 dans le laboratoire de Carrel de Rochkefeller à New York) entre les pages 280 et 281

nobelprize.org

numilog.com

excerpts.numilog.com

nytimes.com

  • New York Times, Institute retiring 5 Noted Scientists ; Carrel in Group Affected by Rockfeller Age Ruling, le 14 avril 1939 (en) [39]
  • New York Times, Dr. Alexis Carrel to Retire Next Year ; His Research at Rockefeller Institute to End Then, He Says, le 9 juin 1938 (en) [40]
  • New York Times, Dr. Carrel Warns French Of Plight if They Lose, le 7 décembre 1939, p. 11 (en) [43]
  • New York Times, Mobile Hospital to Aid War Victims ; American Volunteer Ambulance Corps Designs Unit That Can Be Set Up in 3 Hours ; Carrel Heads Assembly 26 Trucks, Trailers to Carry Equipement, le 28 juillet 1940 (en) [46]
  • New York Times, French Health Chief Dismisses Dr. Carrel, le 29 août 1944 (en) [48]
  • (en) « Dr. Carrel Denies He Aided Germans », New York Times,‎ (lire en ligne).
  • New York Times, le 4 mai 1948 (en) [58]
  • New York Times, Convocation gives Degree to Carrel, le 16 octobre 1937(en) [69] ; il s'agissait de l' University of the State of New York à Albany (New York) ; il ne faut pas confondre avec l'université d'État de New York (State University of New York) à New York, un autre établissement.
  • New York Times, Dr. Carrel is Chosen for Newman Award ; New York Scientist Will Be Honored at Ceremony at University of Illinois, le 13 février 1937 (en) [70]

openedition.org

journals.openedition.org

  • Carrel discutait les sujets dans ce livre avec ses amis du Century Club, dont Frederic René Coudert (en), avocat international, Cornelius Clifford, prêtre et chercheur de philosophie médiévale, Boris Bakhmeteff, ambassadeur du gouvernement provisoire de la Russie aux États-Unis, Fonds Alexis Carrel Inventaire, établi par Catherine Rancon en août 2012 [lire en ligne] p.7-8. Ce qui fit la dédicace de son livre à ces trois amis : « Il a été écrit, non dans la paix de la campagne, mais dans la confusion, le bruit et la fatigue de New York. Son auteur a été entraîné à cet effort par ses amis, philosophes, savants, juristes, économistes, hommes de grandes affaires, avec lesquels il cause depuis des années des graves problèmes de notre temps » (Carrel, 1935, préface p. vi). Le père Clifford et Bakhmeteff étaient enseignants de l'université Columbia tandis que ce cercle étroit était, à New York, surnommé les philosophes, Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [30]. Dans les années 1930 outre-Atlantique, le sujet n'était pas encore un tabou, Docteur Jean-Claude Debongnie, Alexis Carrel : une étoile aux talents multiples, nobelisée, une fin en trou noir éthique, revue Louvain médical, juillet 2019 [31]. Le public américain accueillit ainsi ce livre avec enthousiasme. En 1936, le Man, the Unknown fut le livre le plus vendu aux États-Unis, dans la catégorie de non-fiction, The New York Times Almanac 2002, p. 919 (en) [32]
  • Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [56]

ouest-france.fr

parisdescartes.fr

biusante.parisdescartes.fr

  • G. Arnulf, Documents inédits sur le comportement du Dr Alexis Carrel en France pendant la guerre 1939 - 1945, Bibliothèque d'université de Paris, p. 265 et 266, 1985 [47]

pas.va

persee.fr

  • Georgette Mottier, L'ambulance du Dr Alexis Carrel; 1914 - 1919, 1977 ; compte-rendu de Pierre Huard (1978) [17]
  • Roland Pfefferkorn, « Fantasmes eugénistes d’hier et d’aujourd’hui », Chimères. Revue des schizoanalyses, vol. 28, no 1,‎ , p. 111–133 (DOI 10.3406/chime.1996.2086, lire en ligne, consulté le ).
  • Laurent Baridon, « Le Modulor de Le Corbusier : les ambiguïtés de l’avant-garde », Interfaces. Image-Texte-Langage, vol. 14,‎ , p. 159-176 (lire en ligne, consulté le ).

princeton.edu

library.princeton.edu

qub.ac.uk

radio-canada.ca

m.radio-canada.ca

rockefeller.edu

digitalcommons.rockefeller.edu

  • Université Rockefeller, Dark Operation Clothes [photo en ligne] ; Carrel's Laboratory [photo en ligne] 1923
  • Université Rockefeller, Alexis Carrel and King Leopold III of Belgium, 2006 [63](photo)

sagepub.com

journals.sagepub.com

  • Journal of Medical Biography, compte-rendu de Charles T. Ambrose A Letter from Alexis Carrel concerning the Preantibiotic Treatment of War Wound, (en) [22]

si.edu

npg.si.edu

  • National Portrait Gallery, Charles Lindbergh and Alexis Carrel (en) [29]

time.com

content.time.com

universalis.fr

  • « ALEXIS CARREL », dans Encyclopædia Universalis (lire en ligne) (consulté le ).

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • Carrel discutait les sujets dans ce livre avec ses amis du Century Club, dont Frederic René Coudert (en), avocat international, Cornelius Clifford, prêtre et chercheur de philosophie médiévale, Boris Bakhmeteff, ambassadeur du gouvernement provisoire de la Russie aux États-Unis, Fonds Alexis Carrel Inventaire, établi par Catherine Rancon en août 2012 [lire en ligne] p.7-8. Ce qui fit la dédicace de son livre à ces trois amis : « Il a été écrit, non dans la paix de la campagne, mais dans la confusion, le bruit et la fatigue de New York. Son auteur a été entraîné à cet effort par ses amis, philosophes, savants, juristes, économistes, hommes de grandes affaires, avec lesquels il cause depuis des années des graves problèmes de notre temps » (Carrel, 1935, préface p. vi). Le père Clifford et Bakhmeteff étaient enseignants de l'université Columbia tandis que ce cercle étroit était, à New York, surnommé les philosophes, Étienne Lepicard, La biomédecine à la croisée de la littérature et de l'histoire, résumé de l'École pratique des hautes études, 2008 [30]. Dans les années 1930 outre-Atlantique, le sujet n'était pas encore un tabou, Docteur Jean-Claude Debongnie, Alexis Carrel : une étoile aux talents multiples, nobelisée, une fin en trou noir éthique, revue Louvain médical, juillet 2019 [31]. Le public américain accueillit ainsi ce livre avec enthousiasme. En 1936, le Man, the Unknown fut le livre le plus vendu aux États-Unis, dans la catégorie de non-fiction, The New York Times Almanac 2002, p. 919 (en) [32]