Angelus Silesius (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Angelus Silesius" in French language version.

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actes-sud.fr

akadem.org

amazon.fr

  • Voir ici la quatrième de couverture des textes d'Angelus Silesius réunis et présenté par Érik Sablé sous le titre : « Dieu est un éternel présent », sur Amazon, (consulté le ).
  • Le « principe de raison suffisante » a été formulé philosophiquement pour la première fois par Leibniz puis critiqué par Schopenhauer. Mais ses prémices remontent à l'antiquité, jusqu'à Parménide via Thomas d'Aquin et Aristote. Lire notamment la quatrième de couverture de cet ouvrage, reprise ici : Martin Heidegger, « Le principe de raison », sur Amazon, (consulté le ).
  • On pourra voir en ligne la couverture de cette édition ici : (ASIN B01CMEEL06), Angelus Silesius, traduit et présenté par Roger Munier, L'errant chérubinique, Planète, coll. « L'expérience intérieure », , 216 p..

archive.is

archive.org

  • (en) Edwin Francis Hatfield, The Poets of the Church : A series of biographical sketches of hymn-writers with notes on their hymns, New York, Anson D.F. Randolph & Co., , 719 p. (OCLC 752643160, lire en ligne), p. 530.
  • (de) Georg Ellinger, Angelus Silesius : ein Lebensbild [« Angelus Silesius, une image de la vie »], Breslau, W.G. Korn, , xii-260 (OCLC 836087506, lire en ligne).
  • (en) Edwin Francis Hatfield, The Poets of the Church : a series of biographical sketches of hymn-writers with notes on their hymns [« Les poètes de l'Église : une série de notices biographiques d'auteurs de cantiques avec des notes sur leurs cantiques. »], New York: Anson D.F. Randolph & Co., 1884 (lire en ligne), p. 530.
  • Ludovici Dutens (éditeur) Gothofredi Guillelmi Leibnitii Opera Omnia (« Gottfried Wilhelm Leibniz, œuvres complètes »), 6 volumes, Genève : s.n., 1768 ; réimprimé à Hildesheim par Georg Olms en 1989, VI:56.
  • (la) Jean-Jacques Boissard, « Icones qvinqvaginta virorvm illustrium, doctrina & eruditione praestantium » [« Images de cinquante hommes illustres, avec présentation de leur doctrine et de leur apport au savoir »], sur Internet Archive, (consulté le ), p. 104.
  • Stéphane Mallarmé, Divagations : Crise de vers, Paris, Eugène Fasquelle, coll. « Bibliothèque-Charpentier », , 377 (391) (lire en ligne), p. 251 (263). À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Divagations », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 251 (263).
  • Stéphane Mallarmé, Poésies : Édition complète, Paris, Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1914 (8e éd.), 172 p. (lire en ligne), p. 28-29. À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Poésies », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 28-29.
  • Stéphane Mallarmé, Poésies : Édition complète, Paris, Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1914 (8e éd.), 172 p. (lire en ligne), p. 62. À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Poésies », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 62.

artgitato.com

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  • Marcel Neusch, « Augustin maître spirituel : un chemin de vie spirituelle en sept étapes », revue "Itinéraires Augustiniens", no 38,‎ (lire en ligne, consulté le ), sur le site des Augustins de l'Assomption.

beic.it

gutenberg.beic.it

bertrand-renouvin.fr

  • Catherine Portevin, « La morale du refus : recension de L'esprit de résistance. Textes inédits, 1943-1983, de Vladimir Jankélévitch, chez Albin Michel », Philosophie Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ). Sur ce sujet du refus catégorique de la culture allemande par Jankélévitch, on pourra lire aussi : Bertrand Renouvin, « Vladimir Jankélévitch : L’esprit de résistance », . Et : Françoise Schwab, « Vladimir Jankélévitch. Les paradoxes d'une éthique résistante », Revue d'éthique et de théologie morale, 2009/2 (n°254),‎ , pages 27 à 50 (lire en ligne). Et enfin : Thomas Keller, « La résistance et après, le monoculturalisme de l'autre : rendez-vous manqués entre Wiard Raveling, Vladimir Jankélévitch et Jacques Derrida », revue "Cités" n°70 : Jankélévitch, morale et politique,‎ , début de l'article (lire en ligne).

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catalogue.bnf.fr

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  • Arsène Houssaye, Histoire du quarante-et-unième fauteuil de l’Académie Française. Préface, Librairie de L. Hachette et Cie, , 420 p. (lire en ligne), pages 30 à 32. Page de titre : [1].
  • Arsène Houssaye, Histoire du quarante-et-unième fauteuil de l’Académie française, Librairie de L. Hachette et Cie, , 420 p. (lire en ligne), page 78. Page de titre : [2].

books.google.com

  • Voir l'article extrait de la British & Foreign Evangelical Review, largement inspiré de l'ouvrage du Dr August Kahlert Angelus Silesius, Ein literar-historiche Untersuchung (Breslau, s.n., 1853) : (en) Hugh Sinclair Paterson et Joseph Samuel Exell, The British & Foreign Evangelical Review, volume XIX, issue LXXIV, contribution : Angelus Silesius, Physician, Priest and Poet [« La Revue évangélique de Grande-Bretagne et du reste du monde, volume XIX, chapitre LXXIV, article : Angelus Silesius, médecin, prêtre et poète »], édité par James Nisbet & Co (Londres), , 876 p. (The British & Foreign Evangelical Review. sur Google Livres), p. 682–700.
  • (en) John D. Caputo, A Verse from Angelus Silesius : The Mystical Element in Heidegger's Thought [« Un vers d’Angelus Silesius, ou L’élément mystique dans la pensée de Heidegger »], New York, Ohio University Press, (réimpr. 1986 par Fordham University Press), xxvi-292 (ISBN 0-8232-1153-3, OCLC 988730013, lire en ligne), p. 60–66.

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  • Louis Lavelle, « Philosophie et poésie », dans Chroniques philosophiques : science, esthétique, métaphysique, Albin Michel, 1967, p. 162, dans Revue philosophique de la France et de l'étranger, 2012/1 (tome 137), p. 15-28 : François Chenet, « Métaphysique et poésie : une admirable concordia discors ? », sur cairn.info, (consulté le ).
  • Voir à ce sujet l'étude sur Marcel Conche et ce qu'il appelle « la confrontation entre créativité et sagesse », publiée dans la même Revue philosophique de la France et de l'étranger, 2004/1 (tome 129), p. 27-38, et accessible : Santo Alessandro Arcoleo, « Poésie et philosophie : Marcel Conche interprète de l'Iliade d'Homère », sur cairn.info, (consulté le ).
  • Eric Mangin, « Maître Eckhart et l'expérience du détachement : dire l'intime indicible », revue Étvdes tome 411,‎ , pp. 65 à 76 (lire en ligne, consulté le ), sur le site cairn.info
  • Voir au sujet de la kénose les articles suivants : Marc Vial, « Dieu jusque dans le néant : sur la kénose », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, 2015/5-3 (mis en ligne sur le site persée.fr),‎ , p. 339-357 (lire en ligne, consulté le ). Et aussi : Guy Jobin, « Quand la faiblesse est donné : kénose et participation au temps du nihilisme », Études théologiques et religieuses, 2010/3, Tome 85 (mis en ligne sur le site cairn.info),‎ , p. 323-346 (lire en ligne, consulté le )
  • Alex Galland, « Bouddhisme et christianisme chez Masao Abe dans la perspective du « pur amour », thèse de doctorat, Université de Lorraine, 2013 », sur Hal archives-ouvertes.fr, (consulté le ), p. 22 à 112. Thèse publiée : Alex Galland, Bouddhisme et christianisme chez Masao Abe, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Mythes, imaginaires, religions », , 195 p. (ISBN 978-2-7574-1140-7 et 2-7574-1140-3). Dont recension : Mira Niculescu, « Archives de sciences sociales des religions, 2018/4 (no 184) », sur Cairn.info, (consulté le ), p. 287 à 289.
  • Beda Allemann, traduction par Philippe Préaux, « Rilke et Mallarmé : Développement d’une question fondamentale de la poétique symboliste », Po&sie (no 126),‎ , p. 96 à 111 (lire en ligne, consulté le ).
  • Catherine Portevin, « La morale du refus : recension de L'esprit de résistance. Textes inédits, 1943-1983, de Vladimir Jankélévitch, chez Albin Michel », Philosophie Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ). Sur ce sujet du refus catégorique de la culture allemande par Jankélévitch, on pourra lire aussi : Bertrand Renouvin, « Vladimir Jankélévitch : L’esprit de résistance », . Et : Françoise Schwab, « Vladimir Jankélévitch. Les paradoxes d'une éthique résistante », Revue d'éthique et de théologie morale, 2009/2 (n°254),‎ , pages 27 à 50 (lire en ligne). Et enfin : Thomas Keller, « La résistance et après, le monoculturalisme de l'autre : rendez-vous manqués entre Wiard Raveling, Vladimir Jankélévitch et Jacques Derrida », revue "Cités" n°70 : Jankélévitch, morale et politique,‎ , début de l'article (lire en ligne).
  • François Amanecer, « Psaume, de Paul Celan – ou le déni du Nom ? », Po&sie no 116,‎ , p. 43–48 (lire en ligne, consulté le ).
  • D’après Petra Kiedaisch, Lyrik nach Auschwitz ? Adorno und die Dichter (« Lyrisme après Auschwitz ? Adorno et les poètes »), Stuttgart, Reclam, 1995, p. 73, citée par Johann Sonnleitner dans : « Poésie après Auschwitz : le cas Ilse Aichinger », Revue d’Histoire de la Shoah (no 201),‎ , p. 571 (lire en ligne, consulté le ).
  • (de) Günther Bonheim (trad. Tentative de montrer qu'Adorno avait raison lorsqu'il affirmait qu'après Auschwitz, aucun poème ne pouvait être écrit), Versuch zu zeigen, dass Adorno mit seiner Behauptung, nach Auschwitz lasse sich kein Gedicht mehr schreiben, recht hatte, Wurtzbourg, Königshausen & Neumann, , 121 p. (ISBN 3-8260-2327-7 et 978-3826023279, lire en ligne), p. 11.
  • Theodor W. Adorno (trad. Marc Jimenez et Éliane Kaufholz), Modèles critiques, Paris, Payot, , « Les fameuses Années Vingt p. 51-59 », p. 59. Cité dans : « Quelle poésie après Auschwitz ? Paul Celan, l'expérience du vrai trou », (consulté le ).
  • Theodor W. Adorno (trad. de l'allemand par Gérard Coffin, Joëlle Masson, Olivier Masson, Alain Renault et Dagmar Troussen : Groupe de traduction du Collège de philosophie), Dialectique négative, Paris, Payot, coll. « Petite bibliothèque Payot (poche) », , 544 p. (ISBN 2-228-89775-2 et 978-2228897754, lire en ligne), pp. 439 et 446.
  • Johann Sonnleitner, traduit de l’allemand par Olivier Mannoni, « Poésie après Auschwitz : le cas Ilse Aichinger », Revue d’Histoire de la Shoah, 2014/2 (no 201),‎ , pages 571 à 582 (lire en ligne, consulté le ), sur le site Cairn.info.
  • Theodor W. Adorno (trad. de l'allemand par Gérard Coffin, Joëlle Masson, Olivier Masson, Alain Renault et Dagmar Troussen : Groupe de traduction du Collège de philosophie), Dialectique négative : les Vacances de la dialectique, Paris, Payot, , 544 p. (ISBN 2-228-89775-2 et 978-2228897754, lire en ligne), p. 444.
  • Michel Bousseyroux, « Quelle poésie après Auschwitz ? : Paul Celan, l'expérience du vrai trou », L'en-je lacanien 2010/1 (no 14),‎ , pages 55 à 75 (lire en ligne, consulté le ).
  • (en) Aliénor Bertrand, « Penser comme une plante : perspectives sur l'écologie comportementale et la nature cognitive des plantes », Cahiers philosophiques (2018/2, no 153),‎ , pp. 39 à 41 (lire en ligne, consulté le ). Cet article est suivi d'une contribution, sous le même titre et le même chapeau introductif, de Monica Gagliano (trad. Hicham-Stéphane Afeissa), « Penser comme une plante », sur cairn.info, , pp. 42 à 54. Voici notre traduction du résumé de ces articles : « Il est de plus en plus souvent reconnu que les plantes sont des organismes sensibles qui perçoivent, évaluent, apprennent, se souviennent, résolvent des problèmes, prennent des décisions et communiquent entre eux en acquérant activement des informations sur leur environnement. Toutefois, le fait que de nombreux exemples complexes de comportement sophistiqué des plantes présentent des aptitudes cognitives, généralement attribuées aux animaux humains et non humains, n'a pas été pleinement évalué. [Il s’agit donc d’abord de] montrer les obstacles théoriques qui ont pu empêcher l'expérimentation de tels phénomènes comportementaux / cognitifs chez les plantes ».

chants-protestants.com

cnrtl.fr

digitale-sammlungen.de

reader.digitale-sammlungen.de

editions-aire.ch

editionspoints.com

en-attendant-nadeau.fr

encrier87.fr

  • Ici sont regroupés des extraits de pages consacrées au dilemme de Celan par Steiner dans son livre : George Steiner, Grammaires de la Création, traduit par Pierre-Emmanuel Dauzat, Gallimard, coll. « nrf essais », , p. 241 sqq. Réédité en collection de poche : Grammaires de la Création (trad. de l'anglais), Paris, Folio, coll. « essais », , 464 p. (ISBN 978-2-07-035758-1 et 2-07-035758-9, lire en ligne). Dont, extraits de la quatrième de couverture, ces propos qui situent les enjeux plus généraux, aujourd'hui, de ce dilemme : « Ce tournant de siècle est marqué par une lassitude foncière. Ontologique, dirait-on : […] Il y a dans l'air comme un parfum d'adieux. Quel impact ces temps couverts ont-ils sur la grammaire — c'est-à-dire l'organisation articulée de la perception, de la réflexion et de l'expérience, la structure nerveuse de la conscience lorsqu'elle communique avec elle-même et les autres ? Que deviennent les temps verbaux qui organisent notre présence au monde quand les sciences humaines et les arts, désenchantés par la glose, ne croient plus possible la création, mais que les sciences sont, elles, saisies par l'ivresse de la découverte des commencements, possible dans les temps à venir ? Faut-il vraiment désormais que du futur la pensée et les arts fassent table rase ? Au crépuscule des utopies politiques, théologiques, philosophiques, qui n'appartiennent plus à notre syntaxe, George Steiner a écrit le premier in memoriam pour les temps futurs perdus. Du temps où la découverte des origines de la matière n'entendait pas encore tenir lieu de réflexion sur le néant, donc sur la création. »

eris-perrin.net

  • Claude Stéphane Perrin, « La rose est-elle sans pourquoi ? », sur Philosophie, by claude stéphane perrin, (consulté le ).
  • Ludwig Wittgenstein (trad. de l'allemand), De la certitude, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de philosophie », , 224 p. (ISBN 978-2-07-078088-4 et 2-07-078088-0), § 148. Elle a été reprise et commentée par Claude Stéphane Perrin : « La rose est-elle sans pourquoi ? », sur Philosophie, by claude stéphane perrin, (consulté le ).
  • Claude Stéphane Perrin, Philosophie et mysticisme : La rose de Silesius, Esternay, Eris-Perrin, , 48 p. (ISBN 978-2-9538384-7-3 et 2-9538384-7-3). On pourra lire en ligne, par son auteur lui-même, une présentation détaillée de ce livre, déjà citée, ici : « La rose est-elle sans pourquoi ? », sur Philosophie, by claude stéphane perrin, (consulté le ).

espacestemps.net

fondationrilke.ch

  • « Le Valais offre l’un des paysages les plus magnifiques qu’il m’ait été donné de voir ; il a, en outre, cette capacité extraordinaire d’offrir des équivalents multiples à notre vie intérieure. » (Rilke à Xaver von Moos, le ). À voir en ligne : « Œuvres écrites en Valais », sur Fondation Rilke (consulté le ).
  • En témoignent les lettres qu'il écrit à cette époque, à Gide par exemple, le  : « Ma surprise heureuse consistait à avoir pu recevoir tout cela, à avoir été assez jeune pour rendre mienne cette jeunesse verbale délicieusement offerte. Car vous ne pouvez pas vous imaginer, cher Gide, combien l’obéissance active à cette langue admirée m’a rajeuni. Chaque mot, en me permettant de l’employer à mon aise et selon ma vérité pratiquante, m’apportait je ne sais quelle primeur d’usage. ». Ou à Renée Favre, le  : « C’est très étonnant de se trouver, en invité « pratiquant » sur le sol d’une autre langue : que j’y étais jeune, il me semblait que tout recommence avec cet instrument nouveau et j’étais presque effrayé, mais d’une frayeur heureuse, de le sentir vibrer sous mon toucher timide, de plus en plus hardi. … J’ai toujours risqué quelques lettres…, mais de faire des vers dans cette langue si hautainement renfermée et si précise devant elle-même, et encore de permettre qu’on publiât ces vers : mon Dieu, quelle audace ! ». À voir en ligne : « Œuvres écrites en Valais : Écrire en français », sur Fondation Rilke (consulté le ).
  • (fr + en + de) « Rilke et le Valais », sur Fondation Rilke, (consulté le ).
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  • On trouvera cités de nombreux quatrains extraits du recueil des Roses de Rilke : « The Complete French Poems of Rainer Maria Rilke Quotes » [« Citations extraites du recueil complet des Poèmes Français de Rainer Maria Rilke »], sur good reads, (consulté le ). Et : Francis Richard, « "Les roses" de Rainer Maria Rilke », sur blog de Francis Richard Semper longius in officium et ardorem, (consulté le ). On trouvera d'autres poèmes écrits en français par Rilke : Rainer Maria Rilke, « Tendres impôts à la France », sur Artgitato, (consulté le ).

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  • Sur ce sujet de la spiritualité athée, voir L'Esprit de l'athéisme d'André Comte-Sponville : A. Comte-Sponville, L'Esprit de l'athéisme : introduction à une spiritualité sans dieu, Le Livre de Poche (première édition en 1970 chez Albin Michel), , 224 p. (ISBN 978-2253124665 et 2253124664). Voir aussi ce livre audio en 3 CD : A. Comte-Sponville, « Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? », sur le site de l'éditeur, Frémeaux & Associés (n° cat. : FA5193), (consulté le ). Voir encore cet article du même auteur, qui relie le mystère de l'être à la spiritualité par le « sentiment océanique » de Romain Rolland : A. Comte-Sponville, « Ce qu'on ne comprend pas : le mystère de l'être », Le Monde des Religions, no 78, juillet-août 2016, dossier « Dieu, le cosmos et la science »,‎ , page 55 (lire en ligne). Ainsi que cet entretien : Isabelle Taubes, « André Comte-Sponville : Les athées n’ont pas moins d’esprit que les autres », sur psychologies.com, (consulté le ). Sur le thème de l'évanescence de Dieu et son "absoluité" dans le mysticisme, on pourra consulter le livre de Jacques Le Brun : Dieu, un pur rien (référencé ici en bibliographie).

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  • On trouvera cités de nombreux quatrains extraits du recueil des Roses de Rilke : « The Complete French Poems of Rainer Maria Rilke Quotes » [« Citations extraites du recueil complet des Poèmes Français de Rainer Maria Rilke »], sur good reads, (consulté le ). Et : Francis Richard, « "Les roses" de Rainer Maria Rilke », sur blog de Francis Richard Semper longius in officium et ardorem, (consulté le ). On trouvera d'autres poèmes écrits en français par Rilke : Rainer Maria Rilke, « Tendres impôts à la France », sur Artgitato, (consulté le ).

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books.google.fr

  • Traductions des titres, rappel biographique et un bref commentaire des deux œuvres à l'entrée « Angelus Silesius », dans : Sylvie Parizet (dir.) et Rosmarie Zeller, La Bible dans les littératures du monde, Paris, Éditions du Cerf, , 2340 p. (ISBN 978-2-204-11388-5, OCLC 962378354, BNF 45151602, lire en ligne), p. 406.
  • (la + fr) texte établi, traduit et annoté par le P. Lallemant (1660-1748), Le Nouveau Testament de N. S. Jésus Christ, texte de la Vulgate, Imprimerie de J.-G. Lardinois éditeur (Liège), , 550 p. (lire en ligne), p. 131.
  • Louis-George Tin, Séquence Bac Français : Les genres et les mouvements littéraires, les auteurs et les oeuvres, Rosny-sous-Bois, Les Éditions Bréal, , 368 p. (ISBN 978-2-7495-0829-0, lire en ligne), p. 252. On trouvera le même passage cité sur le site suivant : « Stéphane Mallarmé », sur Keep School (consulté le ).
  • La phrase exacte de Kafka est la suivante : « Impossible de ne pas écrire, impossible d’écrire en allemand, impossible d’écrire autrement ». Elle est citée ici : Roger-Pol Droit, La Compagnie des philosophes, Paris, Odile Jacob, coll. « Science Humaine », , 345 p. (ISBN 2-7381-0531-9 et 978-2738105318, lire en ligne), page 304.
  • Catherine Portevin, « La morale du refus : recension de L'esprit de résistance. Textes inédits, 1943-1983, de Vladimir Jankélévitch, chez Albin Michel », Philosophie Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ). Sur ce sujet du refus catégorique de la culture allemande par Jankélévitch, on pourra lire aussi : Bertrand Renouvin, « Vladimir Jankélévitch : L’esprit de résistance », . Et : Françoise Schwab, « Vladimir Jankélévitch. Les paradoxes d'une éthique résistante », Revue d'éthique et de théologie morale, 2009/2 (n°254),‎ , pages 27 à 50 (lire en ligne). Et enfin : Thomas Keller, « La résistance et après, le monoculturalisme de l'autre : rendez-vous manqués entre Wiard Raveling, Vladimir Jankélévitch et Jacques Derrida », revue "Cités" n°70 : Jankélévitch, morale et politique,‎ , début de l'article (lire en ligne).

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  • On trouvera une étude psychanalytique jungienne de ce dernier poème, dans un article paru d'abord dans les Cahiers jungiens de psychanalyse de novembre 2015, no 142 (Question de Cadre) [www.cahiers-jungiens.com], et repris en ligne : Flore Delapalme, « La rose jaune et la petite couronne d’immortelles », sur Itinéraires, (consulté le ).

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  • Louis-George Tin, Séquence Bac Français : Les genres et les mouvements littéraires, les auteurs et les oeuvres, Rosny-sous-Bois, Les Éditions Bréal, , 368 p. (ISBN 978-2-7495-0829-0, lire en ligne), p. 252. On trouvera le même passage cité sur le site suivant : « Stéphane Mallarmé », sur Keep School (consulté le ).

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  • Juliette Demey, « Stefano Mancuso, fondateur de la neurobiologie végétale : "Ecoutons les leçons des plantes" », Le Journal du Dimanche,‎ (lire en ligne, consulté le ).

lemonde.fr

dicocitations.lemonde.fr

  • Pour ce deuxième quatrain, certaines sources, rares, rapportent l'adjectif "absente" à "autres roses" et le mettent donc au pluriel : « et survivre à cette sœur / en d'autres roses absentes ». Ceci suggère alors que ces roses sont absentes (malgré leur présence où le poète tente de survivre à la disparition de "cette sœur"), "absentes" comme ces roses terrestres qui n'arrivaient pas à faire oublier, au Petit Prince de Saint-Exupéry, SA rose unique, celle qui résidait au fond de son cœur. C'est le cas notamment du site de citations en ligne proposées par le journal Le Monde : Rainer Maria Rilke / Frédéric Jézégou, « Été : être pour quelques jours - Le contemporain des roses - (avec Dico-Citations) », sur lemonde.fr (consulté le ). Mais la plupart des sources laissent cet adjectif au singulier, ce qui a pour effet de le rapporter, bien que postposé, à "cette sœur" : « et survivre à cette sœur / [absente] en d'autres roses ». Or l'orthographe fait particulièrement sens ici : cela change le sens du tout au tout, et le tire du côté du deuil infaisable d'un être unique qu'on ne saurait retrouver en tous ceux qui lui ressemblent, sans déprécier pour autant ces autres êtres, uniques eux aussi (ce dont doute pour lui, finalement, le Petit Prince). Les deux options sont intéressantes, mais pour notre part, nous choisissons cette deuxième option, parce qu'elle est plus fréquente sur la toile, et qu'elle s'accorde mieux avec l'univers de Rilke. On se souvient d'ailleurs (voir plus haut) que Rilke avait répondu à la fleur « absente de tous bouquets » de Mallarmé que « les fleurs ne sauraient être absentes […] ». Nous avons donc fait notre choix, tout lecteur doit faire le sien. Mais il faudrait vérifier toutes les éditions officielles de ce poème — voire le manuscrit même de Rilke, s'il est accessible — pour trancher la question de savoir ce que Rilke, lui, voulait dire. Il possédait tellement bien la langue française, et était tellement attentif à la précision de son expression poétique (comme Mallarmé qu'il admirait), qu'il ne saurait être question pour lui, ici, d'avoir laissé subsister un flou "par inadvertance"…

lemondedesreligions.fr

  • Sur ce sujet de la spiritualité athée, voir L'Esprit de l'athéisme d'André Comte-Sponville : A. Comte-Sponville, L'Esprit de l'athéisme : introduction à une spiritualité sans dieu, Le Livre de Poche (première édition en 1970 chez Albin Michel), , 224 p. (ISBN 978-2253124665 et 2253124664). Voir aussi ce livre audio en 3 CD : A. Comte-Sponville, « Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? », sur le site de l'éditeur, Frémeaux & Associés (n° cat. : FA5193), (consulté le ). Voir encore cet article du même auteur, qui relie le mystère de l'être à la spiritualité par le « sentiment océanique » de Romain Rolland : A. Comte-Sponville, « Ce qu'on ne comprend pas : le mystère de l'être », Le Monde des Religions, no 78, juillet-août 2016, dossier « Dieu, le cosmos et la science »,‎ , page 55 (lire en ligne). Ainsi que cet entretien : Isabelle Taubes, « André Comte-Sponville : Les athées n’ont pas moins d’esprit que les autres », sur psychologies.com, (consulté le ). Sur le thème de l'évanescence de Dieu et son "absoluité" dans le mysticisme, on pourra consulter le livre de Jacques Le Brun : Dieu, un pur rien (référencé ici en bibliographie).

lerefletdelalune.blogspot.com

  • On trouvera un commentaire de ce poème, dans une interprétation d'orientation bouddhiste : « Le contemporain des roses », sur Le Reflet de la Lune, (consulté le ).

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  • Marc l'Évangéliste, « Ministère de Jean-Baptiste, 1.2 », sur Bible de Jérusalem, (consulté le ). Voir aussi les différentes versions dans le comparateur de traductions ici : « Marc 1.2 », sur Comparateur biblique (consulté le ).

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  • Sur le phénomène de « perte de conscience » des plantes par anesthésie, voir la recension de l’étude publiée dans la revue scientifique Annals of Botany : « Les plantes ont-elles une conscience ? », sur metro time.be, (consulté le ).

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  • Philippe Capelle-Dumont, « Penser le rien. Pour la métaphysique. À propos de Yannick Courtel, Essai sur le rien », Revue des Sciences Religieuses no 93, 1-2,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Paul-Augustin Deproost, « La quête augustinienne du sublime dans les Confessions : un parcours sur les chemins de l’intériorité », revue "Cahiers des études anciennes", no LVI (56) : Sublime et sublimation dans l'imaginaire gréco-romain,‎ (lire en ligne, consulté le )

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oyeborges.blogspot.com

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  • Voir au sujet de la kénose les articles suivants : Marc Vial, « Dieu jusque dans le néant : sur la kénose », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, 2015/5-3 (mis en ligne sur le site persée.fr),‎ , p. 339-357 (lire en ligne, consulté le ). Et aussi : Guy Jobin, « Quand la faiblesse est donné : kénose et participation au temps du nihilisme », Études théologiques et religieuses, 2010/3, Tome 85 (mis en ligne sur le site cairn.info),‎ , p. 323-346 (lire en ligne, consulté le )

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  • Catherine Portevin, « La morale du refus : recension de L'esprit de résistance. Textes inédits, 1943-1983, de Vladimir Jankélévitch, chez Albin Michel », Philosophie Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ). Sur ce sujet du refus catégorique de la culture allemande par Jankélévitch, on pourra lire aussi : Bertrand Renouvin, « Vladimir Jankélévitch : L’esprit de résistance », . Et : Françoise Schwab, « Vladimir Jankélévitch. Les paradoxes d'une éthique résistante », Revue d'éthique et de théologie morale, 2009/2 (n°254),‎ , pages 27 à 50 (lire en ligne). Et enfin : Thomas Keller, « La résistance et après, le monoculturalisme de l'autre : rendez-vous manqués entre Wiard Raveling, Vladimir Jankélévitch et Jacques Derrida », revue "Cités" n°70 : Jankélévitch, morale et politique,‎ , début de l'article (lire en ligne).

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psychologies.com

  • Sur ce sujet de la spiritualité athée, voir L'Esprit de l'athéisme d'André Comte-Sponville : A. Comte-Sponville, L'Esprit de l'athéisme : introduction à une spiritualité sans dieu, Le Livre de Poche (première édition en 1970 chez Albin Michel), , 224 p. (ISBN 978-2253124665 et 2253124664). Voir aussi ce livre audio en 3 CD : A. Comte-Sponville, « Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? », sur le site de l'éditeur, Frémeaux & Associés (n° cat. : FA5193), (consulté le ). Voir encore cet article du même auteur, qui relie le mystère de l'être à la spiritualité par le « sentiment océanique » de Romain Rolland : A. Comte-Sponville, « Ce qu'on ne comprend pas : le mystère de l'être », Le Monde des Religions, no 78, juillet-août 2016, dossier « Dieu, le cosmos et la science »,‎ , page 55 (lire en ligne). Ainsi que cet entretien : Isabelle Taubes, « André Comte-Sponville : Les athées n’ont pas moins d’esprit que les autres », sur psychologies.com, (consulté le ). Sur le thème de l'évanescence de Dieu et son "absoluité" dans le mysticisme, on pourra consulter le livre de Jacques Le Brun : Dieu, un pur rien (référencé ici en bibliographie).

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  • Notre traduction de : (es) “Jorge Luis Borges en SUR (1931-1980)”, « textes de Borges publiés dans la revue SUD », p. 123-124, cités en ligne ici : (es) Cristina Brackelmanns, « La rosa es sin porqué, florece porque florece » [« La rose est sans pourquoi, elle fleurit parce qu’elle fleurit »], sur sol y escudo, (consulté le ).

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  • Voir notamment : (en) František Baluška, Stefano Mancuso, Dieter Volkmann & Peter Barlow (trad. L'hypothèse du “cerveau-racine” de Charles et Francis Darwin : une renaissance après plus de 125 ans), « The “root-brain” hypothesis of Charles and Francis Darwin : revival after more than 125 years », Plant Signaling & Behavior - Volume 4, 2009 - Issue 12 (« Biosignalisation et comportement des plantes - Volume 4, 2009 - Numéro 12 »),‎ , pages 1121-1127 (lire en ligne, consulté le ).

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  • (en) « Angelus Silesius », sur Wikiquote en anglais (consulté le ).

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  • Notre traduction de : (en) « Angelus Silesius », dans Encyclopædia Britannica [détail de l’édition], (lire sur Wikisource)..
  • Charles Baudelaire, Œuvres posthumes 1908, p. 165 (Wikisource).
  • À Casandre, ODE XVII, « Mignonne, allons voir si la rose… » dans Pierre de Ronsard (1524–1585), Les Odes -Texte établi par Hugues Vaganay, Paris, Garnier, , 434 p. (lire en ligne), p. 75–76.
  • Stéphane Mallarmé, Divagations : Crise de vers, Paris, Eugène Fasquelle, coll. « Bibliothèque-Charpentier », , 377 (391) (lire en ligne), p. 251 (263). À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Divagations », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 251 (263).
  • Stéphane Mallarmé, Poésies : Édition complète, Paris, Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1914 (8e éd.), 172 p. (lire en ligne), p. 28-29. À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Poésies », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 28-29.
  • Stéphane Mallarmé, Poésies : Édition complète, Paris, Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1914 (8e éd.), 172 p. (lire en ligne), p. 62. À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Poésies », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 62.

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fr.wiktionary.org

  • Pour éclairer l'étrange négativité paradoxale de ce concept théologique, on pourra aussi consulter l'étymologie détaillée du mot, qu'on trouve avec sa définition dans le Wiktionnaire : kénose.

worldcat.org

  • Cette expression est délibérément empruntée au titre du livre de critique littéraire, philosophique et textuelle de Philippe Sollers : « L'écriture et l'expérience des limites », car Silesius partage avec les auteurs qui y sont étudiés par Sollers, par sa pratique de l'écriture, quoique pour des raisons bien différentes — dont son sujet absolu hors toutes normes (la nature et « l'expérience » de Dieu) —, les aspects transgressifs du code et du genre qu'ils mettent tous en œuvre, par leurs « textes limites, […] dont la lecture réelle serait susceptible de changer les conditions mêmes de notre pensée », soit Dante, Sade, Lautréamont, Mallarmé, Artaud et Bataille pour Sollers. Nous ajouterons donc : et Silesius… (Philippe Sollers, L'écriture et l'expérience des limites, Paris/61-Lonrai, Éditions du Seuil, coll. « Points essais », 1968, réédité en 2018, 192 p. (ISBN 978-2-7578-7375-5 et 2-7578-7375-X, présentation en ligne), et aussi : L'écriture et l'expérience des limites. Ces textes étaient parus initialement avec d'autres dans : Philippe Sollers, Logiques, Seuil, coll. « Tel Quel », , 300 p. (ISBN 2-02-001942-6, 978-2-02-001942-2 et 978-2-7578-4937-8, OCLC 299907771)).
  • Traductions des titres, rappel biographique et un bref commentaire des deux œuvres à l'entrée « Angelus Silesius », dans : Sylvie Parizet (dir.) et Rosmarie Zeller, La Bible dans les littératures du monde, Paris, Éditions du Cerf, , 2340 p. (ISBN 978-2-204-11388-5, OCLC 962378354, BNF 45151602, lire en ligne), p. 406.
  • (en) Edwin Francis Hatfield, The Poets of the Church : A series of biographical sketches of hymn-writers with notes on their hymns, New York, Anson D.F. Randolph & Co., , 719 p. (OCLC 752643160, lire en ligne), p. 530.
  • Notre traduction de : (en) Christopher Baker (dir., éd.), « Johann Scheffler (Angelus Silesius) », dans Absolutism and the Scientific Revolution, 1600–1720: A Biographical Dictionary [« L’Absolutisme et la Révolution scientifique de 1600 à 1720 : un dictionnaire biographique »], Wesport (Connecticut), Greenwood Press, coll. « The Great Cultural Eras of the Western World », , xxxiv-450 (ISBN 0-313-30827-6, OCLC 1123844240), p. 343.
  • (en) Max Reinhart (éd.), Early Modern German Literature 1350–1700, Rochester (New York), Camden House, coll. « Camden House History of German Literature » (no 4), , liii-1094 (ISBN 978-1-57113-247-5 et 1-57113-247-3, OCLC 954041342), p. 447.
  • (de) Georg Ellinger, Angelus Silesius : ein Lebensbild [« Angelus Silesius, une image de la vie »], Breslau, W.G. Korn, , xii-260 (OCLC 836087506, lire en ligne).
  • Pour le gnostique « connaissance de soi est connaissance de Dieu », selon Elaine Pagels (trad. de l'anglais par Tanguy Kenec'hdu), Les Évangiles secrets, Paris, Gallimard, (réimpr. 2006), 235 p. (ISBN 2-07-078168-2, OCLC 40057442, BNF 34731034), p. 171.
  • Edith Stein (trad. de l'allemand par Cécile Rastoin, introduction par Cécile Rastoin et Christof Betschart), « Postface : Les voies de la connaissance de Dieu (la théologie symbolique de Denys l'Aréopagite) », dans Science de la Croix [« Kreuzeswissenschaft ; Wege der Gotteserkenntnis »], Paris/Toulouse, Éditions du Cerf/Éd. du Carmel, , liv-493 (ISBN 978-2-204-10329-9, OCLC 897662887, BNF 44228318).
  • Voir aussi le livre qui est consacré à cette question : Dan Arbib, Descartes, la métaphysique et l'infini, Paris, PUF, coll. « Epiméthées », , 368 p. (ISBN 978-2-13-078630-6 et 2-13-078630-8, OCLC 989962424, BNF 45233220, présentation en ligne).
  • (en) John D. Caputo, A Verse from Angelus Silesius : The Mystical Element in Heidegger's Thought [« Un vers d’Angelus Silesius, ou L’élément mystique dans la pensée de Heidegger »], New York, Ohio University Press, (réimpr. 1986 par Fordham University Press), xxvi-292 (ISBN 0-8232-1153-3, OCLC 988730013, lire en ligne), p. 60–66.
  • (de) Martin Heidegger, Der Satz vom Grund [« Le principe de raison »], Stuttgart, Neske, 1957-1978, 8e éd., 211 p. (ISBN 978-3-7885-0009-2 et 3-7885-0009-3, OCLC 912314793), p. 68–69.
  • (fr + de) Paul Celan (trad. de l'allemand par Martine Broda), La rose de personne : Die Niemandsrose, Paris, Éditions José Corti, coll. « Littérature étrangère », 2002 (éd. revue et corrigée), 157 p. (ISBN 978-2-7143-0798-9 et 2-7143-0798-1, OCLC 742568707). Même traduction en édition de poche : La rose de personne, Seuil, coll. « Points Poésie » (no 1652), , 192 p. (ISBN 978-2-7578-0396-7 et 2-7578-0396-4).
  • Maurice Blanchot, L'Entretien infini, Gallimard, coll. « Blanche », (réimpr. 2016), xxvi-640 (ISBN 2-07-026826-8 et 978-2-07-026826-9, OCLC 1007835400), p. 503.

zeno.org

  • (de) Angelus Silesius, « Cherubinischer Wandersmann, Erstes Buch » [« Le Pélerin chérubinique, Premier livre, poème no 10 »], sur Zeno.org, meine bibliothek (consulté le ).