Voir ici la quatrième de couverture des textes d'Angelus Silesius réunis et présenté par Érik Sablé sous le titre : « Dieu est un éternel présent », sur Amazon, (consulté le ).
Le « principe de raison suffisante » a été formulé philosophiquement pour la première fois par Leibniz puis critiqué par Schopenhauer. Mais ses prémices remontent à l'antiquité, jusqu'à Parménide via Thomas d'Aquin et Aristote. Lire notamment la quatrième de couverture de cet ouvrage, reprise ici : Martin Heidegger, « Le principe de raison », sur Amazon, (consulté le ).
On pourra voir en ligne la couverture de cette édition ici : (ASINB01CMEEL06), Angelus Silesius, traduit et présenté par Roger Munier, L'errant chérubinique, Planète, coll. « L'expérience intérieure », , 216 p..
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Ludovici Dutens (éditeur) Gothofredi Guillelmi Leibnitii Opera Omnia (« Gottfried Wilhelm Leibniz, œuvres complètes »), 6 volumes, Genève : s.n., 1768 ; réimprimé à Hildesheim par Georg Olms en 1989, VI:56.
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Voir au sujet de la kénose les articles suivants : Marc Vial, « Dieu jusque dans le néant : sur la kénose », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, 2015/5-3 (mis en ligne sur le site persée.fr), , p. 339-357 (lire en ligne, consulté le ). Et aussi : Guy Jobin, « Quand la faiblesse est donné : kénose et participation au temps du nihilisme », Études théologiques et religieuses, 2010/3, Tome 85 (mis en ligne sur le site cairn.info), , p. 323-346 (lire en ligne, consulté le )
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Catherine Portevin, « La morale du refus : recension de L'esprit de résistance. Textes inédits, 1943-1983, de Vladimir Jankélévitch, chez Albin Michel », Philosophie Magazine, (lire en ligne, consulté le ). Sur ce sujet du refus catégorique de la culture allemande par Jankélévitch, on pourra lire aussi : Bertrand Renouvin, « Vladimir Jankélévitch : L’esprit de résistance », . Et : Françoise Schwab, « Vladimir Jankélévitch. Les paradoxes d'une éthique résistante », Revue d'éthique et de théologie morale, 2009/2 (n°254), , pages 27 à 50 (lire en ligne). Et enfin : Thomas Keller, « La résistance et après, le monoculturalisme de l'autre : rendez-vous manqués entre Wiard Raveling, Vladimir Jankélévitch et Jacques Derrida », revue "Cités" n°70 : Jankélévitch, morale et politique, , début de l'article (lire en ligne).
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D’après Petra Kiedaisch, Lyrik nach Auschwitz ? Adorno und die Dichter (« Lyrisme après Auschwitz ? Adorno et les poètes »), Stuttgart, Reclam, 1995, p. 73, citée par Johann Sonnleitner dans : « Poésie après Auschwitz : le cas Ilse Aichinger », Revue d’Histoire de la Shoah (no 201), , p. 571 (lire en ligne, consulté le ).
(de) Günther Bonheim (trad. Tentative de montrer qu'Adorno avait raison lorsqu'il affirmait qu'après Auschwitz, aucun poème ne pouvait être écrit), Versuch zu zeigen, dass Adorno mit seiner Behauptung, nach Auschwitz lasse sich kein Gedicht mehr schreiben, recht hatte, Wurtzbourg, Königshausen & Neumann, , 121 p. (ISBN3-8260-2327-7 et 978-3826023279, lire en ligne), p. 11.
Theodor W. Adorno (trad. de l'allemand par Gérard Coffin, Joëlle Masson, Olivier Masson, Alain Renault et Dagmar Troussen : Groupe de traduction du Collège de philosophie), Dialectique négative, Paris, Payot, coll. « Petite bibliothèque Payot (poche) », , 544 p. (ISBN2-228-89775-2 et 978-2228897754, lire en ligne), pp. 439 et 446.
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Theodor W. Adorno (trad. de l'allemand par Gérard Coffin, Joëlle Masson, Olivier Masson, Alain Renault et Dagmar Troussen : Groupe de traduction du Collège de philosophie), Dialectique négative : les Vacances de la dialectique, Paris, Payot, , 544 p. (ISBN2-228-89775-2 et 978-2228897754, lire en ligne), p. 444.
Michel Bousseyroux, « Quelle poésie après Auschwitz ? : Paul Celan, l'expérience du vrai trou », L'en-je lacanien 2010/1 (no 14), , pages 55 à 75 (lire en ligne, consulté le ).
(en) Aliénor Bertrand, « Penser comme une plante : perspectives sur l'écologie comportementale et la nature cognitive des plantes », Cahiers philosophiques (2018/2, no 153), , pp. 39 à 41 (lire en ligne, consulté le ). Cet article est suivi d'une contribution, sous le même titre et le même chapeau introductif, de Monica Gagliano (trad. Hicham-Stéphane Afeissa), « Penser comme une plante », sur cairn.info, , pp. 42 à 54. Voici notre traduction du résumé de ces articles : « Il est de plus en plus souvent reconnu que les plantes sont des organismes sensibles qui perçoivent, évaluent, apprennent, se souviennent, résolvent des problèmes, prennent des décisions et communiquent entre eux en acquérant activement des informations sur leur environnement. Toutefois, le fait que de nombreux exemples complexes de comportement sophistiqué des plantes présentent des aptitudes cognitives, généralement attribuées aux animaux humains et non humains, n'a pas été pleinement évalué. [Il s’agit donc d’abord de] montrer les obstacles théoriques qui ont pu empêcher l'expérimentation de tels phénomènes comportementaux / cognitifs chez les plantes ».
Cette expression est délibérément empruntée au titre du livre de critique littéraire, philosophique et textuelle de Philippe Sollers : « L'écriture et l'expérience des limites », car Silesius partage avec les auteurs qui y sont étudiés par Sollers, par sa pratique de l'écriture, quoique pour des raisons bien différentes — dont son sujet absolu hors toutes normes (la nature et « l'expérience » de Dieu) —, les aspects transgressifs du code et du genre qu'ils mettent tous en œuvre, par leurs « textes limites, […] dont la lecture réelle serait susceptible de changer les conditions mêmes de notre pensée », soit Dante, Sade, Lautréamont, Mallarmé, Artaud et Bataille pour Sollers. Nous ajouterons donc : et Silesius… (Philippe Sollers, L'écriture et l'expérience des limites, Paris/61-Lonrai, Éditions du Seuil, coll. « Points essais », 1968, réédité en 2018, 192 p. (ISBN978-2-7578-7375-5 et 2-7578-7375-X, présentation en ligne), et aussi : L'écriture et l'expérience des limites. Ces textes étaient parus initialement avec d'autres dans : Philippe Sollers, Logiques, Seuil, coll. « Tel Quel », , 300 p. (ISBN2-02-001942-6, 978-2-02-001942-2 et 978-2-7578-4937-8, OCLC299907771)).
Ici sont regroupés des extraits de pages consacrées au dilemme de Celan par Steiner dans son livre : George Steiner, Grammaires de la Création, traduit par Pierre-Emmanuel Dauzat, Gallimard, coll. « nrf essais », , p. 241 sqq. Réédité en collection de poche : Grammaires de la Création (trad. de l'anglais), Paris, Folio, coll. « essais », , 464 p. (ISBN978-2-07-035758-1 et 2-07-035758-9, lire en ligne). Dont, extraits de la quatrième de couverture, ces propos qui situent les enjeux plus généraux, aujourd'hui, de ce dilemme : « Ce tournant de siècle est marqué par une lassitude foncière. Ontologique, dirait-on : […] Il y a dans l'air comme un parfum d'adieux. Quel impact ces temps couverts ont-ils sur la grammaire — c'est-à-dire l'organisation articulée de la perception, de la réflexion et de l'expérience, la structure nerveuse de la conscience lorsqu'elle communique avec elle-même et les autres ? Que deviennent les temps verbaux qui organisent notre présence au monde quand les sciences humaines et les arts, désenchantés par la glose, ne croient plus possible la création, mais que les sciences sont, elles, saisies par l'ivresse de la découverte des commencements, possible dans les temps à venir ? Faut-il vraiment désormais que du futur la pensée et les arts fassent table rase ? Au crépuscule des utopies politiques, théologiques, philosophiques, qui n'appartiennent plus à notre syntaxe, George Steiner a écrit le premier in memoriam pour les temps futurs perdus. Du temps où la découverte des origines de la matière n'entendait pas encore tenir lieu de réflexion sur le néant, donc sur la création. »
Claude Stéphane Perrin, Philosophie et mysticisme : La rose de Silesius, Esternay, Eris-Perrin, , 48 p. (ISBN978-2-9538384-7-3 et 2-9538384-7-3). On pourra lire en ligne, par son auteur lui-même, une présentation détaillée de ce livre, déjà citée, ici : « La rose est-elle sans pourquoi ? », sur Philosophie, by claude stéphane perrin, (consulté le ).
« Le Valais offre l’un des paysages les plus magnifiques qu’il m’ait été donné de voir ; il a, en outre, cette capacité extraordinaire d’offrir des équivalents multiples à notre vie intérieure. » (Rilke à Xaver von Moos, le ). À voir en ligne : « Œuvres écrites en Valais », sur Fondation Rilke (consulté le ).
En témoignent les lettres qu'il écrit à cette époque, à Gide par exemple, le : « Ma surprise heureuse consistait à avoir pu recevoir tout cela, à avoir été assez jeune pour rendre mienne cette jeunesse verbale délicieusement offerte. Car vous ne pouvez pas vous imaginer, cher Gide, combien l’obéissance active à cette langue admirée m’a rajeuni. Chaque mot, en me permettant de l’employer à mon aise et selon ma vérité pratiquante, m’apportait je ne sais quelle primeur d’usage. ». Ou à Renée Favre, le : « C’est très étonnant de se trouver, en invité « pratiquant » sur le sol d’une autre langue : que j’y étais jeune, il me semblait que tout recommence avec cet instrument nouveau et j’étais presque effrayé, mais d’une frayeur heureuse, de le sentir vibrer sous mon toucher timide, de plus en plus hardi. … J’ai toujours risqué quelques lettres…, mais de faire des vers dans cette langue si hautainement renfermée et si précise devant elle-même, et encore de permettre qu’on publiât ces vers : mon Dieu, quelle audace ! ». À voir en ligne : « Œuvres écrites en Valais : Écrire en français », sur Fondation Rilke (consulté le ).
(fr + en + de) « Rilke et le Valais », sur Fondation Rilke, (consulté le ).
On trouvera cités de nombreux quatrains extraits du recueil des Roses de Rilke : « The Complete French Poems of Rainer Maria Rilke Quotes » [« Citations extraites du recueil complet des Poèmes Français de Rainer Maria Rilke »], sur good reads, (consulté le ). Et : Francis Richard, « "Les roses" de Rainer Maria Rilke », sur blog de Francis Richard Semper longius in officium et ardorem, (consulté le ). On trouvera d'autres poèmes écrits en français par Rilke : Rainer Maria Rilke, « Tendres impôts à la France », sur Artgitato, (consulté le ).
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Sur ce sujet de la spiritualité athée, voir L'Esprit de l'athéisme d'André Comte-Sponville : A. Comte-Sponville, L'Esprit de l'athéisme : introduction à une spiritualité sans dieu, Le Livre de Poche (première édition en 1970 chez Albin Michel), , 224 p. (ISBN978-2253124665 et 2253124664). Voir aussi ce livre audio en 3 CD : A. Comte-Sponville, « Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? », sur le site de l'éditeur, Frémeaux & Associés (n° cat. : FA5193), (consulté le ). Voir encore cet article du même auteur, qui relie le mystère de l'être à la spiritualité par le « sentiment océanique » de Romain Rolland : A. Comte-Sponville, « Ce qu'on ne comprend pas : le mystère de l'être », Le Monde des Religions, no 78, juillet-août 2016, dossier « Dieu, le cosmos et la science », , page 55 (lire en ligne). Ainsi que cet entretien : Isabelle Taubes, « André Comte-Sponville : Les athées n’ont pas moins d’esprit que les autres », sur psychologies.com, (consulté le ). Sur le thème de l'évanescence de Dieu et son "absoluité" dans le mysticisme, on pourra consulter le livre de Jacques Le Brun : Dieu, un pur rien (référencé ici en bibliographie).
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(la + fr) texte établi, traduit et annoté par le P. Lallemant (1660-1748), Le Nouveau Testament de N. S. Jésus Christ, texte de la Vulgate, Imprimerie de J.-G. Lardinois éditeur (Liège), , 550 p. (lire en ligne), p. 131.
Louis-George Tin, Séquence Bac Français : Les genres et les mouvements littéraires, les auteurs et les oeuvres, Rosny-sous-Bois, Les Éditions Bréal, , 368 p. (ISBN978-2-7495-0829-0, lire en ligne), p. 252. On trouvera le même passage cité sur le site suivant : « Stéphane Mallarmé », sur Keep School (consulté le ).
Catherine Portevin, « La morale du refus : recension de L'esprit de résistance. Textes inédits, 1943-1983, de Vladimir Jankélévitch, chez Albin Michel », Philosophie Magazine, (lire en ligne, consulté le ). Sur ce sujet du refus catégorique de la culture allemande par Jankélévitch, on pourra lire aussi : Bertrand Renouvin, « Vladimir Jankélévitch : L’esprit de résistance », . Et : Françoise Schwab, « Vladimir Jankélévitch. Les paradoxes d'une éthique résistante », Revue d'éthique et de théologie morale, 2009/2 (n°254), , pages 27 à 50 (lire en ligne). Et enfin : Thomas Keller, « La résistance et après, le monoculturalisme de l'autre : rendez-vous manqués entre Wiard Raveling, Vladimir Jankélévitch et Jacques Derrida », revue "Cités" n°70 : Jankélévitch, morale et politique, , début de l'article (lire en ligne).
On trouvera une étude psychanalytiquejungienne de ce dernier poème, dans un article paru d'abord dans les Cahiers jungiens de psychanalyse de novembre 2015, no 142 (Question de Cadre) [www.cahiers-jungiens.com], et repris en ligne : Flore Delapalme, « La rose jaune et la petite couronne d’immortelles », sur Itinéraires, (consulté le ).
Louis-George Tin, Séquence Bac Français : Les genres et les mouvements littéraires, les auteurs et les oeuvres, Rosny-sous-Bois, Les Éditions Bréal, , 368 p. (ISBN978-2-7495-0829-0, lire en ligne), p. 252. On trouvera le même passage cité sur le site suivant : « Stéphane Mallarmé », sur Keep School (consulté le ).
Juliette Demey, « Stefano Mancuso, fondateur de la neurobiologie végétale : "Ecoutons les leçons des plantes" », Le Journal du Dimanche, (lire en ligne, consulté le ).
lemonde.fr
dicocitations.lemonde.fr
Pour ce deuxième quatrain, certaines sources, rares, rapportent l'adjectif "absente" à "autres roses" et le mettent donc au pluriel : « et survivre à cette sœur / en d'autres roses absentes ». Ceci suggère alors que ces roses sont absentes (malgré leur présence où le poète tente de survivre à la disparition de "cette sœur"), "absentes" comme ces roses terrestres qui n'arrivaient pas à faire oublier, au Petit Prince de Saint-Exupéry, SA rose unique, celle qui résidait au fond de son cœur. C'est le cas notamment du site de citations en ligne proposées par le journal Le Monde : Rainer Maria Rilke / Frédéric Jézégou, « Été : être pour quelques jours - Le contemporain des roses - (avec Dico-Citations) », sur lemonde.fr (consulté le ). Mais la plupart des sources laissent cet adjectif au singulier, ce qui a pour effet de le rapporter, bien que postposé, à "cette sœur" : « et survivre à cette sœur / [absente] en d'autres roses ». Or l'orthographe fait particulièrement sens ici : cela change le sens du tout au tout, et le tire du côté du deuil infaisable d'un être unique qu'on ne saurait retrouver en tous ceux qui lui ressemblent, sans déprécier pour autant ces autres êtres, uniques eux aussi (ce dont doute pour lui, finalement, le Petit Prince). Les deux options sont intéressantes, mais pour notre part, nous choisissons cette deuxième option, parce qu'elle est plus fréquente sur la toile, et qu'elle s'accorde mieux avec l'univers de Rilke. On se souvient d'ailleurs (voir plus haut) que Rilke avait répondu à la fleur « absente de tous bouquets » de Mallarmé que « les fleurs ne sauraient être absentes […] ». Nous avons donc fait notre choix, tout lecteur doit faire le sien. Mais il faudrait vérifier toutes les éditions officielles de ce poème — voire le manuscrit même de Rilke, s'il est accessible — pour trancher la question de savoir ce que Rilke, lui, voulait dire. Il possédait tellement bien la langue française, et était tellement attentif à la précision de son expression poétique (comme Mallarmé qu'il admirait), qu'il ne saurait être question pour lui, ici, d'avoir laissé subsister un flou "par inadvertance"…
lemondedesreligions.fr
Sur ce sujet de la spiritualité athée, voir L'Esprit de l'athéisme d'André Comte-Sponville : A. Comte-Sponville, L'Esprit de l'athéisme : introduction à une spiritualité sans dieu, Le Livre de Poche (première édition en 1970 chez Albin Michel), , 224 p. (ISBN978-2253124665 et 2253124664). Voir aussi ce livre audio en 3 CD : A. Comte-Sponville, « Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? », sur le site de l'éditeur, Frémeaux & Associés (n° cat. : FA5193), (consulté le ). Voir encore cet article du même auteur, qui relie le mystère de l'être à la spiritualité par le « sentiment océanique » de Romain Rolland : A. Comte-Sponville, « Ce qu'on ne comprend pas : le mystère de l'être », Le Monde des Religions, no 78, juillet-août 2016, dossier « Dieu, le cosmos et la science », , page 55 (lire en ligne). Ainsi que cet entretien : Isabelle Taubes, « André Comte-Sponville : Les athées n’ont pas moins d’esprit que les autres », sur psychologies.com, (consulté le ). Sur le thème de l'évanescence de Dieu et son "absoluité" dans le mysticisme, on pourra consulter le livre de Jacques Le Brun : Dieu, un pur rien (référencé ici en bibliographie).
lerefletdelalune.blogspot.com
On trouvera un commentaire de ce poème, dans une interprétation d'orientation bouddhiste : « Le contemporain des roses », sur Le Reflet de la Lune, (consulté le ).
levangile.com
Marc l'Évangéliste, « Ministère de Jean-Baptiste, 1.2 », sur Bible de Jérusalem, (consulté le ). Voir aussi les différentes versions dans le comparateur de traductions ici : « Marc 1.2 », sur Comparateur biblique (consulté le ).
Sur le phénomène de « perte de conscience » des plantes par anesthésie, voir la recension de l’étude publiée dans la revue scientifique Annals of Botany : « Les plantes ont-elles une conscience ? », sur metro time.be, (consulté le ).
Cette citation, extraite de la présentation par Munier de sa traduction, a été reprise en ligne : Robin Guilloux, « Angelus Silesius, La rose est sans pourquoi », sur Arts et Lettres, (consulté le ).
Philippe Capelle-Dumont, « Penser le rien. Pour la métaphysique. À propos de Yannick Courtel, Essai sur le rien », Revue des Sciences Religieuses no 93, 1-2, (lire en ligne, consulté le )
Paul-Augustin Deproost, « La quête augustinienne du sublime dans les Confessions : un parcours sur les chemins de l’intériorité », revue "Cahiers des études anciennes", no LVI (56) : Sublime et sublimation dans l'imaginaire gréco-romain, (lire en ligne, consulté le )
over-blog.fr
mijak.over-blog.fr
Gil Pressnitzer, « Paul Celan, poète d'après le déluge », peut-être dans : Gil Pressnitzer, Notes de passage, notes de partage, Cholet, Les 2 Encres, coll. « mémoire d'encre », , 312 p. (ISBN2-912975-55-7 et 978-2-912975-55-3). Cité dans : MiJak, « Sauver la mémoire de l'abîme : Paul Celan et « La Rose de personne » », sur Journal de route imaginaire au pays du réel, (consulté le ), § « La parole pour déchirer le silence ».
Voir au sujet de la kénose les articles suivants : Marc Vial, « Dieu jusque dans le néant : sur la kénose », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, 2015/5-3 (mis en ligne sur le site persée.fr), , p. 339-357 (lire en ligne, consulté le ). Et aussi : Guy Jobin, « Quand la faiblesse est donné : kénose et participation au temps du nihilisme », Études théologiques et religieuses, 2010/3, Tome 85 (mis en ligne sur le site cairn.info), , p. 323-346 (lire en ligne, consulté le )
philomag.com
Catherine Portevin, « La morale du refus : recension de L'esprit de résistance. Textes inédits, 1943-1983, de Vladimir Jankélévitch, chez Albin Michel », Philosophie Magazine, (lire en ligne, consulté le ). Sur ce sujet du refus catégorique de la culture allemande par Jankélévitch, on pourra lire aussi : Bertrand Renouvin, « Vladimir Jankélévitch : L’esprit de résistance », . Et : Françoise Schwab, « Vladimir Jankélévitch. Les paradoxes d'une éthique résistante », Revue d'éthique et de théologie morale, 2009/2 (n°254), , pages 27 à 50 (lire en ligne). Et enfin : Thomas Keller, « La résistance et après, le monoculturalisme de l'autre : rendez-vous manqués entre Wiard Raveling, Vladimir Jankélévitch et Jacques Derrida », revue "Cités" n°70 : Jankélévitch, morale et politique, , début de l'article (lire en ligne).
pourlascience.fr
Voir sur ces sujets l'article publié dans le hors-série de la revue Pour la science no 101 de novembre 2018 par François Bouteau et Patrick Laurenti, « La neurobiologie végétale, une idée folle ? », sur Pour la science, (consulté le ).
psychologies.com
Sur ce sujet de la spiritualité athée, voir L'Esprit de l'athéisme d'André Comte-Sponville : A. Comte-Sponville, L'Esprit de l'athéisme : introduction à une spiritualité sans dieu, Le Livre de Poche (première édition en 1970 chez Albin Michel), , 224 p. (ISBN978-2253124665 et 2253124664). Voir aussi ce livre audio en 3 CD : A. Comte-Sponville, « Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? », sur le site de l'éditeur, Frémeaux & Associés (n° cat. : FA5193), (consulté le ). Voir encore cet article du même auteur, qui relie le mystère de l'être à la spiritualité par le « sentiment océanique » de Romain Rolland : A. Comte-Sponville, « Ce qu'on ne comprend pas : le mystère de l'être », Le Monde des Religions, no 78, juillet-août 2016, dossier « Dieu, le cosmos et la science », , page 55 (lire en ligne). Ainsi que cet entretien : Isabelle Taubes, « André Comte-Sponville : Les athées n’ont pas moins d’esprit que les autres », sur psychologies.com, (consulté le ). Sur le thème de l'évanescence de Dieu et son "absoluité" dans le mysticisme, on pourra consulter le livre de Jacques Le Brun : Dieu, un pur rien (référencé ici en bibliographie).
Voir notamment le documentaire d’E. Nobécourt : « Le génie des arbres », diffusé dans l’émission « Science grand format » de Mathieu Vidard le 14 mai 2020à 20h50 sur France 5. Ainsi que les ouvrages de Jean-Marie Pelt, notamment : Les Langages secrets de la nature : la communication chez les animaux et les plantes, Paris, Le Livre de Poche, coll. « Littérature & Documents », , 249 p. (ISBN2-253-14435-5 et 978-2253144359), et de Peter Wohlleben, notamment : La Vie secrète des arbres : ce qu'ils ressentent, comment ils communiquent, un monde inconnu s'ouvre à nous (trad. de l'allemand), Paris, Les Arènes, , 260 p. (ISBN978-2-35204-593-9 et 2-35204-593-2). On trouvera ici une recension du livre de Peter Wohlleben, avec trois regards croisés et contrastés (un pour / deux contre) : Anne Teyssèdre, Jacques Tassin, Pierre Donadieu, et l'Académie de l’Agriculture de France, « Trois regards sur le livre de Peter Wohlleben, « La Vie secrète des arbres » », sur sfé2 : Société Française d’Écologie et d’Évolution, (consulté le ).
solyescudo.blogspot.com
Notre traduction de : (es) “Jorge Luis Borges en SUR (1931-1980)”, « textes de Borges publiés dans la revue SUD », p. 123-124, cités en ligne ici : (es) Cristina Brackelmanns, « La rosa es sin porqué, florece porque florece » [« La rose est sans pourquoi, elle fleurit parce qu’elle fleurit »], sur sol y escudo, (consulté le ).
Voir notamment : (en) František Baluška, Stefano Mancuso, Dieter Volkmann & Peter Barlow (trad. L'hypothèse du “cerveau-racine” de Charles et Francis Darwin : une renaissance après plus de 125 ans), « The “root-brain” hypothesis of Charles and Francis Darwin : revival after more than 125 years », Plant Signaling & Behavior - Volume 4, 2009 - Issue 12 (« Biosignalisation et comportement des plantes - Volume 4, 2009 - Numéro 12 »), , pages 1121-1127 (lire en ligne, consulté le ).
On pourra voir cette caricature ici (mais comme ce document n’est pour l’instant pas transférable directement, nous vous le présentons en lien externe) : Caricature protestante d’Angelus Silesius.
wikiquote.org
en.wikiquote.org
(en) « Angelus Silesius », sur Wikiquote en anglais (consulté le ).
À Casandre, ODE XVII, « Mignonne, allons voir si la rose… » dans Pierre de Ronsard (1524–1585), Les Odes -Texte établi par Hugues Vaganay, Paris, Garnier, , 434 p. (lire en ligne), p. 75–76.
Stéphane Mallarmé, Divagations : Crise de vers, Paris, Eugène Fasquelle, coll. « Bibliothèque-Charpentier », , 377 (391) (lire en ligne), p. 251 (263). À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Divagations », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 251 (263).
Stéphane Mallarmé, Poésies : Édition complète, Paris, Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1914 (8e éd.), 172 p. (lire en ligne), p. 28-29. À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Poésies », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 28-29.
Stéphane Mallarmé, Poésies : Édition complète, Paris, Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1914 (8e éd.), 172 p. (lire en ligne), p. 62. À voir aussi sur : Stéphane Mallarmé, « Poésies », sur Internet Archives, (consulté le ), p. 62.
Pour éclairer l'étrange négativité paradoxale de ce concept théologique, on pourra aussi consulter l'étymologie détaillée du mot, qu'on trouve avec sa définition dans le Wiktionnaire : kénose.
worldcat.org
Cette expression est délibérément empruntée au titre du livre de critique littéraire, philosophique et textuelle de Philippe Sollers : « L'écriture et l'expérience des limites », car Silesius partage avec les auteurs qui y sont étudiés par Sollers, par sa pratique de l'écriture, quoique pour des raisons bien différentes — dont son sujet absolu hors toutes normes (la nature et « l'expérience » de Dieu) —, les aspects transgressifs du code et du genre qu'ils mettent tous en œuvre, par leurs « textes limites, […] dont la lecture réelle serait susceptible de changer les conditions mêmes de notre pensée », soit Dante, Sade, Lautréamont, Mallarmé, Artaud et Bataille pour Sollers. Nous ajouterons donc : et Silesius… (Philippe Sollers, L'écriture et l'expérience des limites, Paris/61-Lonrai, Éditions du Seuil, coll. « Points essais », 1968, réédité en 2018, 192 p. (ISBN978-2-7578-7375-5 et 2-7578-7375-X, présentation en ligne), et aussi : L'écriture et l'expérience des limites. Ces textes étaient parus initialement avec d'autres dans : Philippe Sollers, Logiques, Seuil, coll. « Tel Quel », , 300 p. (ISBN2-02-001942-6, 978-2-02-001942-2 et 978-2-7578-4937-8, OCLC299907771)).
Traductions des titres, rappel biographique et un bref commentaire des deux œuvres à l'entrée « Angelus Silesius », dans : Sylvie Parizet (dir.) et Rosmarie Zeller, La Bible dans les littératures du monde, Paris, Éditions du Cerf, , 2340 p. (ISBN978-2-204-11388-5, OCLC962378354, BNF45151602, lire en ligne), p. 406.
(en) Edwin Francis Hatfield, The Poets of the Church : A series of biographical sketches of hymn-writers with notes on their hymns, New York, Anson D.F. Randolph & Co., , 719 p. (OCLC752643160, lire en ligne), p. 530.
Notre traduction de : (en) Christopher Baker (dir., éd.), « Johann Scheffler (Angelus Silesius) », dans Absolutism and the Scientific Revolution, 1600–1720: A Biographical Dictionary [« L’Absolutisme et la Révolution scientifique de 1600 à 1720 : un dictionnaire biographique »], Wesport (Connecticut), Greenwood Press, coll. « The Great Cultural Eras of the Western World », , xxxiv-450 (ISBN0-313-30827-6, OCLC1123844240), p. 343.
(en) Max Reinhart (éd.), Early Modern German Literature 1350–1700, Rochester (New York), Camden House, coll. « Camden House History of German Literature » (no 4), , liii-1094 (ISBN978-1-57113-247-5 et 1-57113-247-3, OCLC954041342), p. 447.
(de) Georg Ellinger, Angelus Silesius : ein Lebensbild [« Angelus Silesius, une image de la vie »], Breslau, W.G. Korn, , xii-260 (OCLC836087506, lire en ligne).
Pour le gnostique « connaissance de soi est connaissance de Dieu », selon Elaine Pagels (trad. de l'anglais par Tanguy Kenec'hdu), Les Évangiles secrets, Paris, Gallimard, (réimpr. 2006), 235 p. (ISBN2-07-078168-2, OCLC40057442, BNF34731034), p. 171.
Edith Stein (trad. de l'allemand par Cécile Rastoin, introduction par Cécile Rastoin et Christof Betschart), « Postface : Les voies de la connaissance de Dieu (la théologie symbolique de Denys l'Aréopagite) », dans Science de la Croix [« Kreuzeswissenschaft ; Wege der Gotteserkenntnis »], Paris/Toulouse, Éditions du Cerf/Éd. du Carmel, , liv-493 (ISBN978-2-204-10329-9, OCLC897662887, BNF44228318).
(en) John D. Caputo, A Verse from Angelus Silesius : The Mystical Element in Heidegger's Thought [« Un vers d’Angelus Silesius, ou L’élément mystique dans la pensée de Heidegger »], New York, Ohio University Press, (réimpr. 1986 par Fordham University Press), xxvi-292 (ISBN0-8232-1153-3, OCLC988730013, lire en ligne), p. 60–66.
(de) Angelus Silesius, « Cherubinischer Wandersmann, Erstes Buch » [« Le Pélerin chérubinique, Premier livre, poème no 10 »], sur Zeno.org, meine bibliothek (consulté le ).