Artiste (French Wikipedia)

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armand-colin.com

  • D'après N. Laneyrie-Dagen, 1995, p. 721. Cf. L'artiste et le commanditaire aux derniers siècles du Moyen Âge : XIIIe – XVIe siècles, dir. Fabienne Joubert, Paris, 2001 (ISBN 2-84050-187-2) et Fabienne Joubert, Eberhard König, Valentino Pace et Pierre-Yves Le Pogam, Débat. L'artiste au Moyen Âge, dans Perspective. La revue de l'INHA, 2008-1, p. 90-110 (ISSN 1777-7852)(en ligne).

arthistorians.info

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Par exemple :
    Bayard et Duvert, Le mari de la dame de cœur, I, 9, 1836 (Un artiste !… ah ! c'est un artiste !) ;
    Travaux de la Commission française sur l'industrie des nations, Exposition universelle de 1851, t. VIII, p. 940 (Oui, Monsieur, c'est un fou, car c'est un artiste) ;
    Victor Méric, Les compagnons de l'Escopette, 1930, p. 67 (Poète, il voulait être poète, créer des rythmes nouveaux, des sensations neuves et souffler au ciel toutes les sottises qui tourbillonnaient dans son cerveau).
  • Par exemple le très court article artiste, dans l'Encyclopédie, t. 1, dir. par Diderot et D’Alembert, Paris, 1751, p. 745. Mais l'article art fait quatre pages, et aborde le sujet : « Rendons enfin aux Artistes la justice qui leur est due. Les Arts libéraux se sont assez chantés eux-mêmes ; ils pourraient employer maintenant ce qu’ils ont de voix à célébrer les Arts mécaniques. C’est aux Arts libéraux à tirer les Arts mécaniques de l’avilissement où le préjugé les a tenus si long-temps ; c’est à la protection des rois à les garantir d’une indigence où ils languissent encore. Les Artisans se sont crus méprisables, parce qu’on les a méprisés ; apprenons-leur à mieux penser d’eux-mêmes : c’est le seul moyen d’en obtenir des productions plus parfaites. », p. 717. Enfin, Le système figuré des connaissances humaines de Jean d'Alembert est significatif de cette complexité.
    Voir aussi l'article plus important de Claude-Henri Watelet dans son Encyclopédie Méthodique : beaux-arts, t. 1, Paris, Liège, 1788, p. 39-45.

visualiseur.bnf.fr

cairn.info

  • Cf. Jean-Loïc Le Quellec, L’extension du domaine du chamanisme à l’art rupestre sud-africain, dans Afrique & histoire [Dossier : Chamanisme et art rupestre], 6, 2006/2 (en ligne).

cnrs.fr

jeannicod.ccsd.cnrs.fr

cnrtl.fr

culture.gouv.fr

defenseurdesdroits.fr

juridique.defenseurdesdroits.fr

doi.org

dx.doi.org

  • Voir aussi son article Notion générale de l’art, dans Nouvelle Revue française, 266, Paris, 1er novembre 1935, p. 683-693 (en ligne) ; Œuvres 1, Paris, 1957, p. 1404-1412 (Bibliothèque de la Pléiade).

entretemps.asso.fr

  • Alain Badiou en conclut « C'est ça le but : faire de l'art chose commune, comme la directive de Rimbaud. Ce n'est pas n'importe quoi est de l'art, ce n'est pas la métamorphose mais n'importe qui est un artiste. Il n'a cesse de dire lui-même qu'il a tout fait pour être méconnu, pour organiser le retard des choses. C'est une forme rationnelle de l'idée générique et ancienne d'un engloutissement de l'art par l'action ordinaire. » (voir la transcription par François Duvert de Sur Duchamp [séminaire Ens], 9 mars 2007, Paris, texte en ligne).

google.fr

books.google.fr

  • Cf. 1962, p. 26-33 et bricolage. Voir aussi Marie Carani, De l'histoire de l'art à la sémiotique visuelle, Paris, 1992 (ISBN 978-2-921114-77-6) (partiellement en ligne).
  • Par exemple :
    Bayard et Duvert, Le mari de la dame de cœur, I, 9, 1836 (Un artiste !… ah ! c'est un artiste !) ;
    Travaux de la Commission française sur l'industrie des nations, Exposition universelle de 1851, t. VIII, p. 940 (Oui, Monsieur, c'est un fou, car c'est un artiste) ;
    Victor Méric, Les compagnons de l'Escopette, 1930, p. 67 (Poète, il voulait être poète, créer des rythmes nouveaux, des sensations neuves et souffler au ciel toutes les sottises qui tourbillonnaient dans son cerveau).
  • « Pourquoi tous ceux qui furent exceptionnels en philosophie, en politique, en poésie ou dans les arts, étaient-ils de toute évidence mélancoliques, certains au point de contracter des maladies causées par la bile noire, comme Héraclès dans les mythes héroïques ? Car lui-même semble avoir été mélancolique de nature, et c'est en référence à lui que les anciens appelaient "maladie sacrée" la maladie des épileptiques. » Aristote, Problème, XXX, I (trad. par Andrea L. Carbone et Benjamin Fau, Paris, 2004, p. 7 ; voir aussi l'éd. en grec et trad. latine de 1873).
    Cet ouvrage, partiellement rédigé par Aristote, a été élaboré par l'École péripatéticienne puis complété au Moyen Âge.
  • Voir Richard Borshay Lee (en) et Correlations Between the ‘Real’ and ‘Unreal’ in San Rock Art, dans Rock Art : The Way Ahead [Proceedings of the South African Rock Art Research Association First International Rock Art Conference, 25-31 August, 1991, Cathedral Peak], dir. Shirley-Ann Pager, B. K. Swartz Jr. et A. R. Willcox, Parkhurst, 1991, p. 61-70 (Occasional SARARA Publication, 1).

idixa.net

irma.asso.fr

  • Article 1460-2° du Code Général des Impôts et l'instruction du 30 décembre 1975, (6 E-7-75, § 91) : À propos de « [ceux] considérés comme artistes et ne vendant que le produit de leur art. » Voir l'irma, par exemple.
  • Voir le site de l'IRMA.

issn.org

portal.issn.org

  • D'après N. Laneyrie-Dagen, 1995, p. 721. Cf. L'artiste et le commanditaire aux derniers siècles du Moyen Âge : XIIIe – XVIe siècles, dir. Fabienne Joubert, Paris, 2001 (ISBN 2-84050-187-2) et Fabienne Joubert, Eberhard König, Valentino Pace et Pierre-Yves Le Pogam, Débat. L'artiste au Moyen Âge, dans Perspective. La revue de l'INHA, 2008-1, p. 90-110 (ISSN 1777-7852)(en ligne).

legifrance.gouv.fr

lemonde.fr

  • Selon Agnès Rouveret, « Pour les Anciens, en effet, peinture et sculpture se rangent parmi les activités techniques, et rien ne les valorise par rapport aux autres pratiques artisanales. Elles sont des « arts » au sens classique du terme, c'est-à-dire un ensemble de règles et de recettes dont la mise en œuvre produit un résultat spécifique et déterminé au préalable. Le même mot de téchne s'applique aux arts plastiques, à la danse, à la musique comme à la médecine ou au dressage des chevaux. Il est probable que, en écrivant des traités sur leur art, les architectes, les peintres ou les sculpteurs ont cherché à s'élever au-dessus de cette condition commune, en essayant de constituer en véritable science leur savoir technique. La démarche est manifeste chez Vitruve. Elle était déjà revendiquée par les peintres-savants du IVe siècle av. J.-C. : Euphranor d'Athènes, dont l'œuvre est au centre de l'opuscule de Plutarque, Sur la gloire des Athéniens, ou les artistes de l'école de Sicyone. » (Critique d'art (Antiquité gréco-romaine), dans Encyclopædia Universalis).
    On peut élargir la question au statut de l'objet, ainsi « selon Belting, ce n'est qu'avec la Renaissance et la Réforme et, au fond, qu'avec l'essor des collections et la naissance de l'histoire de l'art comme genre littéraire [que les notions d'art ou d'œuvre d'art] prennent corps, envahissant le langage des contemporains et se substituant aux concepts et aux vocables qui s'étaient jusque-là imposés. Ce qui des siècles durant avait été désigné comme trace, empreinte ou réceptacle du sacré devient un objet artificiel, fait par l'homme pour son plaisir, et tirant précisément de cette origine sa dignité. Révolution radicale. Les mots de l'image sont bel et bien faits de main d'homme, résume l'historien. » (Olivier Christin, rencontre avec Hans Belting, Un historien d'art sans frontières, dans Le Monde, Paris, 11 avril 2008 (texte payant en ligne).

pagesperso-orange.fr

  • Mais le débat est toujours d'actualité, voir par exemple chez Bernard Lafargue (L'artiste en artisans, dans Figures de l'Art 7, Pau, 2004 (ISBN 2-908930-87-0)) à propos des enjeux depuis le Quattrocento :
    « Plus encore qu'une lutte de savoir-faire, de canons, de recettes ou de dextérité, c'est une lutte de miroirs et de lumières. Une lutte théologique entre la Lumière qui vient de Dieu et la lumière qui vient de l'homme. Plus encore qu'une lutte des classes, c'est une lutte métaphysique entre des arts serviles qui relèvent de la main, de la matière et de la répétition machinale et des arts libres qui relèvent de l'esprit, des idées et de l'invention. »
    Et, plus bas, il interroge le rôle de l'artiste :
    « Qu'est ce qu'un artiste (nous) fait ? est une question philosophique cruciale. Elle a quatre entrées. La première relève de l'ontologie : qu'est-ce-qu'un objet d'art ? Question à laquelle on ne peut répondre qu'en se demandant : qu'est-ce-que l'art ? La seconde de l'anthropologie : qu'est-ce que vivre/créer/penser en artiste ? La troisième du politique : quelle place une culture peut-elle ou doit-elle donner à ses artistes ? La quatrième de la prospective : qu'est-ce-que l'art (nous) annonce ? »

persee.fr

  • Cf. Fabrice Roussel, Le concept de mélancolie chez Aristote, dans Revue d'histoire des sciences, 41, no 3-4, 1988, p. 299-330 (en ligne) ; Mélancolie : génie et folie en Occident [Catalogue de l'exposition], sous la dir de Jean Clair, Paris, 2005 (ISBN 2-07-011831-2).
  • cf. Nikolaus Pevsner, Les académies d'art, Paris, 1999 (1re éd. 1940), p. 59-64 et 225-231 (ISBN 2-85226-520-6) et Sylvie Deswarte-Rosa, "Idea" et le Temple de la Peinture. I. Michelangelo Buonarroti et Francisco de Holanda, dans Revue de l'Art, 92, 1991, p. 20-41 (en ligne) :
    « Jusqu'à cette date [1571], ils étaient donc de jure des artisans, praticiens d'un art mécanique au même titre que les cordonniers ou les tisserands. À la différence des académies littéraires fondées pour « cultiver les lettres » ou pour « fuir l'oisiveté », et qui serviront par la suite à « diffuser » et à « contrôler » la langue, les Académies d'art reflètent le besoin réel et urgent de définition professionnelles et d'affirmation sociale. » (p. 34).

philocours.com

  • Voir quelques extraits de Kant, dans Carole Bline, Qu'est-ce qui distingue l'art du travail ? [Cours de philosophie], Joué les Tours, 2003 (en ligne).

quartierlibre.ca

  • Voir Bourdieu, 1984, Anthropologie de l'art et Buscatto, 2008.
    Plus récemment, Richard Florida (The Rise of the Creative Class, 2002) propose de les considérer au sein d'une classe créative : « Le noyau de cette nouvelle classe est composé de scientifiques, d’ingénieurs, de professeurs d’université, de poètes, de romanciers, d’artistes, d’acteurs, de designers et d’architectes, d’avocats, etc. ». Cf. Julie Delporte, Villes créatives, dans Quartier libre, 13–6, Montréal, 16 novembre 2005 (en ligne).

revues.org

contextes.revues.org

  • Voir Pascal Brissette, « Poète malheureux, poète maudit, malédiction littéraire », dans COnTEXTES, Varia, mis en ligne le 12 mai 2008. Consulté le 16 décembre 2008.
  • Voir, à ce sujet, Bruno Péquignot, La question des œuvres en sociologie des arts et de la culture, Paris, 2007, p. 32 (ISBN 2296029337) (cité par Buscatto, 2008 : Compte-rendu) : « l’artiste n’existe pas avant l’œuvre, de même que l’œuvre n’existe pas avant l’artiste, la production de l’un est production de l’autre ».

rogerdadoun.net

  • Voir dans Roger Dadoun, Marcel Duchamp, le grand AnArt, 8 avril 2007 (en ligne) : « Un artiste aux œuvres déjà affirmées proclamant ainsi la mort (la mode aujourd'hui est de dire : la fin) de l'art – est-ce contradiction ? Non, c'est révolution. Et il ne s'agit pas seulement de la mort de l'art du temps, qui se débat ou se rabat dans un air du temps qu'empoisonnent, balayant les résistances de quelques « anartistes », lois du marché, idéologies bourgeoises, académismes d'arrière ou d'avant-garde, starification, etc. Duchamp annonce surtout la mort d'une conception de l'art qui, depuis des siècles, se voit parasitée et obnubilée par les religiosités, sacralités et autres cultes, alors même que l'objet de l'art est de saisir et de pénétrer l’essence de la réalité avec les seuls moyens humains, pour la reconnaissance, l'institution, la recréation permanentes de l'homme même – sans dieu ni maître ! »

sociologie-cultures.com

toutfait.com

  • Marcel Duchamp, interview par Joan Bakewell, Late Night Line Up [à l'occasion de la conférence d'Arturo Schwarz à Institute of Contemporary Arts], 5 juin 1968, BBC TV, Londres ((en) en ligne, particulièrement après la 24e minute) : « [...] l'art pour moi était mort, par le fait qu'au lieu d'être une entité singularisée, il serait universel, ce serait un facteur humain dans la vie des gens. Chacun serait un artiste, mais méconnu en tant qu'artiste. » (trad. Alain Badiou, voir ci-dessous).

unedic.org

unesco.org

unesdoc.unesco.org

  • Section I.1 : Définition, p. 24. En pdf sur le site de l'Unesco. Voir aussi la déclaration finale du Congrès mondial sur l'application de la Recommandation relative à la condition de l'artiste, Paris, 1997 (texte en ligne « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)).

portal.unesco.org

  • Section I.1 : Définition, p. 24. En pdf sur le site de l'Unesco. Voir aussi la déclaration finale du Congrès mondial sur l'application de la Recommandation relative à la condition de l'artiste, Paris, 1997 (texte en ligne « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)).

web.archive.org

  • Section I.1 : Définition, p. 24. En pdf sur le site de l'Unesco. Voir aussi la déclaration finale du Congrès mondial sur l'application de la Recommandation relative à la condition de l'artiste, Paris, 1997 (texte en ligne « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)).

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • Voir Richard Borshay Lee (en) et Correlations Between the ‘Real’ and ‘Unreal’ in San Rock Art, dans Rock Art : The Way Ahead [Proceedings of the South African Rock Art Research Association First International Rock Art Conference, 25-31 August, 1991, Cathedral Peak], dir. Shirley-Ann Pager, B. K. Swartz Jr. et A. R. Willcox, Parkhurst, 1991, p. 61-70 (Occasional SARARA Publication, 1).
  • Voir Paolo Fossati (en) et dir. avec Giulio Bollati, chez Giulio Einaudi, de Storia dell'arte italiana, Turin, 1979-1983 (12 tomes en 14 vol.).

wikisource.org

fr.wikisource.org

  • Par exemple le très court article artiste, dans l'Encyclopédie, t. 1, dir. par Diderot et D’Alembert, Paris, 1751, p. 745. Mais l'article art fait quatre pages, et aborde le sujet : « Rendons enfin aux Artistes la justice qui leur est due. Les Arts libéraux se sont assez chantés eux-mêmes ; ils pourraient employer maintenant ce qu’ils ont de voix à célébrer les Arts mécaniques. C’est aux Arts libéraux à tirer les Arts mécaniques de l’avilissement où le préjugé les a tenus si long-temps ; c’est à la protection des rois à les garantir d’une indigence où ils languissent encore. Les Artisans se sont crus méprisables, parce qu’on les a méprisés ; apprenons-leur à mieux penser d’eux-mêmes : c’est le seul moyen d’en obtenir des productions plus parfaites. », p. 717. Enfin, Le système figuré des connaissances humaines de Jean d'Alembert est significatif de cette complexité.
    Voir aussi l'article plus important de Claude-Henri Watelet dans son Encyclopédie Méthodique : beaux-arts, t. 1, Paris, Liège, 1788, p. 39-45.
  • Bibliothèque de la pléiade, t. IX, Paris, 1978, p. 804 (Wikisource).

wiktionary.org

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